Les Orques

 
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Les Orcs

Nom: Orc (Orque) pluriel: Orcs (Orques)
Disposition : Mercenaires coupeurs de gorges, mais non sans sens de l'honneur.
Localisation : Les orques vivent dans de vastes régions de terres ouvertes qui leurs fournissent une meilleure visibilité sur de possibles envahisseurs.
Organisation : Les orques vivent dans des camps fortifiés et isolés au c½ur de régions facilement défendables.

Description physique

Résolus, forts et empestant, les orques sont de brutales et agressives créatures. La majorité des orques ne sont plus grands que les humains que de quelques pouces, mais ils peuvent sembler beaucoup plus larges car la partie supérieure de leur corps est très musclée. Les orques ont une grande fierté de leur physique et s'entraînent souvent de façon vigoureuse pour en augmenter la stature. La couleur de peau des orques peut grandement varier, du jaune brunâtre au vert foncé. Leurs cheveux sont habituellement coiffés de façon radicale tel en mohawks ou en top-knots.

Il est probable que le point le plus frappant dans l'aspect des orques est leur manque d'hygiène. Se laver n'est pas une pratique usitée chez les orques ou encore une pratique qui n'est même pas comprise. Créés par le Gardien en tant qu’armée qui n'aurait pas besoin d'entretiens, les orques vieillissent tellement lentement qu'ils pourraient être presque immortels, s'ils n'étaient pas aussi avides à s'engager dans des combats, chacun d'eux pourrait vivre plusieurs siècles.

L'Histoire

« Je sais ce à quoi tu pense. »

« Sors de mon esprit. Tu n'es pas le bienvenu ici. »

« Tu m'as amené ici. Je fais partie de ton esprit. Tu sais cela »

Des rêves de jours meilleurs emplirent Alucinor alors que le soleil disait bonjour aux roches, à l'herbe et aux arbres pour la toute première fois. C'était un nouveau commencement pour l'Avatar. Il avait combattu son double alternatif, le Gardien et avait réussi à éradiquer la menace du monde de Britannia. Alors qu'il regardait le paysage, il ne pouvait que se sentir comme un étranger de nouveau. Mais cette fois c'était différent : ce n'était pas une terre étrangère, mais une de sa propre conception. Elle était belle.

« Ce n'est pas la première fois que l'un de nous est attiré dans le monde de la fabrication de l'autre, Titan. »

« Je n'ai aucun intérêt à me rappeler cet endroit. Pagan était un monde du mal et si je ne t'avais pas expulsé de Britannia, il aurait finit de la même façon. Et je pensais t'avoir dit de partir. » L'Avatar savait que le Gardien ne serait pas aussi facilement écarté, mais il était fatigué et voulait admirer le premier lever de soleil d'Alucinor avant qu'il soit passé.

« J'ai un avantage cette fois ci, tu sais. En ce temps, je n'étais pas dans ton esprit comme je le suis maintenant. »

L'Avatar ferma ses yeux fortement, souhaitant pouvoir fermer ses oreilles, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de sa tête. Le nouveau monde existait; il était maintenant temps d'y faire venir les autres qui pourraient l'aider.

Un mince sourire dansa sur les lèves du Gardien. Les elfes et les humains seraient invités sur Alucinor, cela il l'avait senti. Qu'ils acceptent de venir était une autre chose ! Sans soucis, le Gardien serait prêt.

Il se concentrerait lui-même sur la menace humaine, mais il savait qu'il ne pourrait neutraliser à la fois la menace humaine et la menace elfe. Il délibéra sur la meilleure façon de créer une armée capable de venir à bout des elfes avant qu'ils eussent la possibilité de s'établir sur Alucinor. Il avait besoin d'une race forte, civilisée au minimum et compétente au combat.

