Onyx, disciple d'osamodas...

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Chapitre I

Comme tout les jours, Onyx se rendait au temple de son vénéré Dieu : Osamodas. Vivant dans la province d'Amakna, avec ses parents Orynthos et Amina, tout deux, modestes paysans ne subsistant que grâce à leurs champs de blé et de chanvre, il devait se rendre à pied, du haut de ses 15 ans, jusqu'au sanctuaire bien avant que le premier rayon de soleil ne surgisse. Il s'y rendait aussi tôt afin de revenir a temps pour participer aux travaux des champs. Cependant, il n'était jamais vraiment seul. Son fidèle tofu, Aery, le suivait constamment, perché sur son épaule tout comme son jeune bouftou, Hiotas, sans cesse à ses côtés. Comme tout les osamodas, il était en parfaite harmonie avec ses compagnons et ils se comprenaient souvent sans se parler.

Onyx se rendit donc au temple et s'agenouilla comme à son habitude, aux pieds de la statue d'Osamodas. Il rendait hommage à son Dieu depuis de longues minutes lorsqu'il entendit:

Une grande mission t'attend...

Etant habitué à être seul à cette heure et donc à ne pas être dérangé, il fut surpris d'entendre quelqu'un. Pourtant, il eut beau regarder partout, il ne trouva nulle trace d'une quelconque présence. La voix continua cependant:

Tu es destiné à accomplir de grandes choses. Une guerre se prépare et toi seul pourra l'arrêter...

Comprenant enfin quel était son interlocuteur, Onyx tressaillit de joie. Son impression fut confirmé par l'apparition d'une personne sortie de nulle part. Osamodas était devant lui ! Il était impressionnant, entouré d'un tel aura qu'Onyx ne pouvait le regarder en face. Il s'inclinât devant lui. Imperturbable, Osamodas continua :

Tu devra accomplir un long voyage afin de découvrir le monde qui t'entoure et te préparer mais surtout afin de découvrir ton destin. Mais attention, ta disparition entraînerai la fin du monde tel que tu le connais et le début d'une ère sombre et mortelle.

-Où devrais-je me rendre ? Demanda Onyx, intimidé par la puissance du Dieu

Rend toi à Astrub, tu découvrira ta destinée...

Et Osamodas se dissipa, laissant place à un grand silence...


Onyx rentra chez lui à toute vitesse pour raconter ce qui lui était arrivé à ses parents. Il les trouva aux champs en train de faucher du blé.

-Que faisais-tu ? Demandt Amina. Nous t'attendions !
-Il m'est arrivé quelque-chose d'incroyable...
-Quoi donc ? lui demanda son père.
-Le Dieu Osamodas ma parlé !
-Os... Osamodas ! balbutia sa mère.
-M... mais que t'as t'il dit? questionna Orynthos.
-Il m'a parlé d'un voyage que je devrais accomplir et d'une guerre que je devrais arrêter.

A ces mots, Amina fondit en larmes et Orynthos lâcha sa faux de stupeur.

-Tu... tu vas partir ?
-O... oui.
-Mais où ? Et quand ? demanda Orynthos.
-A Astrub... le plus tôt possible je pense.

Troublé, Orynthos réfléchit.

-Le temps de tout pr... préparer, il faudra au moins trois jours. Ca t... te va?
-Ou... oui. Répondit Onyx, qui commençait à saisir ce qui lui arrivait.

.:. Trois jours plus tard .:.

Pour Onyx, ces trois jours passèrent avec une rapidité stupéfiante. Il avait activement participé au fauchage afin de finir avant son départ. L'hiver approchant, ses parents auront moins de travail... et donc moins d'argent. Cela conforta Onyx dans son intention de partir : son absence représentera une charge en moins pour ses parents surtout pour la nourriture.
Il lui arrivait fréquemment de voir sa mère fondre en larmes ou son père se plonger dans un profond mutisme, ruminant de sombres pensées. Lui même pris enfin conscience qu'il allait partir pour peut-être ne revenir que dans longtemps... ou jamais. De nombreuses inquiétudes se formait dans son esprit : Comment vais-je me nourrir ? Me loger ? Vais-je savoir quoi faire ? Quel sera mon destin? ...
Donc lorsque le moment du départ fut venu, il était à la fois inquiet et soulagé de quitter l'ambiance morbide de ces derniers jours. Sa mère, les yeux rougis, lui confia un sac contenant des vivres, quelques Kamas, une couverture et son père lui fit don d'une carte achetée à bas prix à la place marchande. Après que sa mère lui ait donné les recommandations habituelles, il enlaça ses parents et prit son sac. Après un dernier salut, il s'éloigna...

