la bataille pour la liberté

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Un récit sans prétention d'une bataille entre des elfes et des démons.
Cela serait sympa d'indiquer ce qui ne va pas ou ce qui est intéressant, donner votre avis, merci

ps désolé pour les fautes d'orthographe

Les soldats étaient épuisés. Cela faisait trois jours que le bataillon elfe tenait la combe des larmes face aux vagues incessantes des démons. Les cadavres s’empilaient le long de la barricade construite en toute hâte. Une pause dans la confrontation des deux armées autorisa les défenseurs à tenter de récupérer. Les guerriers elfes se reposaient à même le sol, perclus de courbatures tant étant grande leur fatigue et l’âpreté des combats. Les soldats de réserve distribuaient un peu d’eau et un repas frugal aux combattants. Les quelques mages présents, quant à eux, essayaient de récupérer leur mana après la multitude de sorts à la puissance dévastatrice envoyés à la face de l’ennemi. Malheureusement cet appuis magique n’avait seulement permis que de freiner la progression des gardes noirs, le gros des forces de l’armée démon présente, et ils en arrivaient toujours plus à la barricade bien décidés à percer le frêle ouvrage défensif de leurs ennemis et ainsi les mettre en déroute.
Le découragement se lisait dans les yeux des elfes, aucun renfort n’arriverait à temps pour leur permettre de remporter cette bataille. Pourtant, la maîtrise de cette combe était vitale pour enrayer l’avancée de la légion ardente. Si les démons franchissaient cet obstacle, ils auraient une route directe jusqu'à la capitale du royaume. Le capitaine du bataillon elfe, un certain Tinwelint Cielépine, regardait par-dessus ces propres lignes en direction du camps ennemi tentant de déchiffrer quel serait le prochain plan d’attaque de l’ennemi car il était sur que l’officier érédar méditait de fourbes desseins pour déloger les soldats elfes du goulet. Il appela son officier en second :
- poste une dizaine d’archers de chaque coté de ces rochers là et là, puis fait mander les soldats de réserve en première ligne, ces faces cornues trois fois maudites n’ont pas besoin de repos contrairement à nous. Je pense qu’ils ne vont pas tarder à attaquer.
Le sergent fit ce que son capitaine demanda puis vint se placer lui-même derrière la barricade.
Voyant le mouvement des archers, un jeune mage elfe compris que les hostilités étaient sur le point de reprendre.

