[POGNAX] [Police] Problématiques contemporaines

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Citation :
Publié par gobelard
...
C est surtout qu' il s' agit d' une colonne d'assaut, avec un équipement adéquat, qui riposte dans le cas présent. Rien de plus rien de moins. Quand tu interviens sur un forcené, je peux t assurer que t' as autre chose à penser que de faire passer un pseudo message.

Il n y a pas si longtemps de ca, ces policiers seraient intervenus sans le bouclier balistique, les casque blindés, les gilets lourds ect. Les premiers de la colonne faisant office de bouclier avec les résultats qu' on connait.

Il y a aussi une formation en masse de techniques d' intervention qui étaient réservées à des services bien particuliers avant les attentats.

Citation :
Publié par Chacky Furtz
...
Avec trois tirs par ans c' est effectivement compliqué ... quand tu as un rythme d' une 10 aine par an ca rentre déjà beaucoup mieux ( du moins dans le stand )
Citation :
Publié par Chacky Furtz
Comme le dit Racen, déjà mettre une balle dans la tête en stand de tir, c'est chaud, alors en situation de stress et avec un réel danger .... c'est souvent : je vise le tron et à cause du recul de l'arme la seconde balle touche la tête.
Le recul de l'arme n'a rien à voir la dedans, les intervenants sont entraînés à tirer dans les jambes mais si le forcené prend ses jambes à son cou, il est normal qu'une balle se loge dans la tête.
C'est pour cette raison que la plupart des formateurs du stage FUBAR préconisent d'utiliser le V.A.T.S (Vault-Tec Assisted Targeting System) en priorité.
http://www.lyoncapitale.fr/Journal/L...ille-de-police
Citation :
ans la nuit de vendredi à samedi, il est environ une heure du matin quand une patrouille de police se fait apostropher dans la rue. Les policiers s'engagent dans une opération de contrôle des identités lorsqu'un groupe d'une dizaine d'individus s'approchent pour menacer les agents.

[...]

Face à la recrudescence des agressions de policiers, les autorités ont décidé d'effectuer plusieurs larges opérations de contrôles, dont une hier matin dans le quartier du Tonkin de Villeurbanne.
J'avoue que j'ai un peu de mal à suivre le rapport entre le problème énoncé et la solution mise en œuvre. Des policiers se font agresser, donc on effectue des contrôles d'identité ? A quoi cela sert-il ? Je veux bien que connaître l'identité d'un agresseur soit utile pour effectuer des recoupements, mais là on parle (pour le premier cas) d'une provocation verbale qui ne rentre pas dans le cadre d'un délit et dont la réponse est une vérification d'identité (dont le sens et l'utilité m'échappe également) et (pour le second cas) de réactions qui ne s'effectuent pas dans la temporalité de l'agression, et qui n'ont donc aucune raison d'identifier les agresseurs. Si un individu agresse un policier, le contrôle d'identité n'est sans doute pas le cadre légal à mobiliser : j'imagine qu'il y a matière à l'interpeller et à l'emmener au poste. Alors, à quoi ça sert ?
Parce les contrôles décidés par la Préfecture ne sont pas de l'ordre de la police judiciaire mais de celui de la police administrative.

Les contrôles poursuivent le but de renforcer la présence de l'État. Pas d'arrêter directement des auteurs non identifiés mais néanmoins localisés.

L'outrage à PDAP dans l'exercice de leur fonction et donc avec des éléments ou signes distinctifs apparents est un délit comme le rappelle Aedean.
Citation :
Publié par Aedean
Ne connaissant pas les teneurs des propos difficiles de dire s'il s'agissait d'un délit ou non. En tout cas en France, l'outrage à agent public est un délit pouvant être puni de 6 mois d'emprisonnement ferme et de 7 500 euros d'amende.
J'imagine que s'il y a outrage caractérisé, la réaction d'un policier n'est pas de procéder à un contrôle d'identité.

Ça veut dire quoi "renforcer la présence de l'état" ?
Le Tonkin c'est pas un quartier facile. Et un policier n'est pas Superman. Surtout sans autorisation d'utiliser son arme pour un simple outrage.