L'aventure commençait !

(C'est mon premier RPG donc soyez indulgent Je l'avais déjà posté dans un autre forum mais celui-ci semble avoir disparu...)
Chapitre II


Onyx débuta donc son voyage vers l'inconnu. Pour l'instant, il n'avait pas quitté le chemin qu'il emprunte habituellement pour se rendre au temple de son Dieu. Il en profita donc pour honorer une dernière fois Osamodas avant de se lancer dans l'inconnu. Il se sentit rassuré par l'atmosphère apaisante et familière qui régnait dans le temple. Il resta donc quelques minutes à prier à sa place habituelle puis, déçu de ne pas voir apparaître Osamodas pour recevoir quelques informations lui indiquant que faire, il ressortit et reprit son périple vers Astrub.
Il marchait déjà depuis quelques temps, ne s'arrêtant que pour consulter la carte, lorsqu'il entendit un bruit. Ce ne fut d'abord qu'un bruissement, comme le bruit du vent dans les feuillages et il n'y prêta donc guère attention. S'ensuit un craquement pareil à une branche qu'on casse. A ce bruit, il sursauta et regarda autour de lui. Malheureusement, le feuillage dense l'empêchait de voir l'origine du bruit. Sans cela, il aurait pu anticiper ce qui lui arrivât : quelque chose le chargea brusquement, jaillissant de la forêt. Il ne réagi pas assez tôt et, bien qu'il plongea sur le côté, il fut violemment repoussé. Il repris rapidement ses esprits et tenta d'analyser la situation dans laquelle il était. C'est alors qu'il aperçut la cause de sa chute : Un sanglier l'avait chargé ! Celui-ci ayant continué sa course, tentait de retrouver sa cible, ce qui fut vite fait. Onyx aurait pu facilement monter dans un arbre si son bras n'avait pas été endolori par son plongeon forcé. Aery, s'affairait déjà à ralentir le sanglier en lui donnant des coups de bec tout en restant hors d'attaque. Loin de l'affaiblir, cela ne l'énervait que plus. Onyx, ne pouvait fuir en hauteur, d'une part à cause de son bras et d'autre part, pour ne pas abandonner Hiotas. Et personne pour l'aider ! Il devait donc ruser... Le sanglier, jugeant sûrement Onyx plus intéressant que le bouftou, le chargea à nouveau. Cependant, celui-ci, comptant sur la stupidité notoire des sangliers pris soin de se placer devant un imposant tronc. Il se devait désormais de s'écarter à temps car il n'aurait pas la force de retenter ce qu'il faisait... S'il s'esquivait trop tôt, le sanglier éviterait l'arbre et trop tard, Onyx serait renversé et à la merci de l'animal qui ne manquerait pas de le piétiner. Les nerfs tendus, il attendit, concentré, le bon moment. Lorsqu'il plongea, il sentit le souffle de ses naseaux sur ses jambes suivi de près... par un bruit sourd. Le sanglier s'était assommé ! Ce ne fut qu'à ce moment qu'Onyx se rendit compte que son coeur faisait ce son assourdissant et que ses jambes flageolaient. Il put observer enfin précisément son adversaire et remarqua qu'il était encore plus gros qu'il ne l'avait remarqué. Incapable de faire un pas de plus, il s'effondra et perdit connaissance...

