Trop, c'est trop !

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Trop, c'est trop !
Ils sont toujours là à vous narguer, à se pavaner dans leur donjon, à jouer les durs... Même lorsqu'ils tombent sous vos coups, ils reviennent toujours... Et s'il s'agit de leur soutirer quelque précieux objet, j'vous raconte même pas la galère...

Les Boss... Oui ! Ceux-là mêmes qui guident la vie d'un aventurier en tout temps, depuis ses débuts jusqu'à son dernier souffle...
Mais parfois, la frustration est trop grande, les dégâts sont trop dévastateurs et la confusion... bien trop présente. Alors trop, c'est trop !





La Sain Ballotin, la saison des Amours... et des ruptures ! Oui, aujourd'hui, nous vous offrons la possibilité d'évacuer toute votre amertume en touchant votre cible là où ça fait mal : par les sentiments !

Pour ce faire, nous vous proposons d'écrire un poème de rupture à destination du Boss qui vous chagrine le plus et de lui dire enfin stop ; c'est terminé, vous ne pouvez plus continuer cette relation abusive, vous avez des tonnes de choses à lui reprocher et des dizaines de défauts que vous détestez en lui. Exprimez ce ressentiment... De façon poétique !

lettre-de-rupture-boss-2.jpg

Pour participer à ce concours, il vous suffit de poster à la suite de ce message votre poème*, d'une trentaine de lignes maximum avant lundi 16 février à 10H. Bien entendu, les règles de bienséance sont de rigueur, et si vous êtes en droit de clamer votre haine envers le Boss de votre choix, veillez néanmoins à conserver des propos corrects et à proscrire tout caractère hors charte dans vos écrits.

Le poème qui remportera les honneurs du jury se verra également gratifié d'un manga DOFUS Monster - Zatoiswhan, spécialement dédicacé pour l'occasion par Mig. De quoi en faire jalouser plus d'un !

Vous vous sentez prêts à rompre ? Alors à vos plumes !


*Une seule participation par compte et par personne.
Des poètes joliens? Partagez ça ici !
Mon mien :

Kimbo

Je t’ai d’abord maudite, te trouvant retorse.
Faible, tu te refusais à moi
De t’enlacer j’avais perdu la foi
Résigné, je t’injuriais avec force.

Quand, te délestant de ta superbe,
Tu m’accueillis enfin dans ton antre
Ébahi de sa moiteur, allongé dans tes herbes
De ta majesté je me fis le chantre.

Notre idylle a duré.
Inlassablement je revenais vers toi
Affrontant tes chaperons, plus insistants chaque fois.
Kaskargo, Bitoufs, tous sont tombés.

Otomaï, en son perchoir fut le premier ravi.
Ses potions, généreuses, ont fait durer l’envie.
L’envie de te revoir, de revenir sans cesse
Botter, amoureusement, tes aimables rondes fesses.

La jalousie m’a pris, pernicieuse,
En voyant que, plus encore que la mienne,
La compagnie de ton disciple te rendait heureuse
Immense et terrible fut l’ampleur de ma peine.

C’est ce poison qui me rongea, peut-être.
Voyant que tous les deux vous faisiez la paire
Tu me disais : « Je suis un peu sa mère ».
Je ne te crus pas, te haïs de tout mon être.

Cet amour incestueux me laissa sans soutien
Sans affection, sans caresse, sans tendresse enfin
Un vide en moi s’est formé, et l’idée de tes glyphes
Chatouillant d’autres hommes, au plus haut point m’attriste.

Me reviendras-tu un jour, végétal de mon coeur,
A défaut d’être ma femme, deviendras tu ma soeur?
Qu’ensemble, tout en haut de la canopée,
Nous admirions de concert ce beau ciel étoilé.

Notre idylle a passé.
Citation :
Publié par Stratietas

Cet amour incestueux me laissa sans soutien
Sans affection, sans caresse, sans tendresse enfin
Un vide en moi s’est formé, et l’idée de tes glyphes
Chatouillant d’autres hommes, au plus haut point m’attriste.

