Un soir alors que les étoiles tombées en mon âme tel une douce lueur guidant mon esprit, je pensais à toi. Depuis se jour où la lune avait éclairé ton visage, je n'avait cessé de penser à toi, imaginant que plus rien ne nous séparerait. Un soir alors que les nuages voilés la lune, mon âme c'est dissipée, peu à peu un voile flou entre nous s'installait, le drap d'un deuil que jamais je ne souhaite faire. Sentant encore la brise de la nuit caresser mon sombre visage, comme le souffle sucré de ta bouche.
Une nuit, alors que mes armes c'étaient arrêtés de luire, des gouttes de sel son tombées à mes pieds, laissant un peu de moi sur ces terres désolées. Une nuit où les loups étaient silencieux, mon coeur c'est arrêté de battre pensant ne plus jamais te revoir. Seul fasse au néant saurais-je me battre ?
Une aurore sur le flanc des montagnes enneigées, je suis assis, attendant la lumière de l'espoir tel ta main saisissant la mienne. Une aurore au lueur pâle, l'horizon me regarde tel que je le regarde, infini, lointain et incertain. Mais cette aurore n'est point la notre, je garderais en moi la force de saisir ta main, le courage de ressaisir mon marteau, la joie de sécher mes larmes et l'espoir de te revoir.
Celui-ci est gratuit, pour toi.
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