Lorsqu'il se réveillât, il sentit l'herbe douce sous lui et quand il ouvrit les yeux, le regard flou, il vit... des poils roux au-dessus de lui. S'attendant à se faire déchiqueter à tout moment, il poussa un petit cri et essaya de se relever. De puissants bras l'en empêchèrent et il sentit qu'on lui faisait boire le contenu d'une petite fiole.

- Calme toi et bois donc ça ! Entendit Onyx.

Instantanément, sa vue devint net, ses douleurs s'atténuèrent ainsi que sa fatigue. Il découvrit enfin ce qu'il avait pris pour le sanglier : c'était un énutrof à la barbe rousse. Et ce qu'il avait crû être de l'herbe était en fait un lit douillet. Déconcerté par cet environnement inconnu, il resta tout d'abord bouché bée. Remarquant l'absence de ses compagnons, il s'exclama :

-Où sont Aery et Hiotas ?
-Du calme ! Tu parle de ton tofu et de ton bouftou ? Demanda l'énutrof. Puis sans attendre sa réponse, il répondit : Je les ait mis ailleurs pour que tu puisse te reposer.

Et sur ces mots, il ouvrit une porte, très rapidement franchie par Aery qui se posa à coté de sa tête suivit de peu par Hiotas, qui lui se réfugia contre ses jambes.
Enfin rassuré, il questionna son mystérieux hôte :

-Mais qui êtes vous ? Où suis-je ? Que m'est-il arrivé ?
-Doucement, jeune homme ! Dit l'énutrof, souriant. Alors dans l'ordre, je suis Barty et ma femme qui est dans la pièce d'à côté s'appelle Chrystia. Ensuite, tu trouve chez moi. Je t'ai ramené ici parce que je t'ai trouvé inconscient en rentrant de la mine. Avec un sanglier assomme qui plus est. Quant à ta troisième question, j'espère bien que tu va me le dire parce que je suis curieux de savoir ce que fait un jeune homme seul avec quelques provisions, des Kamas mais surtout une carte. Termina-t'il en le regardant l'air curieux.
-Mais d'abord, il faut qu'il mange quelque chose ! Intervint une voix féminine.

La femme de Barty, tout sourire, fit irruption dans la pièce, portant une assiette remplie de légumes. A ce moment-là, Onyx se rendit compte qu'il avait extrêmement faim. Aussi, il dévora de bonne grâce la succulente nourriture qui lui était offerte sous l'oeil vigilant de Barty et Chrystia. Une fois son assiette vidée, il raconta l'aventure du sanglier en détail mais fit passer son voyage pour une simple visite à l'un de ses oncles, certain que les enutrofs ne le croiraient pas s'il disait la vérité.

-Il va falloir que je reparte maintenant ! Déclara-t'il.
-Il fait nuit, tu n'as qu'à rester dormir ici, tu repartiras demain. Proposa le vieil homme.

Onyx accepta l'offre et les remercia. A peine étaient-ils sortis qu'il sombrait dans le sommeil.


Habitué à se lever tôt, il fut debout dès l'aube. Il croisa ses hôtes, déjà debout. Chrystia lui offrit quelques gâteaux qu'il mit pour la plupart dans son sac. Il mit ce dernier sur ses épaules et se préparant à partir, il les salua une dernière fois et les remercia encore.

-Fais un bon voyage ! Lui crièrent-il en coeur.
-Et méfie-toi des sangliers ! Rajouta Barty.

Esquissant un sourire, Onyx agita la main et repartit !
Babakool écouta attentivement le récit du jeune Osamodas.

Cette mission donnée elle-même pas son Dieu, arrêter une guerre, partir à l'aventure... ses yeux s'émerveillaient.

Il attendit la suite de l'histoire...
Chapitre III

Onyx reprit sa marche vers le nord. Plus il s'approchait du d'Astrub, plus il voyait de monde. Toutefois, il cherchait toujours un coin tranquille pour s'installer pour la nuit, après avoir préalablement vérifié les alentours. Du côté de la nourriture, la situation était plus compliqué : ses vivres s'amenuisaient et il devait commencer à se rationner...
Il était donc à la recherche un coin où dormir lorsqu'il entendit un craquement. Immédiatement sur ses gardes, il se retourna, pensant qu'un sanglier allait encore le charger. Aussi fut-il surpris lorsqu'il vit un féca, à peine plus agé que lui, qui le regardait, caché derrière un arbre.