Un cor sonna et une note affreuse s’éleva dans les airs. Puis surgit des centaines de guerriers écarlates avides de sang. Les mages elfes furent les premiers en action, se disposant en formation de petite pyramide ou celui qui formait la pointe dictait les sorts à réaliser. Les mains traçant dans l’air des dessins complexes, les jeteurs de sort invoquèrent des plus pluies de feu ou de glace, des boules de feu et des éclairs zébrèrent le ciel frappant les premières lignes des démons d’une intensité meurtrière. Certains des gardes noirs explosèrent littéralement, d’autres n’eurent conscience que trop tard de leurs chairs fondant sur leurs os, d’autres encore voltigeaient sous l’effet des sorts qui les atteignaient. Cependant là où un démon tombait, ils étaient deux à le remplacer et ainsi reformer les lignes qui se rapprochaient inexorablement de la barricade des défenseurs.
Lorsque les démons ne furent qu’à trente pieds, le capitaine Cielépine indiqua aux archers cachés derrière les rochers d’attendre son signal pour décocher leurs flèches. Encore un moment et il baissa le bras, aussitôt vingt flèches atteignirent toutes leurs cibles tant les démons étaient nombreux et formaient une ligne compacte, mais cela ne stoppa pas pour autant l’avancée démoniaque. Les archers tiraient maintenant sans ordre express et sans discontinuité, tandis que les guerriers se préparaient à recevoir la charge des envahisseurs.
Les gardes noirs arrivèrent enfin sur la barricade, un corps à corps furieux s’engagea alors entre les deux camps. L’infanterie de la légion ardente abattait ses épées sur les elfes qui tentaient de parer mais les trois jours de confrontation précédent pesaient sur les épaules des assiégés et ils étaient à deux doigts de rompre le combat. Un elfe s’écroula une épée plantée à la base du cou. Des démons s’amusèrent avec un soldat qui avait perdu son bouclier et qui pouvait difficilement se battre face à trois démons en même temps. Un compatriote vint l’aider et éviscéra le démon le plus proche de lui, mais il ne vit même pas un autre démon s’approcher derrière lui pour le décapiter.
Partout les elfes avaient les pires difficultés à repousser les assauts de la légion ardente.
Voyant, les guerriers au bord de la rupture, les mages elfes se réorganisèrent de telles manières que certains groupes protégeraient les soldats pendants que les autres groupes frappaient inlassablement les démons à l’aide de sorts. Les fantassins elfes protégés dorénavant de puissants boucliers ne laissant pénétrer aucune arme démoniaque, reprirent l’ascendant. Les lames démoniaques ne produisaient que des étincelles face aux boucliers magiques et l’instant suivant les porteurs de ces lames étaient exterminés avec la même détermination que celle affichait par les démons pour les massacrer.
Le capitaine Cielépine voyant ses soldats repousser l’armée ennemie exhorta ses guerriers. La barricade avait failli céder mais elle tenait bon et c’était maintenant les démons qui étaient en difficulté. Les mages étaient éreintés, de larges gouttes de sueur coulaient sur leur visage. Un premier mage s’évanouit manquant de rompre le sortilège en préparation. Le chef du groupe, celui à la pointe de la pyramide, remarquant la faiblesse dans la matrice, changea de disposition pour moins faire porter l’effort de la création de sorts sur son cercle.
Néanmoins, le stratagème tant redouté par le chef elfe arriva et les combattants virent des météores descendre du ciel pour frappaient derrière leurs lignes. Ce qui étaient des météores au premier regard ne l’étaient pas au second car des cratères fumant se levèrent des infernaux, ces démons écervelés fait de pierres. Ces derniers frappèrent les mages situés en retrait des zones de conflits. Ce fut un massacre, les jeteurs de sort n’eurent pas le temps de dire « pour la lumière » qu’ils furent piétinés. Certains furent écrasés par les mains géantes des infernaux pendant que quelques mages multipliaient vainement les sorts contre ses êtres immunisés contre la magie. Il ne resta bientôt plus de mages elfes et sans assistance magique, les guerriers perdirent du terrain et se firent décimer. Les démons franchirent la barricade en plusieurs endroits. Les combattants sin’dorei se regroupèrent tant bien que mal mais ils étaient dépassés par le nombre des démons surtout que maintenant ils étaient complètement encerclés.
Le capitaine Cielépine vit son second s’écroulé, abattu par un garde noir qui engagea directement le combat avec le chef du bataillon elfe. Il ne restait plus quelques défenseurs bien décidés à vendre chèrement leurs peau et à se battre jusqu’au bout. Le chef des démons, l’officier érédar, qu était resté en retrait jusqu'à maintenant, vint savourer sa victoire déjà acquise. En pointant son doigt vers Cielépine marmonna quelques mots dans une langue gutturale et des serpentins noirs s’élancèrent vers le cou du capitaine, puis avec un sourire méprisant vers sa victime ferma le poing dans un geste de dédain. Le corps de Tinwelint Cielépine, capitaine de la deuxième compagnie d’élite de Sylvermoon s’affaissa alors que sa tête roula aux pieds de l’érédar. Les derniers défenseurs furent proprement exécutés. La bataille de la combe des larmes était finie. Les elfes étaient vaincus. L’histoire retiendra peut-être leur acharnement héroïque pour ralentir l’avancée de la légion ardente. Peut-être pas….
La narration est vraiment pas mal

Par contre je n'ai pas bien trouvé le cadre spacio-temporel.
Est-ce bien des Haut-elfes qui se battent contre la légion ardente dans ton récit?

Si c'est le cas, je ne crois pas que la légion ardente elle-meme est attaqué les haut-elfes.
C'est les mort-vivant commandé par Arthas qui ont détruit la région des elfes.