Alors qu'il se remémorait ses souvenirs de Britannia, il trouva la réponse : les orques. Ils étaient une race guerrière, avec une société militarisée. Ils se préoccupaient peu des possessions matérielles et seraient facilement subordonnés par des promesses de puissance militaire. Et le meilleur de tout, ils avaient une réputation d'être lent d'esprit et étaient donc souvent sous-estimés au combat.

Il restait un problème à régler. Alors que les femelles orques étaient connues comme étant aussi fortes et capables que leurs contre-parties masculines, elles portaient le désagrément de l'accouchement, qui pourrait potentiellement réduire l'efficacité des forces orques. Où il y avait des femmes, il y avait des enfants, et où il y avait des enfants, il y avait une habileté réduite à se mouvoir sous la contrainte d'une courte notification. Plus de confiance en des traitements médicaux. Plus d'attachement émotionnel à la famille. Le Gardien n'avait aucun intérêt en cela, il créait une armée de guerriers barbares, non pas une civilisation de dévoués suivants.

La solution du Gardien à ce problème en fut une simple et tout à fait élégante : il créa seulement des mâles. Naturellement, cela limita les possibilités de reproduction, ce qui voulait dire que le Gardien auraient à inventer une façon pour les orques de se reproduire, ou il aurait à en fabriquer suffisamment pour s'assurer qu'ils survivraient suffisamment longtemps pour éliminer les elfes. Il choisit la dernière solution.

En peu de temps la terre d'Alucinor déborda d'orques. C'était le bonheur pour eux, et pendant un certain temps, il furent heureux. Il leur était permit de combattre et piller à souhait et ils croyaient fermement en les promesses que le Gardien leur avait fait : qu'une fois qu'ils auraient remplit les demandes du Gardien, Alucinor serait à eux et à eux seul. Ils étaient appelés de temps en temps à accomplir des missions militaires, chacune d'elle étant de faciles succès. Les orques n'étaient rien si ce n'est loyal aux rangs de la hiérarchie militaire et du fait les volontés du Gardien n'étaient jamais remises en cause.

Les orques d'Alucinor, n'ayant aucun concept de famille, se basaient seulement sur les grades militaires pour déterminer leur hiérarchie. Alors qu'ils étaient sous l'égide du Gardien, la hiérarchie orque était simple et constituée uniquement de deux grades bien définis : Maître et Prévôt. Le grade de Maître était réservé au Gardien lui-même, alors que le second grade, Prévôt, désignait, dans chaque campement, l'orque qui recevait directement ses ordres du Gardien. Des grades additionnels étaient considérés inutiles par le Gardien, car tous les orques étaient considérés également indispensables.

Ils avaient peu d'alliés si ce n'est les fées, que le Maître avait également créé, mais même cette relation en était une de tolérance mesquine, plutôt qu'une de respect. Cependant, les orques étaient heureux de ne pas être tracassés par des missions sensibles ou diplomatiques pour le Maître ; les fées s'en occupaient.

Au gré du temps, la population d'orques commença à diminuer, tout comme le Gardien savait que cela arriverait, mais le Gardien avait planifié cela. Il savait que les orques avaient tendance à rester dans leurs sociétés immédiates, quittant rarement leurs villes fortifiées sauf en cas de nécessité absolue. Des communautés entières d'orques pourraient disparaître, alors que les autres orques n'en sauraient jamais rien. Entre les orques et les fées, les forces du Gardien étaient grandes.

Mais quelque chose partit de travers. Les fées avaient apparemment changé de camp, laissant le Gardien avec ses seules brutes d'orques pour faire parvenir ses offres – et les orques n'étaient pas très adaptés à la subtilité.