-Qui es-tu ? Demanda-t'il.

Le féca s'approcha... Onyx vit tout de suite, à la façon dont il lorgnait son sac, ses intentions. Cependant, ne recevant pas de réponse, il continua :

-Que veux-tu ?
-Donne ton sac ! Dit-il, l'air mauvais, en avançant encore d'un pas.

Désormais convaincu, Onyx recula rapidement tandis que Aery et Hiotas foncèrent sur le féca. Cependant, ce dernier croisât les bras et un champ protecteur vint s'étendre autour de lui. Hiotas, fonçant tête baissée, fut repoussé avant même qu'il ait pu toucher le jeune féca. Aery, lui, tentait de descendre en piqué afin de transpercer ce bouclier mais il était sans cesse rejeté. Sans se soucier d'eux, l'adolescent ferma les yeux et un nuage sombre se forma au dessus d'Onyx. Un grondement s'en échappa. Grâce à ses réflexes, le jeune osamodas évita de justesse d'être foudroyé. L'herbe sur laquelle il se trouvait une seconde auparavant avait brulé. Le regard chargé de menace, le jeune agresseur répéta :

-Donne ton sac !

Onyx tenta de se souvenir d'une quelconque technique pouvant le sortir de ce mauvais pas. Si lui ne pouvait rien faire directement, il pouvait toutefois aider ses compagnons. Distraire son adversaire ne servirait à rien... Soudain, il eut une idée ! Il se rappela les fois où son père avait apporté un surplus de puissance à son bouftou afin que celui-ci puisse repousser toutes créatures menaçant ses champs. Bien qu'Onyx ne l'ai jamais fait, il sut exactement comment l devait agir.
Il ferma d'abord les yeux afin de se concentrer. Il sentit la puissance tant espéré monter en lui. Il tenta difficilement de la maîtriser et lorsqu'il fut prêt, il transféra cette vague de puissance vers Aery et Hiotas. Un bruit assourdissant surgit semblable au hurlement d'un ours. Il sut à ce moment qu'il avait réussi. En effet, subitement, il vit l'inquiétude remplacer la menace dans les yeux de son adversaire. Les efforts cumulés du tofu et du bouftou semblèrent faire vaciller le mur d'énergie du féca. Celui-ci tenta aussitôt de s'enfuir mais Aery réussit enfin à traverser son bouclier magique et à le repousser à coup de bec. Terrifié, il s'enfuit donc, poursuivi par un bouftou furieux et un tofu tout aussi énervé. Lorsqu'il furent loin, Onyx les rappela et, épuisé par toute ces péripéties, s'endormit presque aussitôt...

-Eh oh !

Ce fut les premiers mots qu'Onyx entendit. Il entrouvrit les yeux et se retrouvât face a un féca. Il sursauta mais remarqua rapidement que celui-ci était plus âgé que son agresseur de la veille.

-Tu vas bien ? Continua celui-ci.
-Oui, ça va ! Répondit Onyx, désormais réveillé.
-Quand je t'ai vu étendu par terre, j'ai eu peur. Ce n'est pas prudent de dormir dehors, surtout que les lieux sont peu sûr ici.
-Oui, j'ai remarqué ! Déclara ironiquement Onyx. Qui êtes vous ? Continua-t'il, afin d'éviter ce sujet.
-Appelle moi Mark, je suis marchand. Ou vas-tu donc, seul ?
-A Astrub, chez un oncle. Dit-il évasivement.
-Monte donc avec moi, je m'y rend justement ! Proposa, souriant, le féca.

Reconnaissant, Onyx accepta l'offre. Ces jours de marche avait rendu ses jambes douloureuses. Aussi, fut-il heureux de pouvoir voyager sans se fatiguer.