Je crois que tu fantasmes la capacité d'interpellation dans un quartier sensible des forces de l'ordre.

Tu es obligé de revenir à plus nombreux si tu as une simple patrouille face a une dizaine de personnes provoquantes. Et si elles sont provoquantes, je vais pas te gâcher la réflexion mais c'est parce qu'elles sont en position de force.

Donc tu reviens 'assurer des contrôles car tu n'as pu identifier formellement et interpeller lors de l'outrage le ou les auteurs.
Donc même sans interpeller quelqu'un tu renforces temporairement la présence de l'État.

Dernière modification par Xxoi! ; 30/10/2016 à 20h47.
Citation :
Publié par Laadna
J'imagine que s'il y a outrage caractérisé, la réaction d'un policier n'est pas de procéder à un contrôle d'identité.
Ben si.
J'ai relevé un seul outrage dans toute ma carrière. Contre une femme qui avait passé 15 minutes à nous insulter. Sinon dans tous les autres cas, un contrôle d'identité et une mise au point verbale suffise.

Citation :
Publié par Laadna
Ça veut dire quoi "renforcer la présence de l'état" ?
Ca veut dire éviter de laisser s'installer des zones de non-droit. Ça veut dire ne pas laisser les comportements de type "petit (délinquant/jeune qui branle) qui se la pète".
Si on se laisse marcher dessus dès le départ, la limite n'est pas fixée et après c'est le barrage qui fuit. C'est con mais la nature humaine est en fait très conne.
Citation :
Publié par Laadna
...
Ca rentre dans un contexte particulier sur la banlieue lyonnaise cette semaine, puisqu'en début de semaine des policiers qui contrôlaient des prostituées ont été agressés et ont du se réfugier dans un immeuble sous la menace d'une dizaine de personnes, et ce vendredi ( ou jeudi j'ai un doute ), à nouveau dans le cas d'un contrôle d'identité, trois individus sont descendus d'un véhicule, et ont agressé des policiers ( coups de poings coups de pieds au sol, un policier a le nez cassé et plusieurs jours/semaines d'ITT à déterminer ).

Donc, je pense qu'il y a en effet un mouvement, face à des situations d'agression caractérisées, sans que les auteurs aient pu être identifiés, de contrôle renforcés afin de retrouver les auteurs de délits pour certains très graves.

Citation :
J'imagine que s'il y a outrage caractérisé, la réaction d'un policier n'est pas de procéder à un contrôle d'identité.
S'il y a outrage caractérisé par une bande d'une dizaine d'individus, non, la réaction n'est pas de tenter une interpellation.
Ou alors avec le renfort d'une compagnie de CRS.
Quand est-ce que notre président aura des couilles et enverras des cars entiers de CRS dans ces cités pour botter le culs des petits merdeux qui y résident ?
Citation :
Publié par Aeristh
Quand est-ce que notre président aura des couilles et enverras des cars entiers de CRS dans ces cités pour botter le culs des petits merdeux qui y résident ?
OK, tu envoies "des cars entiers de CRS". Tu crois que les "petits merdeux" vont sortir de chez eux et tendre gentiment leurs postérieurs en disant "bonjour, c'est nous qui avons mis la tête au carré au conducteur du bus, mais pour le cambriolage de la maternelle, c'est Manu, mais il a pas pu venir, il a la gastro" ?

Ajoutons que des quartiers "sensibles", tu en as des centaines en France, avec une population de fauteurs de troubles potentiels qui dépasse probablement les 100 000 personnes (5 millions d'habitants, je divise par 2 pour retirer les nanas parce qu'elles jettent rarement des pierres sur les flics, j'élimine ensuite tout ce qui a moins de 13 ans et plus de 25, ça doit faire 10% du reste, je divise encore par deux pour retirer les moins bêtes). En face, tu as quoi ? 15 000 CRS ?

