Ceci est le premier chapitre d'une série de "FanFiction" liée à Imperator.
Il est à noter que vu le peu que nous savons aujourd'hui de l'Histoire d'Imperator, de nombreux éléments sont purement imaginaires et spéculatifs. De plus, vous remarquerez peut être certains clins d'oeil.
N'hésitez pas à commenter et critiquer, je ne suis pas écrivain, mon texte est donc peut être très "cliché".
Et si c'est vraiment pourri, dîtes le aussi
Si le texte plait suffisamment, il y aura un nouveau chapitre par semaine, c'est également pour cette raison que j'ai fait celui ci assez cours, pour conserver au maximum mon imagination.
[Chapitre 1] L'aurore d'un rêve
Par la baie du Star Destroyer Romain, Borus observait Terra dans toute sa splendeur. La planète de ses origines se rapprochait rapidement, il revenait enfin à sa mère patrie après de longues années d'entraînement. Il savait que rien n'y personne ne l'attendait, mais lui attendait Rome. Pouvoir à nouveau observer la magnificence du Sénat, l'immense structure de l'amphithéâtre Flavien,...
Pourtant, il savait aussi en son âme de Guerrier qu'il retrouverait aussi la Rome Spirituelle, emplie de tristesse, corruption, et complot. Tout ces éléments faisaient partie de sa vie, mais malgré tout, il ne pu s'empêcher de soupirer, de contentement ou de désespoir, personne n'aurait pu le dire.
Borus avait rejoint relativement tardivement les Légions, mais avait rapidement atteint le sommet malgré son âge parfois avancé. En effet, de nombreux Gardes étaient encore très jeunes, appâtés par les spots publicitaires et autres campagnes visant à recruter de nouvelles recrues. Son âge et sa force, aussi bien physique que mentale avait rapidement imposée le respect aux jeunots même les plus vaillants et arrogants.
Pourtant, sous cette cuirasse de Praetorien, et ce puissant corps, se cachait une âme tourmentée par le doute. Toute sa vie, Borus n'avait connu que de nombreuses Guerres aux extrêmes limites des frontières romaines. Il n'avait connu que quelques années de paix dont il n'avait pu profiter pleinement, forcé de former de nouvelles recrues aux durs arts du combat.
Borus restait néanmoins satisfait, sa vie n'avait certes pas connu beaucoup d'amour, ou de calme, mais il pouvait au moins avoir la satisfaction d'avoir toujours servi vaillamment la toute puissante Rome.
Alors qu'il était perdu dans ses pensées résumant sa vie, un matelot s'approcha doucement sans vouloir arracher son supérieur à ses méditations. Sombre erreur bien sûr, Borus, d'une vitesse inimaginable vu le poids de son armure se retourna arme pointée. Chance que ses réflexes étaient aussi aiguisés que sa vitesse pour comprendre la situation.
Le matelot tremblant s'excusa et indiqua à Borus que le Commander Dante l'attendait sur la passerelle.
- Signale au Commander que j'arrive
- Oui Capitaine ! <et le matelot s'en alla tout en saluant Borus>
Capitaine... capitaine... ce mot résonna encore dans l'esprit de Borus... ce Grade si durement acquis... Lors d'une mission à proximité d'Hades Prime, il avait provoqué son Capitaine alors qu'il n'était que lieutenant et l'avait tué de ses mains pour atteindre ce Grade.
Il avait estimé que son Capitaine d'époque avait commis une grave erreur de jugement lors d'une descente sur la planète, il avait envoyé trop peu de soldats, cela avait coûté la vie à 3 de ses amis, et 6 autres braves Guerriers.
La Rage Noire avait atteint Borus qui avait tué son Capitaine... d'abord, considéré comme un assassin, les Hautes Instances avaient annoncé que son acte avait été d'une grande bravoure, et qu'il avait agit en accord avec le code d'honneur en éliminant un "incapable" des Légions.
Mais même aujourd'hui, Borus connaissant sa force dans les moindres détails, craignaient de sombrer dans la Rage Noire, mais cette fois, de commettre un acte bien plus grave.
Quoiqu'il en soit, le Commander Dante des Légions Phoenix devait commencer à s'impatienter, et si il existait bien quelqu'un homme que respectait profondément Borus, le Commander Dante en faisait partie, comme les 4 autres Suprêmes Commanders des Légions.
Borus pressa donc le pas en direction de la passerelle de Commandement...
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