Notre histoire

 
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"Mais qu'est ce que c'est que cette ... chose?!
-Un loup. Mort.
-Un loup mort depuis des mois, qui empeste, répand ses tripes et courrait avant que tu ne lui tranches la tête!
-Bon d'accord, un loup mort-vivant, mais maintenant, tu vois, il est complètement mort. Dis, tu crois que c'est contagieux? il m'a tout de même mordu!"

Et le Troll tatoué risqua un sourire faussement bête vers la Viking qui le foudroya du regard.
En soupirant, il essuya son énorme épée sur une peau inidentifiable dévolue à cet usage, un bras appuyé sur son bouclier aussi large qu'une table du banquet d'Odin.
La Guérisseuse invoqua en silence les dons d'Eir pour son compagnon puis tourna les talons, lui faisant signe de la suivre, et il lui emboîta le pas, sachant d'avance qu'ils se rendaient sur le champ à la Jotun Othila.


Dès qu'ils furent hors de vue, le Sicaire sortit de l'ombre propice et s'approcha de la charogne puante, dont il ne connaissait que trop les semblables.
Une créature de Morgane, à deux pas des murs de Svasud Faste, la Fraternité devait être mise immédiatement au courant.


Le Ranger fit signe au Druide de se taire pour la centième fois en moins d'une heure, lui désignant le mince Sarrasin à une portée de flêche et ce qui retenait son attention.
Une abomination morte vivante sur la terre des Barbares, il fallait prévenir sans tarder le Bosquet!
Le Ranger fit signe au Druide de se taire pour la centième fois en moins d'une heure, lui désignant le mince Sarrasin à une portée de flèche et ce qui retenait son attention.
Une abomination morte vivante sur la terre des Barbares, il fallait prévenir sans tarder le Bosquet!.............................

.....................En disant cela Dante Sparda cala son carquois sur son épaule d’un geste fébrile, avant d’attraper son compagnon bavard par les deux épaules. Il regardait le Druide droit dans les yeux, on pouvait voir comme une lueur d’effroi dans les pupilles dilatées de l'archer.
- Nautys ! Que fait cette Abomination ici ? Nous sommes trop loin de l’Ile de Verre, loin d’Avalon ! Tu vois à quoi je pense ?
- Attends Dante ! Tu me fais peur là ! Tu crois qu’on aurait trouvé notre
« homme » ? enfin, façon de parler hein … Si c’est ça ! hors de question que ce maudit Sicaire arrive chez lui vivant…En postillonnant, Nautys le Druide passa le tranchant de sa main sur son cou, mimant un égorgement violent tandis que ses dents sifflaient le bruit d’une lame dans un sourire narquois.
- Laisse tomber le Sarrasin ! C’est le Troll qui a tué le loup ! ne comprends-tu pas ce que ça veut dire ? ! Ha bon sang mon vieux ! je crois bien que cette fois la fin de notre quête est proche ! Dante se retint de crier tant sa joie était forte. Nous devons à tout prix ramener ce satané Troll chez nous avant qu’il n’atteigne Jordheim. Tu as entendu ? Il s’est fait mordre par la bête, si la prédiction de notre maître est exacte, ça voudrait dire que l’âme que nous recherchons depuis des mois s’est réfugiée dans ce gros Troll puant !