Bref, les "petits merdeux", faut pouvoir les identifier avec certitude, ça demande des enquêtes, donc du temps, des moyens, de l'argent. Si tu imagines pouvoir résoudre quoique ce soit en envoyant des CRS...
Sans statistique partir du principe que la moitié des 13-25 ans mâle en "cité" serait des délinquants en puissance me semble assez énorme.
Ne jamais sous estimer la capacité d'une minorité à être une gêne mobilisable rapidement, tu n'as pas appris ça dans tes classes ?

Ils n'ont pas besoin d'être 100k imo déjà à 5k avec un peu de motivation on fait des désastres.

EDIT :
Enfin si on parle de juste lancer des cailloux sur des voitures de flics ou d'insulter des agents je pense que cité ou pas cité c'est quelque chose qui se fait. Et pour le coup ça se règle pas avec des fourgons.
Est ce que ça implique forcément de casser la tête des gens ou d'immoler des agents par contre, j'ai un sérieux doute.

Dernière modification par Xotraz ; 31/10/2016 à 00h29.
J'ai pas dit délinquants, j'ai dit fauteur de trouble. Et avec l'effet de groupe, oui, 50% sans problème. Et pas seulement en ZUS (ah, ça a changé de nom), n'importe où. Tu as juste besoin d'un contexte favorable (deux semaines de canicules par exemple) et d'un élément déclencheur (un match de foot, une interpellation agitée...). L'excitation et l'effet de groupe fera qu'autour de la petite minorité de vrais fouteurs de merde (le noyau dur), tu auras les autres qui suivront, et qui par leur simple présence et leurs participation plus ou moins efficace gêneront les forces de l'ordre.
Citation :
Publié par Xotraz
Sans statistique partir du principe que la moitié des 13-25 ans mâle en "cité" serait des délinquants en puissance me semble assez énorme.
Je ne pense pas qu'il soit forcement si loin que ça. Le nombre d'habitants susceptibles de s'opposer à une intervention policière qu'ils jugent injustifiée (et sachant que les jeunes de ces quartiers ont une fâcheuse tendance à ne pas les considérer justifiées* qu'elles le soient ou non) peut s'avérer très supérieur au nombre de délinquants habituels, comme l'a montrée notre longue histoire d'émeutes.

* ce qui ne serait en plus pas totalement injustifié dans cet étrange scénario où on se mettrait à leur envoyer des cars de crs au hasard et sans autre mission que de les brutaliser
Ah oui du coup il faut trouver le noyau dur parmi le nombre énorme de "coupables" potentiels.
J'avais pas compris ça comme ça.

Faut dire qu'en partant du postulat d'envoi de camion de CRS pour botter le cul des merdeux des cités c'est compliqué de se comprendre.

Dernière modification par Xotraz ; 31/10/2016 à 00h50.
Citation :
Publié par Xotraz
Enfin si on parle de juste lancer des cailloux sur des voitures de flics ou d'insulter des agents je pense que cité ou pas cité c'est quelque chose qui se fait.
Juste ? JUSTE ???
Il est là le problème, à mon sens.

Dans mon monde, ça ne se fait pas. Du tout. Jamais. Même pas en rêve. Inconcevable.

Citation :
Publié par Vuvuzela
Moi je le conçoit puisque ça se voit a peu prés partout sur le territoire. Alors bon dans "ton monde" çan e se fait sans doute pas , et pour beaucoup d'autre aussi mais le fait est que ça existe et que c'est loin d'être rare.
C'est le "juste" qui est choquant

Dernière modification par pamoipamoi ; 31/10/2016 à 13h08.
Citation :
Publié par pamoipamoi
Juste ? JUSTE ???
Il est là le problème, à mon sens.

