Point de vue au niveau du Background.

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Bonsoir à tous,

J'ai de nombreuses hésitations au niveau du background, hésitations que certains trouveront désuètes, mais j'aime que les choses soient clean. J'ai lu beaucoup de backgrounds, sur le forum officiel, et sur JoL, et nous sommes tous d'accord pour dire qu'un background est le récit de la vie d'un personnage, du moins, de plusieurs chapitres de sa vie. Cependant, comme je l'ai dit, quelque chose me triture ; et cette chose se trouve au niveau du point de vue. Un background est différent d'un roman/nouvelle que l'on peut lire, en effet, le background raconte l'histoire d'un personnage, le récit sera donc axé sur ce personnage X, alors que le roman/nouvelle raconte une histoire qui peut avoir plusieurs personnages principaux, par exemple, X, Y, et Z, le point de vue change tous les chapitres, un avec X, l'autre avec Y, etc..., jusqu'à ce qu'X, Y, et Z se rencontrent. Pensez-vous donc, que, dans un background, on puisse raconter l'histoire de la même manière qu'avec un récit ? Comment écrivez-vous votre background ? À la manière du principe du background, ou comme un roman/nouvelle ?

J'espère avoir été clair dans mes explications, car c'est assez délicat à expliquer...
Je pense que tu peux t'attacher davantage à la signification première de background, "arrière-plan" donc. Cela résume très bien le concept à mon sens.

Dans le Monde des Douze, le background est le fond, les grandes lignes, le contexte. Le mot a peut-être été trop utilisé par la suite, car on pourrait difficilement dire que ce qui concerne les Dieux et leur culte est totalement de l'ordre du "fond". Néanmoins le sens est encore là. Ce n'est pas l'Histoire qui fait ton personnage, en dehors de sa classe. Le fait que ton personnage vénère ou non un dieu en particulier ne joue pas sur son caractère ou sur son physique, sur ce que tu décides qu'il sait faire, qu'il aime, etc.

Si on discute du background d'un personnage fictif (j'entends par là une création d'un joueur et pas Nomekop ou Léthaline), je pense qu'on dépasse le côté "fond". Je dirais que le background d'un personage, tel qu'on entend cette expression, c'est presque tout le personnage : son caractère, son apparence, son histoire, etc. Il ne reste guère que le présent qui n'est pas strictement couvert, mais que le background influence énormément. Le background n'agit pas, il donne de la profondeur à l'action.

Je ne pense pas qu'on puisse dire que le background a la "fonction" d'être un récit en soi, mais qu'il est plutôt le support d'un récit.
C'est un peu comme si on comparait un monstre, par exemple l'Obsidiantre, à l'endroit où il vit. Les falaises, la lave, la fumée, c'est en fond, bien que ça ait un rapport évident avec la créature, ce n'est pas ce qui va créer une action, mais ça va la porter, la crédibiliser. Ce qui est important, ce qui évolue dans le présent, c'est l'Obsidiantre lui-même. Mais serait-il aussi crédible dans une forêt marécageuse ou au fond des eaux ? Sans doute que non.

J'espère avoir pu t'aider un peu. Bien sûr tout ceci est mon avis.
Citation :
Publié par Lumiciole
Le fait que ton personnage vénère ou non un dieu en particulier ne joue pas sur son caractère ou sur son physique, sur ce que tu décides qu'il sait faire, qu'il aime, etc.
Je réagirais juste à ça, car dans Dofus vénérer une divinité a bel et bien des conséquences sur le disciple. Comme nous le savons les disciples prennent l'apparence de leur dieu (du moins elle se modifie suivant un schémas similaire pour tous les disciples d'un même Dieu), mais ils héritent aussi de leur magie et leurs idéaux (bien que la décision d'avoir la foi en tel ou tel dieu relève déjà d'une certaine idéologie, car un personnage excellant au tir à l'arc aura plus de chance de se convertir à Crâ qu'à Iop et on pourrait citer pas mal de cas comme ça).

Autre exemple pour illustrer, je ne pense pas qu'un disciple de Sram s'amuserait à faire de la charité juste pour montrer que "les Sram gentils ça existe", car en faisant ça il rompt son accord avec les idéologies de son Dieu, et par la même sa foi.