Me reviendras-tu un jour, végétal de mon coeur,
A défaut d’être ma femme, deviendras tu ma soeur?
Qu’ensemble, tout en haut de la canopée,
Nous admirions de concert ce beau ciel étoilé.

Notre idylle a passé.
Excellent poème, mais les passage en gras m'ont perturbé x)
Haha bien vu en effet ! Disons que je viens de Lille alors, on comprends mieux comme ça

Bon, allez y, sortez vos plumes, rédigez des poèmes contre le vortex, ce sera peut être plus efficace que de pleurer sur le topic Béta 2.27 ou sur le Bazar.
Citation :
Publié par Stratietas
Mon mien :

Mon amour Powell

Je t’ai d’abord maudit, te trouvant retord.
Faible, tu te refusais à moi
De t’enlacer j’avais perdu la foi
Résigné, je t’injuriais avec force.

Quand, te délestant de ta superbe,
Tu m’accueillis enfin dans ton antre
Ébahi de sa moiteur, allongé dans tes les hautes herbes
De ta majesté je me fis le chantre.

Notre idylle a duré.
Inlassablement je revenais vers toi
Affrontant tes chaperons, plus insistants chaque fois.
Kaskargo, Bitoufs, tous sont tombés.

Otomaï, en son perchoir fut le premier ravi.
Ses potions, généreuses, ont fait durer l’envie.
L’envie de te revoir, de revenir sans cesse
Botter, amoureusement, tes grosses fesses.

La jalousie m’a pris, pernicieuse,
En voyant que, plus encore que la mienne,
La compagnie de ton disciple te rendait heureux
Immense et terrible fut l’ampleur de ma peine.

C’est ce poison qui me rongea, peut-être.
Voyant que tous les deux vous faisiez la paire
Tu me disais : « Je suis un peu sa mère ».
Je ne te crus pas, te haïs de tout mon être.

Cet amour incestueux me laissa sans soutien
Sans affection, sans caresse, sans tendresse enfin
Un vide en moi s’est formé, et l’idée de tes griffes
Chatouillant d’autres hommes, au plus haut point m’attriste.

Me reviendras-tu un jour, animal de mon coeur,
A défaut d’être mon homme, deviendras tu mon frère ?
Qu’ensemble, tout en haut de la canopée,
Nous admirions de concert ce beau ciel étoilé.

Notre idylle a passé.
Bordel Strat' moi aussi je t'aime
Je suis très ému en ce moment même à la vue de ton poème pour moi.

Dernière modification par Powell. ; 12/02/2015 à 10h13.
Je ne te l'avais jamais dit mais... veux-tu m'épouser?
Me laisseras-tu toi aussi pénétrer ton antre dont la moiteur n'a sans doute rien à envier à celle du Kimbo?
Me laisseras tu botter tes rondes blondes fesses?
Citation :
Publié par Stratietas
Je ne te l'avais jamais dit mais... veux-tu m'épouser?
Me laisseras-tu toi aussi pénétrer ton antre dont la moiteur n'a sans doute rien à envier à celle du Kimbo?
Me laisseras tu botter tes rondes blondes fesses?
Oui je le veux !
D'aucun le prétendent.

Bon y'a pas de poètes ici? Je suis déception.

Du coup j'en ai fait un autre

Missiz Frizz


Dans le château de glace, vit une perle rare.
Superbement hautaine, son coeur semble glacé
Elle m’est inaccessible, et ne puis qu’en rêver.
Mon amour aujourd’hui, je veux clamer sans fard.

Tes yeux brillent de la flamme des idylles passionnés.
D’aucun disent que la cause en est le Comte Harebourg
Qu’il ose te dédaigner des tréfonds de sa tour
Et qu’il se sert de toi comme vulgaire bouclier.