Dans mon monde, ça ne se fait pas. Du tout. Jamais. Même pas en rêve. Inconcevable.
Moi je le conçoit puisque ça se voit a peu prés partout sur le territoire. Alors bon dans "ton monde" çan e se fait sans doute pas , et pour beaucoup d'autre aussi mais le fait est que ça existe et que c'est loin d'être rare.
Citation :
Publié par Aratorn
S'il y a outrage caractérisé par une bande d'une dizaine d'individus, non, la réaction n'est pas de tenter une interpellation.
Ou alors avec le renfort d'une compagnie de CRS.
Non mais ne me fais pas dire ce que je ne dis pas, et en tronquant la phrase en plus. Dans un tel cas tu ne contrôles pas non plus l'identité des personnes, en fait tu ne fais rien parce que le rapport de force t'es défavorable et que tu n'as pas envie d'être à l'initiative de quelque chose qui puisse être subjectivement ressenti comme une provocation déclenchant des violences que tu n'es pas en mesure de gérer.

Merci pour la précision par contre, j'ignorais ce qui s'était passé plus tôt dans la semaine.
Citation :
Publié par Racen
Ben si.
J'ai relevé un seul outrage dans toute ma carrière. Contre une femme qui avait passé 15 minutes à nous insulter. Sinon dans tous les autres cas, un contrôle d'identité et une mise au point verbale suffise.

Ca veut dire éviter de laisser s'installer des zones de non-droit. Ça veut dire ne pas laisser les comportements de type "petit (délinquant/jeune qui branle) qui se la pète".
Si on se laisse marcher dessus dès le départ, la limite n'est pas fixée et après c'est le barrage qui fuit. C'est con mais la nature humaine est en fait très conne.
Bon j'ai préféré poser des questions plutôt que d'affirmer quelque chose dont je me doutais mais dont je n'ai pas idée de sa généralisation. Le contrôle d'identité comme moyen de contrôle social, donc ? Je n'ai pas l'impression que ça fonctionne (je peux me tromper, c'est uniquement basé sur les témoignages que j'ai lu suite à des contrôles d'identité et sur la manière dont je pense que je vivrais une telle situation), et que ça crée plutôt un sentiment d'humiliation et de défiance que d'apaisement et d'autorité.

J'imagine bien que face à un-e énervé-e seul-e ou en tout cas pas plus nombreux que les policiers/gendarmes, le contrôle d'identité permet de faire redescendre un peu la tension et de discuter plus calmement ensuite. Mais je me demande dans quelle mesure ça relève du cas général ou du cas particulier une telle situation.

Du coup je me demande vraiment si le contrôle d'identité sert à ce à quoi il prétend servir.

Sinon, la moitié des jeunes de cités qui seraient délinquants ? Mais vous vivez dans quel putain de monde ? Faire preuve de défiance a priori envers la police et tout autre agent de l'état parce qu'au vu de l'intérêt porté par celui-ci pour votre environnement de vie, d'autres systèmes de solidarités s'y sont substitués (dont la légalité vous importe assez peu, l'important étant qu'ils existent), ça ne fait pas de vous un délinquant. Et prétendre résoudre le problème à coups de cars de CRS c'est démontrer une seule chose : vous n'avez strictement rien pané au problème et à la détresse des habitant-e-s de ces quartiers, dont l'immense majorité préfèrerait bien volontiers être protégé par l'état, si celui-ci daignait assurer une égalité de fait entre les citoyens. A défaut, la protection de la bande locale vaut toujours mieux que la loi de la jungle.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Laadna
[...]
Bon j'ai préféré poser des questions plutôt que d'affirmer quelque chose dont je me doutais mais dont je n'ai pas idée de sa généralisation. Le contrôle d'identité comme moyen de contrôle social, donc ? Je n'ai pas l'impression que ça fonctionne (je peux me tromper, c'est uniquement basé sur les témoignages que j'ai lu suite à des contrôles d'identité et sur la manière dont je pense que je vivrais une telle situation), et que ça crée plutôt un sentiment d'humiliation et de défiance que d'apaisement et d'autorité.
En l'état, ce que je dis est que je peux calmer des personnes outrageantes avec un contrôle d'identité et une attitude ferme (mais courtoise). Je n'aborde aucunement le contrôle d'identité comme un moyen de contrôle social et en définitive j'en fais très peu. Je ne vois d'ailleurs aucun intérêt à faire un contrôle d'identité à une personne que je croise tous les jours...