Et le marchand fit redémarrer son chariot en direction d'Astrub !
Chapitre IV



Onyx discuta de choses et d’autres avec Mark et il apprit ainsi, que celui-ci, comme beaucoup d’aventurier, s’était lancé à la recherche des Dofus mais avait rapidement abandonné face aux épreuves qu’il devait franchir et à la cupidité des autres aventuriers où seuls les plus puissants dominaient et méprisaient les autres. Il lui parla ensuite de se reconversion en marchand itinérant, se déplaçant de villes en villes et de province en provinces. Il semblait avoir tout vu : les vertes plaines de Cania comme les sombres landes de Sidimotes, seul Pandala lui était inconnu car il n’avait jamais souhaité prendre parti pour l’une ou l’autre des cités rivales, préférant une vie simple mais calme à une vie trépidante mais violente et dangereuse.


Soudain, les hautes murailles apparurent au loin, majestueuses et imposantes. Il y avait une foule comme jamais Onyx n’en avait vu. Ils roulèrent en silence, Onyx – qui ne s’était jamais éloigné de sa campagne amaknéenne – fut subjugué par ce qui lui semblait immense. Les murs s’étendaient d’ouest en est et s’élevaient au dessus des maisons… Mark s’amusait de son étonnement et ne voulu pas troubler sa fascination. Lorsqu’ils s’arrêtèrent pour se rassasier, le jeune osamodas semblait plus enclin à parler. Aussi, demanda-t-il :



- Comment ont-ils pu construire ces fortifications ?



Mark qui connaissait les grandes lignes de l’histoire d’Astrub commençât :



- Tout commence à l’époque où Brakmar et Bonta étaient en parfaite harmonie. Leurs habitants se rendaient souvent à Astrub pour se rencontrer car celle-ci avait l’avantage d’être à même distance des deux cités. La cité n’était délimitée par aucune frontière et on pouvait y entrer par tous les côtés. Lorsque les Brakmariens et les Bontariens entrèrent en conflit – personne ne sait vraiment quelles ont été les sources de ce conflit – les deux camps comprirent rapidement que Astrub, par sa position stratégique, se révélerait très utile. Etant au centre du territoire Dofusien, elle possédait une place primordiale que ce soit pour connaître les dernières nouvelles extérieurs autant que pour avertir les populations des alentours. Ainsi, Bonta fut la première à faire mainmise sur cette ville. Elle décida aussitôt d’élever des fortifications afin de défendre cette importante ville. Pour cela, elle fit tout comme elle et Brakmar avaient fais dans le passé : elles exploitèrent les prisonniers accusés de crimes graves afin que ceux-ci construisent les murs que tu as maintenant face à toi. Beaucoup périrent ou furent blessé mais Bonta, tout à sa guerre, ne s’en soucia point.



- Mais Astrub n’est ni Bontarienne, ni Brakmarienne…



-En effet, sourit Mark, malgré les défenses mises en place, elle passait toujours d’une domination à l’autre. Un jour, ses habitants, en ayant assez de toutes ces offensives qui faisaient, à chaque fois, beaucoup de dégâts, se révoltèrent contre ceux qui les dominaient.


Prenant par surprise ceux qui avaient le pouvoir, à cette époque, ils les repoussèrent et menacèrent de quitter la ville si les deux cités rivales revenaient à l’assaut. Comprenant qu’il ne leur serait d’aucun intérêt de diriger une ville déserté, ils décidèrent mutuellement, de laisser Astrub en-dehors du conflit qui les opposait. C’est donc ainsi qu’Astrub a acquit sa liberté et sa neutralité, conclut-il.



Onyx écouta attentivement l’histoire d’Astrub et fut déçu de devoir déjà repartir. Il aurait bien aimé rester allongé sur l’herbe à écouter les récits que Mark avait appris au cours de ses voyages mais ce dernier semblait prêt à repartir. Aussi le suivi-t-il lorsqu’il remonta dans le chariot.



Ils roulèrent encore et atteignirent enfin la grande porte lorsque le soleil s’approcha de l’horizon…

(Ce chapitre est plutôt court mais j'essayerais d'en faire un plus long prochainement )
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