Edit : je viens d'aller lire la page Wikipedia de Eddings, bah j'aurais pas dû... C'est le même effet que pour Marion Zimmer Bradley. Il était bon le temps où on connaissait rien de la vie de nos auteurs favoris...
Wow le choc, j'ai beaucoup apprécié Eddings quand j'étais gamin moi aussi, mais là je me sens un peu sale.
Sinon je lis Roshar en ce moment, j'en suis au dernier bouquin, c'est pas mal sans être non plus extraordinaire. C'est en dent de scie, t'as des phases où les perso bougent pas ni physiquement ni scénaristiquement pendant 300 pages, puis d'un coup tout se débloque.
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