Citation :
Publié par Laadna
J'imagine bien que face à un-e énervé-e seul-e ou en tout cas pas plus nombreux que les policiers/gendarmes, le contrôle d'identité permet de faire redescendre un peu la tension et de discuter plus calmement ensuite. Mais je me demande dans quelle mesure ça relève du cas général ou du cas particulier une telle situation.

Du coup je me demande vraiment si le contrôle d'identité sert à ce à quoi il prétend servir.
Il est utile s'il sert uniquement à ce pour quoi il a été créé.

Citation :
Publié par Laadna
Sinon, la moitié des jeunes de cités qui seraient délinquants ?[...]
Je ne me sens pas concerné par la remarque car d'une part je n'ai jamais dis ça (mais en soi tu dois sûrement parler d'autre chose que ma citation) et d'autre part j'aurai donc fait partie des délinquants (encore que je ne sois pas passé loin en fait...).
Citation :
Publié par Pile
[...]
D'ailleurs le Gendarme est assez souvent lui-même OPJ, condition la plus courante pour permettre le passage au grade supérieur. Donc présence de beaucoup d'OPJ sur le terrain.
En fait non. On est même en manque d'OPJ et surtout cela attire de moins en moins de jeunes. Trop de contraintes et trop de possibilités d'obtenir le grade par d'autres voies sans être OPJ (voies AVP et GFC).


Citation :
Publié par Pile
C'est aussi pour cette raison qu'il y a une certaine fracture entre la Police de voie publique et la Police judiciaire.
Ce n'est pas mieux chez nous. Tout le monde veut se barrer des brigades pour des services ou unités spécialisés. Le gendarme de base lorgne avec envie sur votre segmentation. Comme quoi l'herbe est toujours plus verte ailleurs.

Citation :
Publié par Pile
[...] Dans mon service je ne pense pas qu'il y ait un OPJ qui critique réellement sur ce point la section du Parquet dont nous dépendons, mais c'est aussi parce que nous travaillons dans un domaine dans lequel la répression est très forte. Cela fausse donc naturellement la vision.
J'ai poussé ma gueulante contre mon parquet pas plus tard que ce matin... Deux délinquants (vivants en Espagne) qui ressortent libres de GAV, un seul avec un rappel à la loi pour des vols. Magique!

Citation :
Publié par Pile
J'ai connu (en Gendarmerie ET en Police) des mecs qui s'amusaient à se mettre un petit coup de TASER entre collègues, pour la déconne. Dans les locaux. Et en mode contact.
Oui j'ai connu des bourrins.
Jamais vu. Ceci dit, ça doit exister en PSIG dont la mentalité est quand même plus... dure.

Citation :
Publié par Pile
Pour l'histoire je n'étais pas concerné, bien avant cela j'avais déjà remballé un moniteur (Gendarmerie) qui me juraient tous les grands dieux que si je voulais une habilitation TASER je devais obligatoirement me prendre une décharge, parce que "tu comprends, ça te permet d'appréhender ce que fait l'arme, c'est donc indispensable".
Ce à quoi je lui ai répondu que j'accepterai le jour où il se prendrai une cartouche de 9mm, histoire de mieux appréhender.
Et au final, malgré ce refus, j'ai eu mon habilitation. Comme quoi.
A une époque pas si lointaine, il était obligatoire de se faire taser pour avoir l'habilitation. Suite à des remarques du même genre (j'en faisais partie) désormais il n'y a plus d'obligation. Ce moniteur avait donc raison.

Citation :
Publié par Pile
[...] Dans quelle administration ou quel service ? Parce que je n'ai jamais entendu parler de cela que ce soit en Police ou Gendarmerie.
Euh... c'est dans FALLOUT hein
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Racen
Je ne me sens pas concerné par la remarque car d'une part je n'ai jamais dis ça (mais en soi tu dois sûrement parler d'autre chose que ma citation) et d'autre part j'aurai donc fait partie des délinquants (encore que je ne sois pas passé loin en fait...).
C'était le propos de quelqu'un d'autre.
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