Sur toi jamais mes yeux, n’eurent l’heur de se poser
Et mon image de toi s’est construite en pensée
Face à tant de dédain, j’ai comme un goût amer

Si un jour je t’atteins, dans ta retraite glacée
Je n’aurai plus d’amour. peut-être de la pitié.
Anonyme à tes yeux, nous croiserons le fer.



La forme est plus conventionnelle (alexandrins et forme sonnet même si au niveau des rimes ça respecte pas)

Et encore un

Moon


Nous vécûmes ensemble dans ta jungle éponyme
J’étais ton Robinson, et toi mon Vendredi
La vie sauvage me plut, avec ta compagnie
Les pieds dans la Mer d’Asse, un poisson sur ma ligne.

Compagnon d’aventure, tu n’étais pas câlin
Et ta douce fourrure, me servant de coussin,
Cachait ton caractère on ne peut plus taquin.
Colérique animal ! Tu n’est pas anodin.

Bel et fier animal, animal tu restes
Descendant certes du singe, je ne veux remonter.
Ton aimable compagnie n’est pas une amitié
Retourne à ton marteau, oublions nous, du reste (qui n’est d’ailleurs, soit dit en passant, que littérature)



Lui c'était juste pour passer le temps en TD pour le coup.

Ce concours m'a inspiré
Concours fort sympathique, voici le mien.

L'heure est enfin venue : mon ami, mon amour
Après tant de passion, aujourd'hui moins qu'hier,
Il est grand temps pour moi de quitter ta tourbière
Je te fais mes adieux, mon tendre Kralamour.

Notre histoire indicible s'affaiblit chaque jour :
Confrontée sans relâche aux terribles manières
Que subit le peuple : tes pulsions meurtrières
Me font prendre aujourd'hui un aller sans retour.

Dois-je en plus évoquer cette hygiène déplorable,
Ces miasmes puants aussi laids qu'immuables ?
Une brute crasseuse fracturant des rotules

C'est-là ce que tu es, mon bel invertébré,
Sois sûr : me manquera demain et à jamais
Le toucher sur ma peau de tes doux tentacules.
Citation :
Publié par Stratietas
Moon


Nous vécûmes ensemble dans ta jungle éponyme
J’étais ton Robinson, et toi mon Vendredi
La vie sauvage me plut, avec ta compagnie
Les pieds dans la Mer d’Asse, un poisson sur ma ligne.

Compagnon d’aventure, tu n’étais pas câlin
Et ta douce fourrure, me servant de coussin,
Cachait ton caractère on ne peut plus taquin.
Colérique animal ! Tu n’est pas anodin.

Bel et fier animal, animal tu restes
Descendant certes du singe, je ne veux remonter.
Ton aimable compagnie n’est pas une amitié
Retourne à ton marteau, oublions nous, du reste (qui n’est d’ailleurs, soit dit en passant, que littérature)



Lui c'était juste pour passer le temps en TD pour le coup.

Ce concours m'a inspiré

Magnifique
Yo
J'représente les contrées des terres désacrées
Et j'nique les racistes, ceux qu'aiment pas le voile
d'encre ; bon trêve de plaisanteries
Nidas c'est à toi que j'm'adresse
Toi qui pousse les vieux à spammer maladresse
J'en ai marre de tes monstres dorés trop agiles
Et de ta couronne de fragile
J'vais m'occuper de toi pendant les vacances
J'reviendrais sans relâche comme un huissier
Puis un moment j'te sauterais dessus
Les piloztère en perdront leur patois
Ma puni chargée sous la barbe des barbétoiles
Et là
Mon gars
Gare à toi
Je vais rentrer dans ton cul mon épée Granduk
Et les lévitrof te regarderont comme ca : o_o
Quand lorsque tu jouira, tu hurla ton nom de pd maladroit

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ça devrait faire resurgir des vieux souvenirs aux vrais qui savent
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