[Negima]

Cette histoire n'est pas une histoire comme les autres, c'est une histoire qui pourrait arrivée, car tout bon père se sacrifirait pour ses enfants.

" Un beau jour, en sortant de ma petite maison à Ashford, je remarqua quelque chose que je n'avait encore jamais prit le temps de contempler : Mes enfants.Je m'aperçu alors que jamais je ne pourrait les perdres.Que mon sacrifice si un jour mes enfants étaient en dangers ne serait pas vain.Et j'avais d'ailleurs fort raison.Les jours passa, tous se ressemblais :

- Bonjour Papa !

- Bonjour mes chéris.

- Papa, Gurri n'arrête pas de m'embêter !

- Gurri, arrête ça !

Ils n'arrêtaient jamais de ce chamaillés, mais je savait bien qu'ils s'adoraient.
Tous les jours, ils partaient se promenés, s'amuser...Ils rêvaient tout deux d'être un grand combattant, malgré que Gurri disait que jamais une fille ne serait efficace au combat. Je disait toujours le contraire. Ils rêvaient tout deux d'être comme moi, un soldat, un guerrier.Ils me jugeaient comme un héros. Je ne suis et je ne serait jamais d'accord avec cela.Je ne suis pas un héros, je fait mon devoir, rien de plus.

Un jour comme les autres ou plutôt qui semblait être comme les autres arriva, puis il arriva quelque chose d'horrible : Le ciel s'obscurcît, des boules de feux se projetai un peu de partout, détruisant tout. Aussitôt, je sorti en trombe de la maison, agrippa mes deux enfants qui criaient et couru, couru, couru...Sans m'arrêter ne serait-ce qu'une seule seconde.Les Charrs arrivaient en courant, notamment vers nous.Aussitôt je dit à mes enfants de ce cachés derrière ce gros rocher. Je dégaina mon épée, fonça sur cette horde de Charrs en ordonnant à mes enfants de courir vers des soldats.

Ils refusèrent catégoriquement.Une vague de phrases me venu à l'esprit, tous plus grossières les unes que les autres.C'est bien les enfants de sont père ça me dit-je un court instant. Puis arriva la mort, qui tapée à ma porte tel un petit souffle de vent...Je cria encore une fois à mes enfants de courir, autrement ils auraient une fessés...Quel idiot je fait...Ils se mirent aussitôt à courir, se retournèrent quelques secondes pour voir qu'est-ce qu'il m'arrivait, et ils comprirent que j'allais sans aucun doutes mourir.Moi, je retardait le plus possible les Charrs, afin que mes enfants prennent le plus d'avance possible.

Même après plusieurs flèches décochées dans mon pauvre corps, plusieurs entailles très profonde et une lance dans la cuisse, je continuait à me battre.C'était peut-être toute la force d'un père qui fait un sacrifice pour ses enfants qui parlée...En touts cas, c'était sûr, j'allais mourir dans peu de temps...J'arrêta de me battre un court instant pour regarder mes enfants courir, puis je vit que des vaillants soldats les avaient prit.Ca y est, je pouvait enfin mourir, sachant mes enfants en sûretés...Je me laissa glissé au sol, puis marmonna quelques paroles, les dernières sans doutes :

S'il vous plaît, faite que mes enfants vive, et ne meurt pas aussi bêtement que moi...Je ne sais pas à qui je m'adressait à ce moment la, peut-être à dieu.Bizzare, je n'y ai jamais cru, à dieu...