Héros / Héroïne
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"Ce message est en remplacement de l'ancien suite a la modification de ce dernier"
Je me rappellerais toute ma vie de cette journée. C'était une nuit pluvieuse dans les ruelles sinueuses d'Altdorf, a la recherche de l'auberge qu'on m'avait indiqué. Les seules lumières éclairant mon chemin étaient celle des fenêtres de ces maisons typiquement humaines, et il se dégageait des sons et des odeurs indéfinissables par les portes me donnant l'impression d'être totalement perdu voir dans un rêve. Par moment cette ambiance était perturbée par le bruit des sabots ou le frottement du métal des roues de charrettes sur le pavé ce qui me ramène rapidement a la réalité. "Attentionnnnn...." Ce signal ma permit d'éviter de justesse le déversement d'un sot de chambre depuis une fenêtre dans la rue... Par l'odeur j'ai tout de suite remarqué ce que c'était...Quand est ce que les humains deviendront civilisés et ne jetterons plus n'importe quoi dans la rue.... Au coin d'une rue le bruit intense de personnes regroupés et surtout alcoolisées, m'indiquais que je ne n'étais plus très loin de mon objectif. "Mon seigneur une pièce pour boire, s'il vous plaît mon seigneur" La personne me demandant était dans l'ombre, je ne voyais même pas son visage. Je continuais sans m'arrêter, pas le temps pour ces rebuts de la société... J'arrivais enfin devant la porte de l'auberge, un tumulte immense s'en dégageait normal ce lieu est le dernier ouvert a cette heure tardive de la nuit.En poussant la porte je découvris toute la perversion du monde. Les humains et les nains ensembles a boire sans limites, des femmes de mauvaise vie incitant ces derniers a consommer par des gestes obscènes, des traces de défection sur le sol et je ne sais quoi d'autre, des personnes se bagarrant dans une zone sombre de la grande salle sans que personne n'intervienne.... Je me dirige discrètement vers le comptoir et j'aperçois le tenancier qu'on m'avait décrit. Un homme borgne, chauve et crasseux. "k'est ce que vous sers mon bon seigneur?" "Je ne suis pas venu pour boire" lui répondis-je "Mais alors c'est pour koi?Il veut goûter a nos filles hein!" "Non non je désir contacter vos amis de la confrérie...." Il y eu un silence de quelques secondes entre nous disant long sur ceux que je recherche. "Hum le monsieur doit se tromper je ne connais personne appartenant a une confrérie" me dit il a voix basse. D'un coup son regard se perdit au dessus de mon épaule.En me retournant je ne vis qu'une silhouette disparaître rapidement par la porte d'entrée. "Qui est ce, c'est un membre de la confrérie?" "C'est personne le monsieur pose trop de questions, je vous en parlerais demain mais pas maintenant il y a trop de monde. Prenez cette chambre on discutera au calme demain" Il me tendit des clefs , je les pris et le suivi. Il s'arrêta devant une petit porte et me fit signe que c'était celle-ci. Je ne parlais plus car j'avais compris que je n'apprendrais rien de plus... Dés que la porte fut fermée je mis de côté toutes mes affaires trempées et je m'endormis sur ce qu'ils appellent un lit.Ah un lit cela fait longtemps que je m'étais plus reposé sur une paillasse depuis que la guerre vint dans ma contrée. Brusquement j'ouvris les yeux une main étais posée sur ma bouche, je ne puis émettre qu'un miaulement sourd de surprise avant qu'un elfe par je ne sais qu'elle magie me rendit muet et me paralysa. J'étais totalement perdu , je ne distinguais que 3 silhouettes dans la chambre. "Surveille l'entrée " dit l'elfe penché au dessus de moi a un autre proche de la porte. "Alors comme cela on essaye de nous joindre ? Tu sais qui on est et que nous désirons pas de fouineur" dit-il. Le signe affirmatif de ma tête a première vue lui suffit. "De toute façon tout se voit dans le regard, ton air de colère et de haine me suffit comme argument. Tu désirs te venger , j'ai l'impression de me voir au début" dit il avec un sourire. "Tu sais que ça implique une dévotion et abnégation totale? Tu le sais?" Ma réponse se résuma a un "hum" sourd signifiant oui "On est d'accord" Il se retourna brusquement vers le mage elfe et lui dit : "Endors le!" Ce fut le noir total je n'ai pas même pas eu le temps de distinguer leurs visages. Je dormi comme je n'avais jamais dormi un sommeil sans rêve ni cauchemars... La première chose que je vis en me réveillant était le soleil qui se faufilait par la fenêtre de ma chambre, ah quel plaisir! Cela fait tellement longtemps que je ne l'ai plus vu...Les sorciers du chaos nous le cachais depuis des mois sur le champ de bataille, il me manquait... J'aperçu en me tournant vers la porte, posé sur la chaise avec mes affaires, un parchemin enroulé tenu par une petite ficelle. Je le pris avec ferveur car mon destin était marqué sur ces pages |
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La confrérie "Que sonne le Glas"
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