L'Avatar senti le changement et l’identifia immédiatement. La confiance du Gardien commençait à fléchir. Il sourit : « J'ai les fées, et les elfes arrivent. »

« J'ai les orques et ils sont toujours nombreux. D'une certaine façon il semble que nous arrivons toujours à un équilibre. »

« Tes fées t’ont laissé. Qu'est-ce qui te fait penser que les orques n'en feront pas autant ? »

« Ils ne vont pas s'égarer. Je les ai créés. Ils n’ont aucune famille, aucune femme, aucun enfant, aucune distraction. Ils sont entièrement dédiés à moi. »

« Comment vont-ils rester heureux? »

« Ils n'ont pas besoins d'être heureux. Ils doivent seulement m'obéir. »

Mais le Gardien savait que sa position avait été affaiblie. Les orques n'auraient jamais la finesse pour prendre la place des fées dans la tâche de soutenir le travail de l'Avatar. Il y avait à peine suffisamment d'orques restant dans Alucinor pour s'occuper seulement des elfes – sans les fées pour créer le chaos en arrière scène, une attaque frontale contre les elfes aboutirait probablement à la fin des orques. Mais les elfes devaient être détruits immédiatement. Il ne pouvait leur être donné la chance de s'établir en Alucinor. C'était un sacrifice qu'il devrait faire.

L'Avatar avait essayé de discuter avec les orques dans le passé, mais ils avaient refusé d'écouter, voyant l'Avatar seulement comme l'ennemi mortel du Maître. L'Avatar apparu de nouveau, cette fois ci à un éclaireur orque grisonnant nommé Morlub. Il demanda à Morlub combien de temps s'était écoulé depuis qu'il avait visité ou vu les communautés orques avoisinantes. Comme l'Avatar le suspectait, Morlub n'y avait jamais été. Il lui dit alors que les communautés orques voisines – que toutes les communautés orques voisines – étaient parties, détruites alors qu'elles accomplissaient des incursions commandées par le Gardien. Morlub écarta de la main ces nouvelles comme une tentative évidente d'instaurer le doute. Mais l'Avatar avait choisit Morlub pour une bonne raison, il savait que Morlub était frustré par le manque de support de leurs voisins. Morlub décida, comme L'Avatar l'avait prévu, d'aller voir par lui-même.

Ce que Morlub trouva changerait pour toujours la société orque. Les autres orques n'étaient plus. Leurs campements n'étaient pas ravagés ou pillés ou détruits; ils étaient seulement vides. Aucun équipement de guerre n'était visible et tout avait été soigneusement sécurisé. Les orques qui avaient vécu à cet endroit étaient partis de leur propre gré, entièrement préparés pour la guerre. Morlub poursuivi jusqu'au campement orque suivant et trouva la même chose. Il ne pouvait plus nier ce que l'Avatar lui avait dit : son propre campement était le seul restant. C'était le plus grand des campements, abritant des milliers d'orques, mais il était maintenant le seul restant. Il prit certaines possessions personnelles des Prévôts de chaque campement qu'il visita comme preuves pour appuyer ses dires et s'en retourna chez lui pour en informer son clan.

Son prévôt fût sceptique, mais se rendit rapidement compte que ce n'était que la vérité. Les orques n'étaient pas les suivants du Maître. Ils avaient seulement été de la chair à canon : chair à canon qui serait bientôt froide.

Pour la première fois, les orques remirent en cause les promesses du Maître. Les orques s'étaient vus promettre le contrôle d'Alucinor, mais maintenant il semblait improbable que leur race allait tout simplement survivre. Des centaines de milliers d'orques avaient donné leur vie en combat, sur la base de promesses pour le futur. Et pour quoi ? Ils avaient regardé le Gardien tourner le dos aux fées femelles, les laissant libre de faire ce qu'elles voulaient au milieu des autres habitants d'Alucinor. Même les fées mâles, qui restèrent fidèles au Maître jusqu'à la fin, furent horriblement déformées et laissées à vivre une vie torturée tel des créatures méconnaissables. Est-ce que cela serait aussi leur destin ? Ou même pire – étaient-ils destiné à disparaître d'Alucinor pour toujours?