Tandis que s’éloignait au loin la silhouette sombre du Sauvage géant de Midgard, Dante s’enveloppa de son habit furtif, dans un geste précis et familier. Nautys caressa d’un geste affectueux son grand Lynx gris bringé.
Le soleil commençait de descendre allongeant les ombres sur la plaine enneigée. Nautys avisa au loin une fumée montant dans le ciel rougit du crépuscule. « On devrait trouver une grotte avant la nuit si on veut pas crever d’froid , j’ai l’impression qu’ils campent les barbares, regarde la fumée ! » Loin de leurs terres, fatigués de leurs errances, heureux de l’espoir de retour que ce jour leur avait donné, les deux compagnons se mirent en chasse d’un abris pour la nuit.
.....
Le Ranger en colère n’avait adressé la parole à son compagnon de route de tout le voyage de retour, furieux qu’il était contre Nautys. Comment allaient-ils faire maintenant ? Il leur fallait retrouver ce maudit Troll ! Cependant, à la vue des vertes collines d’Hibernia, des murailles élégantes de Tir na Nog, son humeur se radoucit. Il songea qu’il serait toujours temps demain de repartir en chasse.
En pénétrant dans la taverne, Nautys et Dante croisèrent sur le seuil, Blanche la teinturière. Elle avait cette démarche malhabile de ceux qui préfèrent l’hydromel au lait d’amandes. Quand elle trébucha sur la petite marche, Nautys la rattrapa prestement par la manche. « Le sol est glissant ces temps-ci ! » dit-il en riant sous cape. Le Drude lâcha la jeune femme qui reprit le chemin de son échoppe en vociférant. « Un de ces jours elle va se rompre les os et alors, fini les aller-retour entre son boui-boui et le tonneau ! » Les deux amis riaient à gorge déployée quand ils entrèrent dans la taverne sombre et bruyante.
Il y avait là une foule de vétérans attablés devant des chopes de terre cuite. Nautys essuya d’un revers de la manche un coin de table encombré des reste d’un repas. Il invita Dante à prendre place tandis qu’il se dirigeait vers le fond de la salle.
Dante n’appréciait pas ces endroits de débauche, mais ce soir, il était décidé à rompre avec sa sobriété habituelle, tout déçu qu’il était d’avoir laissé s’échapper le Troll et avec lui, l’âme qu’il convoitait tant pour son royaume.
Le tavernier déposa devant l’Archer deux grosses chopes. Celui-ci leva les yeux et vit Nautys en grande discussion avec un vieux protecteur celte qu’on nommait Sorbinou. Le vieillard semblait déjà passablement éméché. Il avait l’allure de ces vieux guerriers usés par les combats…..enfin, pensa Dante, il avait surtout l’apparence de ces vieux vicelards plus préoccupés de courir la gueuse que de sortir son épée…
Dante leva sa chopine pour goûter la cervoise, quand il s’étrangla avec la première gorgée. En crachant violemment pour ne pas s’étouffer, il se frotta les yeux. Ce qu’il venait de voir le laissait sans voix. En un éclair il comprit pourquoi Nautys avait insisté pour venir ici. Il se souvint que ce diable de Druide lui avait parlé d’une certaine Sentinelle travaillant dans cette taverne. Derrière le comptoir, une femme s’affairait en silence. Elle avait dans son allure la grâce des femmes celtes et dans le regard la mélancolie de ceux qui sont dans la peine.
Le cœur de Dante sautait sous son pourpoint de cuir. Il eu subitement envie de se ruer vers cette femme, SA femme enfin retrouvée. Celle qu’il avait laissé là, seule avec Ryoga leurs fils, presque un an auparavant quand son bien-aimé Roi, Lugh Lamfhota l’avait prié de partir en quête. Encore tout chamboulé de cette vision, il se ravisa et masqua son visage avec sa main, observant Vivianne entre ses doigts entrouverts. Que faisait-elle ici ? Il savait que les combats faisaient rage a Agramon, pourquoi n’était-elle pas sur le champ de bataille avec ses semblables ? Tandis qu’il s’interrogeait ainsi il vit que la jeune femme avait du mal à se déplacer, il y avait dans sa démarche comme une sorte de claudiquement qui lui arrachait une grimace de douleur à chaque pas. Elle est blessée ! c’est ça ! pensa-t-il inquiet. Il allait se lever pour rejoindre sa femme lorsqu’il vit Sorbinou se diriger vers Vivianne. Ne souhaitant pas saluer la vieille canaille, Dante se figea. Sorbinou passa derrière le comptoir, un sourire narquois sous sa moustache épaisse. Il attrapa violemment Vivianne par la taille en criant à la cantonade « Alors ! On fait moins la fière là hein ! T’as peut être besoin d’un homme pour te soigner maintenant que ton crétin de mari est loin ! Viens là ! gueuse ! Je vais la soigner ta jambe moi ! ». Nautys observait la scène quand il vit Dante se lever, reversant la table dans un fracas. La main de Sorbinou s’était insinuée sous le corsage de Vivianne qui se débattait en criant des jurons. Dante sorti sa dague et se jeta sur le Protecteur médusé. Déjà, les guerriers se levaient pour jouir du spectacle. Ils firent une place vide au milieu de la salle et c’est là, sur le sol humide que Dante jeta furieusement le vieux qui tomba sur le dos dans un bruit sec. Vivianne préparait ses sorts puissants, envoyant vers son homme des énergies protectrices, tandis que les deux celtes roulaient sur le sol dallé. Le Roi avait interdit les bagarres dans l’enceinte de la capitale, Dante risquait gros en attaquant ainsi ce vieux vicieux, c’est ce que pensa Nautys. Décidant que la meilleure défense, c’est l’attaque, le Druide décida que la solution était de provoquer une tempête. Avant qu’on ait le temps de dire ouf, il distribua joyeusement des bonnes tartines à tout se que se présentait, déclenchant dans la taverne une cohue de tous les diables. Les coups pleuvaient de tous côtés, le tavernier s’arrachait les cheveux tandis que les clients se jetaient les uns contre les autres. Dante empoigna la tignasse de son adversaire et lui cola sa dague sur le cou « espèce de vieille racaille ! je vais crever ta vieille panse de porc ! » Le vieux Sorbi tremblait comme une vieille femme quand la garde du Roi, alertée par le bruit fit son entrée dans le bistrot.
[HRP]
je crois qu'une mise au point s'impose