Les spécialistes du BG vont pas tarder à répondre comme il se doit
Si c'est Silvermoon, c'est effectivement des hauts-elfes. J'avais commencé par situer ça pendant la Guerre des Anciens car comme le dit Wagh Silvermoon était déjà tombée au moment de l'invasion des démons.
Sinon l'histoire n'est pas mal, c'est assez réaliste. Pour une fois qu'il n'y a pas de miracle de dernière minute qui fait triompher les gentils
le récit n'est pas à recadrer dans l'histoire de Warcraft. C'est juste que je suis fan du seigneur des anneaux et l'ennemi héréditaire des elfes est les orcs. manque de bol les elfes de sang sont alliés désormais aux orcs donc je me suis rabattu sur les démons.
sinon merci pour vos remarque et n'hésitez pas à critiquer le bon comme le mauvais. j'essayerai désormais de faire des histoire qui colle aux évènements actuels de WoW
Tu peux toujours t'inspirer de l'histoire de warcraft II, quand les hauts-elfes etaient alliés avec les humains contre la horde, faite d'orcs et de trolls.

Ou racontait les escarmouches entre les night elfes et les orcs de hellscream dans war3.
j'ai retravaillé un peu la syntaxe mais je n'ai pas touché à l'histoire. elle s'inspire donc toujours de warcraft sans pour autant y coller parfaitement
enfin voilà n'hésitez pas à donner votre avis


Les soldats étaient épuisés. Cela faisait trois jours que le bataillon elfe tenait la combe des larmes face aux vagues incessantes de démons. Les cadavres s’empilaient le long de la barricade construite en toute hâte. Une pause dans la confrontation des deux armées permis aux défenseurs de récupérer.

Les guerriers elfes se reposaient à même le sol, perclus de courbatures tant étant grande leur fatigue et l’âpreté des combats. Les soldats de réserve distribuaient un peu d’eau et un repas frugal aux combattants harassés. Les quelques mages présents, quant à eux, essayaient de récupérer leur mana après la multitude de sorts à la puissance dévastatrice envoyés à la face de l’ennemi. Malheureusement, cet appuis magique n’avait seulement permis que de freiner la progression des gardes noirs, le gros des forces de l’armée démon présente, et ils en arrivaient toujours plus sur la barricade. L’infanterie démoniaque était bien décidée à percer le frêle ouvrage défensif de leurs ennemis et ainsi les mettre en déroute.

Le découragement se lisait dans les yeux des elfes, aucun renfort n’arriverait à temps pour leur permettre de remporter cette bataille. Or, la maîtrise de cette combe permettrait aux elfes d’enrayer l’avancée de la légion ardente. Si les démons franchissaient cet obstacle, ils auraient une route directe jusqu'à la capitale du royaume.

Le capitaine du bataillon elfe, un certain Tinwelint Cielépine, regardait par-dessus ces propres lignes en direction du camp ennemi, tentant de déchiffrer le prochain plan d’attaque de l’ennemi car il était sur que l’officier ennemi méditait de fourbes desseins pour déloger les soldats elfes du goulet.
Il appela son officier en second :
- poste une dizaine d’archers de chaque coté de ces rochers là et là, puis fait mander les soldats de réserve en première ligne. Ces faces cornues trois fois maudites n’ont pas besoin de repos contrairement à nous, ils ne vont pas tarder à attaquer.
Le sergent s’exécuta puis vint se placer lui-même derrière la barricade.
Voyant le mouvement des archers, un jeune mage elfe compris que les hostilités étaient sur le point de reprendre.

Un cor sonna et une note affreuse s’éleva dans les airs. Puis surgit des centaines de guerriers écarlates avides de sang. Les mages elfes furent les premiers en action, se disposant en formation de petite pyramide ou celui qui formait la pointe dictait les sorts à réaliser. Les mains traçant dans l’air des dessins complexes, les jeteurs de sort invoquèrent des plus pluies de feu ou de glace, des boules de feu et des éclairs zébrèrent le ciel frappant les premières lignes des démons. Certains des gardes noirs explosèrent littéralement, d’autres n’eurent conscience que trop tard de leurs chairs fondant sur leurs os, d’autres encore voltigeaient sous l’effet des sorts qui les atteignaient. Cependant là où un démon tombait, ils étaient deux à le remplacer et ainsi reformer les lignes qui se rapprochaient inexorablement de la barricade des défenseurs.