L'Avatar était content; les elfes arriveraient bientôt et le Gardien en appellerait aux orques pour les combattre. Tout se résumerait à une bonne synchronisation.

« Qu'as-tu fait ? »

« Je n'ai rien fait; tes orques ont simplement découvert la vérité. Ils ont vu que tu ne leur offre aucun futur. »

« Je les ai crée pour un but spécifique et ils auraient accompli ce but. Ils n'avaient pas besoin d'un futur. »

« Je pense qu'ils ne sont pas d'accord. »

L'Avatar était dans le vrai. Malgré le fait que les orques n'avaient aucune famille ou enfant à protéger, leur instinct de conservation était fort. Ils n'avaient aucun intérêt à suivre un dirigeant qui ne ferait qu'observer sans passion la destruction de leur race, ou même pire, qui donnerait les ordres qui mèneraient leur race à l’éradication. Ils avaient peu d'intérêts dans l'Avatar ou les Vertus, mais il était clair que s'ils voulaient que leur race survive en Alucinor, ils auraient besoin de nouveaux alliés.

Le Prévôt délibéra sur la meilleure ligne de conduite à suivre et en arriva finalement à une décision. Ils joindraient l'Avatar dans son combat contre celui qui avait été leur Maître. Ils ne seraient plus l'armée du Gardien, utilisée ou jetée comme il le voyait. Ils apprendraient eux-mêmes les Vertus et les utiliseraient pour affaiblir la prise du Gardien sur Alucinor. Le temps de la vengeance était venu.

L'Organisation

Sous les ordres du Gardien, il y avait peu de besoin en une société orque organisée. Le Gardien donnait les ordres et les orques les accomplissaient. La guerre, par contre, était une autre histoire. Bien qu'il soit facile de supposer de par leur nature barbare que les orques seraient chaotiques et sans ordres, rien n'était plus loin de la vérité.

En partie à cause du au manque de rangs distincts au c½ur de la société orque et en partie à cause de leur volonté à suivre les ordres du Gardien, les orques se voyaient comme une seule et grande unité en combat et leurs terminologies pour nommer les différentes positions lors des batailles reflétaient cet état d'esprit. Les orques qui étaient suffisamment braves pour charger au combat à l'avant garde étaient considérés comme ayant la position du « heaume » (Helm). Ceux qui formaient le c½ur des forces étaient nommés le « haubert » (habergeon) du bataillon. Les orques qui défendaient les cotés vulnérables du tronc de l'armée se disaient comme étant aux positions des « gantelets » (gauntlet). Finalement, les orques qui se retrouvaient à l'arrière garde étaient considérés comme les « bottes » (boots) des forces armées. Les orques n'occupaient généralement pas la même position au cours de batailles successives. Du fait que le heaume était invariablement la position la plus désirée, elle était toujours complétée par les premiers orques à se mettre en formation en préparation d'un combat, peut importait quels orques le composait.

Une fois la décision prise de créer une nouvelle société orque indépendante du Gardien, il fut clair qu'une nouvelle structure de commandement serait nécessaire. Le seul prévôt survivant, en tant que plus haut (et seul) orque en grade d'Alucinor, se donna lui-même la priorité de créer de nouveaux rangs. Il fut suggéré par certains qu'il prenne le rang de Maître et qu'il assigne de nouveaux orques en tant que Prévôts, mais le Prévôt décida plutôt de retirer de leurs rangs les titres choisis par le Gardien et d'adapter un système créé par les orques pour eux-mêmes.

Décortication d'un clan orque:

Le Heaume : Le rang le plus haut d'une société orque. Un orque, autrefois connu sous le patronyme de Prévôt, a cette position.
Le Haubert : Pour chaque camp orque, l'on retrouve de trois à six Hauberts servant en tant que conseil dirigeant de ce campement en particulier.
Les Gantelets : Chaque campement a de six à douze orques qui servent en tant que Gantelets. Ce sont des orques extrêmement agressifs et brutaux qui ont comme tâche de veiller à ce que les orques restent la première force de combat en Alucinor. Ils ne reculeront devant rien pour faire en sorte que la réputation des orques en tant que combattants barbares et sauvages soit méritée.
Les Bottes : Les « enrôlés » de la société orque, se composant de tous les orques qui ne sont pas en position de commandement.