il faut respecter un minimum la cohérence, que ce soit celle du monde de Camelot ou celle du récit précédent.

Poster dans le but de réduire à néant d'emblée la trame lancée, à coups d'anachronismes, d'incohérences et de massacre de personnages, ce n'est pas envisageable dans le cadre d'une participation sérieuse.

Dans le cadre d'un pourrissage volontaire, je rappelle que ce forum est dédié au role play, et que la politique de la maison est ferme là dessus (je vous renvoie aux persistants)

J'éditerai ce soir si le principal intéressé n'a pas rectifié le tir de lui même, et navrée d'avance pour celui a fait l'effort de produire un texte cohérent.

[HRP]
…….Dieu merci, Vivianne n’avait pas eu à subir la folie magique de Nautys. La taverne ressemblait plus à une ménagerie qu’à un bar à hydromel, le Roi même avait du subir les chantages odieux du Druide dont, il fallait bien l’avouer, le cerveau avait sans doute été déréglé par une blessure à la tête. Cachée derrière le comptoir de bois, elle observait discrètement la beuverie joyeusement orchestrée par ce saligaud de Nautys.
Dante, elle s’en souvint avait prit en charge le pauvre garçon alors qu’il était encore enfant et depuis, le jeune Druide lui valait sans cesse des ennuis….Mais là, il avait fait vraiment fort ! On était habitué dans le royaume à son étrange habitude de se travestir en femme, à ses beuveries incessantes. Mais là, il avait menacé le Roi, lancé des sorts funestes qui avaient transformé son propre mari en femme !! Firbolg de surcroit ! Quelle honte ! Vivianne était bien décidée à se venger !
La Sentinelle attendit que tous furent endormis par la boisson. Même le vieil aubergiste était ivre mort et dans la salle, on n’entendait plus que des ronflements gras.
Vivianne sorti de l’auberge non sans avoir prit soin de fermer la porte à clé derrière elle. Utilisant sa magie, elle s’élança à travers la ville à une vitesse vertigineuse et se retrouva bientôt chez elle. « Ryoga ! un malheur est arrivé ! viens avec moi, Nautys a encore fait des siennes ! j’ai besoin d’un coup de main ! »
- Qu’a -t-il encore fait ce gros farceur ? Il a changé le Roi en grenouille ?
- Il a fait pire ! Il a changé ton père en Firbolg femme ! Tu crois que je vais passer le reste de mon existence avec une grosse Firbolg dans mon lit ?? Je suis hors de moi ! Il va me le payer cher crois moi !
- Père est rentré ? Ou est-il ?
- A l’auberge ivre mort et Diodel aussi ! Tu sais, le lynx de Nautys et bien en fait c’était un Faucheur sylvain auquel Nautys avait jeté un sort ! Et Nautys ! en fait c’est Shoryu, tu sais Shoryu, le Mage Elfe qui est allé dans ce pays lointain dont il a rapporté cet étrange breuvage qu’il nomme Saké ? Halala mon Ryo, il faut trouver une idée pour se débarrasser définitivement de ce malade ! (en plus il pourrit mon histoire ! –NDLR)
Vivianne était rouge de colère, elle ne tenait plus en place.
- Ecoute mère, je pense avoir une idée, suis moi !
C’est à cheval que la mère et son fils galopèrent vers la Capitale, ils entrèrent au galop dans l’enceinte du château sans ménagement pour les bedeaux qu’ils bousculèrent au passage. Ryoga se dirigeait vers la prison du royaume, une petite idée en tête.
Le jeune Champion était connu pour sa grande valeur au combat, de sorte qu’il ne lui fut pas trop difficile de convaincre les gardes de le laisser entrer dans une cellule.
Il fallut un bon moment à Vivianne pour arriver à distinguer quelque chose dans cette pièce trop sombre. Ryoga lui semblait aller directement vers le fond de la pièce sans hésiter. Il donna un coup de pied dans ce qui devait être une sorte de paillasse remplie de paille.
« Allez debout la dedans ! » cria-t-il « On a besoin de toi mon grand ! »
Vivianne vit enfin une espèce d’Elfe se lever. Ha non, c’était un Frostalf en fait ! les oreilles pointus de l’individu l’avaient abusée !
- Ryoga, que faisons nous avec cet ennemi du royaume ?
- Cet ennemi est de la classe des Helhaxa mère et c’est lui notre solution pour nous débarasser à tout jamais de Nautys/shoryu ! Allez mon gars, en route et si tu m’aides ce sera la liberté pour toi !
C’est ainsi que les trois compères se retrouvèrent devant l’auberge. Le Frostalf avait bien comprit ce qu’on attendait de lui…Il s’approcha de Nautys et d’un sort bruyant et lumineux il transforma tout à coup de Druide perfide….en grenouille !!!
Il ne restait plus à Vivianne qu’à rendre à son époux son apparence élégante d’Elfe (mâle !NDLR) ce qui ne fut pas très compliqué au royaume de la magie !
Depuis ce jour, La famille Sparda a adopté un nouveau familier, bien pratique ma foi, puisqu’il fait même la météo dans son petit bocal de verre !