Lorsque les démons ne furent qu’à trente pieds, le capitaine Cielépine indiqua aux archers cachés derrière les rochers d’attendre son signal pour décocher leurs flèches. Encore un moment puis il baissa le bras. Aussitôt vingt flèches atteignirent toutes leurs cibles tant les démons étaient nombreux et formaient une ligne compacte, mais cela ne ralentit pas pour autant leur élan. Les archers tiraient maintenant sans ordre express et sans discontinuité, tandis que les guerriers se préparaient à recevoir la charge des envahisseurs.

Les gardes noirs arrivèrent enfin sur la barricade, un corps à corps furieux s’engagea alors entre les deux camps. L’infanterie de la légion ardente abattait ses épées sur les elfes qui tentaient de parer mais les trois jours de confrontation précédents pesaient sur les épaules des assiégés, ils étaient à deux doigts de rompre le combat. Un elfe s’écroula une épée plantée à la base du cou. Des démons s’amusèrent avec un soldat qui avait perdu son bouclier et qui pouvait difficilement se battre face à trois démons en même temps. Un compatriote vint l’aider et éviscéra le démon le plus proche de lui, mais il ne put voir un autre démon s’approcher derrière lui pour le décapiter.

Partout les elfes avaient les pires difficultés pour repousser les assauts de la légion ardente.
Voyant, les guerriers au bord de la rupture, les mages elfes se réorganisèrent de telles manières que certains groupes protégeraient les soldats pendants que les autres groupes frappaient inlassablement les démons à l’aide de sorts. Les fantassins elfes protégés, dorénavant de puissants boucliers magiques ne laissant pénétrer aucune arme démoniaque, reprirent l’ascendant.
Le capitaine Cielépine, voyant ses soldats repousser l’armée ennemie, exhorta ses guerriers. La barricade avait failli céder mais elle tenait bon et c’était maintenant au tour des démons d’être en difficulté. Les mages montraient des signes d’épuisement, de larges gouttes de sueur coulaient sur leur visage. Un premier mage s’évanouit manquant de rompre le sortilège en préparation. Le chef du groupe, remarquant la faiblesse dans la matrice, changea de disposition dans le but de mieux répartir l’effort de création du sort sur son cercle.

Néanmoins, le stratagème tant redouté par le chef elfe arriva et les combattants virent des météores descendre du ciel pour frappaient derrière leurs lignes. Ce qui étaient des météores au premier regard ne l’étaient pas au second car des cratères fumant se levèrent des infernaux, ces démons écervelés fait de pierres. Ces derniers frappèrent les mages situés en retrait des zones de conflits. Ce fut un massacre, les jeteurs de sort n’eurent pas le temps de dire « pour la lumière » qu’ils furent piétinés. Certains furent écrasés par les mains géantes des infernaux pendant que les quelques mages restants multipliaient vainement les sorts contre ses êtres immunisés à la magie. Il ne resta bientôt plus de mages elfes et sans assistance magique, les guerriers perdirent du terrain et se firent décimer.

Les démons franchirent la barricade en plusieurs endroits. Les combattants sin’dorei se regroupèrent tant bien que mal mais ils étaient dépassés et encerclés par la multitude des démons. Le capitaine Cielépine vit son second s’écroulé, abattu par un garde noir qui engagea directement le combat avec le chef du bataillon elfe. Il ne restait plus quelques défenseurs bien décidés à vendre chèrement leurs peau et à se battre jusqu’au bout. Le chef des démons, un officier érédar, qui dirigeait ses troupes depuis un monticule en retrait des combats jusqu'à maintenant, vint savourer la victoire presqu’acquise. En pointant son doigt vers Cielépine, il marmonna quelques mots dans une langue gutturale et des serpentins noirs s’élancèrent vers le cou du capitaine, puis, avec un sourire méprisant vers sa victime ferma le poing dans un geste de dédain. Le corps de Tinwelint Cielépine, capitaine de la deuxième compagnie d’élite de Silvermoon s’affaissa tandis que sa tête roula aux pieds de l’érédar. Les derniers défenseurs furent proprement exécutés. La bataille de la combe des larmes était finie. Les elfes étaient vaincus.
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