La majorité des orques vivent dans des campements militaires permanents, où il y a peu de règles autre que la force dirigeante. Les constructions des quartiers des orques sont habituellement simples et primaires, la localisation étant de loin plus importante que l'aspect. Les orques préfèrent créer leurs campements en de vastes régions ouvertes, qui ne laissent aucune couverture à une attaque surprise. Les visiteurs seraient bien vus d'annoncer leur présence le plus tôt possible et de façon claire, car les orques n'hésiteront pas à attaquer quiconque pourrait être perçu comme un intrus.

Les Dispositions

Un des facteurs qui a fait des orques un choix aussi parfait aux vues du Gardien en tant qu’armé était leur réputation d'êtres lent d'esprit et sans imagination. Naturellement, puisque ces orques n'étaient pas issue de Britannia, mais plutôt créé par le Gardien, ils sont de loin plus intelligents que leur contre partie Britannienne, bien que cette intelligence ne soit habituellement pas visible lorsque l'on écoute leur façon de parler. Les orques croient que la mesure de la vraie valeur s'établit par les actions, et non les mots, les emmenant à éviter les paroles excessives et en raccourcissant leurs phrases aussi souvent que possible.

La vigilance est d'une grande importance chez les orques, ce qui signifie que l'alcool est généralement mal vu la majorité du temps – l'exception étant lors des célébrations suivant des batailles majeures. N'ayant aucun concept de famille, les orques montrent peu d'affection pour les autres races ou même envers les autres orques. Le respect est gagné au combat seulement.

Dans la plus grande partie, les orques ont complètement divergés des voies du Gardien, bien qu’il y ait encore certains signes de l'influence du Gardien dans certains détails mineurs de la société orque, comme dans les expressions qu'ils utilisent pour les différentes périodes de la journée:

Le Regard du Sang (Bloodwatch): L'aube
Le Premier Reflux (Firstebb): L'avant-midi
La Marée Haute (Daytide): L'après-midi
Les Trois Lunes (Threemoons): Le crépuscule
Le Dernier Reflux (Lasteeb): Après le crépuscule
La Marée Basse (Eventide): À partir du couché du soleil.

Bien que depuis qu'ils aient quitté le Gardien et suivent les Vertus, plusieurs spéculations abondent à savoir s'ils le font par croyance en les Vertus elles-même ou plutôt sous un pur désir de vengeance envers le Gardien. Il y en a peu qui peuvent se vanter d’en être sûr, excepté les orques eux-mêmes.

L'Habillement

Les orques apportent peu d'importance à leur aspect, choisissant un habillement en se basant seulement sur ses fonctionnalités. Si elle peut arrêter une lance, c'est une bonne armure, peu importe son aspect.

Les combats

La majorité des orques passent leur vie à s'entraîner au combat et à y prendre part, ce qui sous-entend qu'une discussion sur la société orque est presque par définition une discussion sur les orques au combat.

Les orques sont compétents dans plusieurs styles de combats, mais préfèrent généralement les armes lourdes, qui frappent durement, qui dévastent leurs opposants alors qu'ils sont à l'offensive, ce qui est généralement leur cas tout au long d'un combat. En dépit de leur stature les orques sont plus agiles qu'ils ne le paraissent.

Bien que les orques ne soit pas du genre à changer leurs manières pour être juste au c½ur de la bataille, ils ont un sens de l'honneur et vont rarement attaquer un opposant désarmé à moins d'être provoqué (ou qu'ils en aient reçu l'ordre d'un orque de rang supérieur).
 

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