(H.R.P. Assuran fais gaffe je peux aussi te faire sod...ser par un Troll si tu continues ! )
Citation :
Publié par Nerwen
[HRP]
je crois qu'une mise au point s'impose

de massacre de personnages,

[HRP]
Si ma vision de mon personnage dont on cite le nom ne colle pas trop à la mienne je la réctifie comme je l'entand, mafois pour garder un minimum de cohérence générale je bousille un minimum le background daoc ok mais je vais pas me transformer en un druide pacifiste que je ne suit pas, Ensuite vivi est une amie et Dante le ranger aussi, maintenant si je met l'histoire un peu à la sauce de mes perso que je joue avec Mon rp malheureusemnent qui n'est pas le meme que toi. Alors si l'écriture d'un texte RP un peux différents qui deplus permet d'écrire une petite histoire en duo avec vivi te déplais temps que ça je me fais une joie de l'éffacer et de te laisser écrire solo sur ta partie du forum, le contenu ne vaut plus rien sur les forum de serveurs, maintenant on vien mm faire ch.. sur les posts à rp, sur ce je go continuer mes plus un sur les posts à ding c'est plus court à écrire et personne vien me les briser. amen

p.s. now ton histoire elle est aussi cohérente que mon background daoc la joie du modo de bousiller les post.
La blessure du Troll n'avait fait qu'empirer dans les quelques minutes qui suivirent le sort de soin lancé par son ami Freida. Plutôt déconcertée, la guérisseuse avait insisté avec une nouvelle invocation mais cela fit pire que mieux. En peu de temps, la fièvre envahit Brawer et lui coupa les jambes. Impossible d'aller plus loin, bien qu'à une demi heure à peine de l'enceinte de Svasud Faste.
Le nuit tombait, et les grands Ettins faisaient places aux meutes de loups sous une nuit sans étoiles. Quelques flocons vinrent chatouiller le nez la viking alors que le sauvage tomba a genoux, grelottant, délirant déjà. la nuit s'annonçait longue pour Freida. Elle appliqua un baume sur la plaie purulente de la morsure et couvrit l'immense corps de son ami d'une peau d'ours... en espérant qu'il passe la nuit.
Elle savait que ce n'était pas prudent mais elle alluma rapidement un feu pour aider Brawer à combattre sa fièvre. Elle commença à nettoyer son armure avec quelques poignées de neige, sans l'ôter, histoire de tromper l'ennuie. La poudre blanche virait au rouge pâle en passant sur les tâches de sang incrustées dans les mailles mais la guérisseuse regardait les flammes qui dansait devant elle, l'hypnotisant... Freida s'endormit trop vite, contre le troll, sans s'en apercevoir...
 

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