Après je ne connais pas d'histoire officielle du background qui traite de ce genre de fait, mais dans la logique des choses et avec ce que l'on sait déjà, ça me semble probable que ça fonctionne comme ça.
Donc on pourrait dire qu'un disciple même si il se converti par choix, n'est plus totalement libre de son apparence physique, ni de ses pouvoirs magiques (on ne sait pas vraiment si croire en un Dieu est une condition sine qua non pour utiliser la magie cela dit).
Citation :
Publié par Lumiciole
[...]
Selon toi, un background serait donc uniquement constitué de dates et de quelques phrases, qui servirait de base pour un hypothétique récit ?
Comme l'ont très bien précisé au-dessus mes VDD, je te dirai que le Background est une fioriture dans le Monde des Douze. Ton personnage est entre autres un détail inséré dans l'univers colossal d'Ankama.

En outre, ton récit de Background importe peu sur la mise en développement : tu peux très bien parler de l'histoire de ton personnage sous forme de roman, tout comme tu peux le faire sous forme de récit autobiographique - et même épistolaire ! -

Dans tous les cas, ce qui intéresse dans le Background, c'est l'imagination, l'histoire, et non pas comment celui-ci est mis en forme.

C'était un flash éclair.
Oui, je suis assez d'accord avec ça.

Prenons n'importe quel récit se voulant basé dans un univers "réel".

Je veux écrire l'histoire d'un homme vivant sous Louis XIV. J'ai donc comme Background toute la période de règne et un contexte de niveau de vie de la société et des inventions de l'époque.

Mais en dehors de tout ça, je suis totalement libre d'écrire ce que je veux du moment que je respecte ce fond historique.

Dans dofus idem : y'a les villes, les dieux, les classes, les lieux et quelques dates, les armes et les ressources.

Après y'a quelques personnages "connus". Les 3 bandits, Vil smisse, les boss et des pnj remarquables etc etc... La vie des ces personnages n'est pas précise, il y a des grandes lignes donnant des traits de caractères ou des liens entres eux mais pas plus, ce qui une fois de plus laisse une liberté certaine à qui veut les utiliser pour raconter une histoire se passant dans ce tableau.

Je raconte l'histoire de X

rien ne m'empeche de dire que X rencontre Farle au détour d'un champ, car le BG de Farle n'est pas précis à chaque minute de sa vie. On connait les grandes lignes (et pas forcément toute) mais pas sa vie minute par minute. Par contre si tu truicide Farle avec un fusil à pompe dans un bordel là ça coince :
1) Farle est pas mort
2) un fusil à pompe dans dofus olol (ça revient à faire du pvp avec un sadi)
3) un bordel dans dofus (quoique)
Citation :
Publié par Anarky
Autre exemple pour illustrer, je ne pense pas qu'un disciple de Sram s'amuserait à faire de la charité juste pour montrer que "les Sram gentils ça existe", car en faisant ça il rompt son accord avec les idéologies de son Dieu, et par la même sa foi.
Dans le récit sans nom du DM, Mortimer essaye de montrer que les sram sont gentils. Je pense que faire un personnage qui ne correspond pas à 100% à sa classe peut justement en faire quelqu'un de plus intéressant (ou cliché au choix). Avalhon utilise aussi cette méthode en rendant son iop intelligent. Dans le Dofus monster sur Ténèbres, Balou, qui veut devenir disciple de Sacrieur pleure dès qu'il saigne...

Après pour l'histoire du BG doit-il être raconté de la même manière que le récit.. je dirais oui et non. Tu peux très bien présenter le BG par un intermédiaire différent du personnage que tu incarne.
Citation :
Publié par L'Homme Rouge

En outre, ton récit de Background importe peu sur la mise en développement : tu peux très bien parler de l'histoire de ton personnage sous forme de roman, tout comme tu peux le faire sous forme de récit autobiographique - et même épistolaire ! -

Dans tous les cas, ce qui intéresse dans le Background, c'est l'imagination, l'histoire, et non pas comment celui-ci est mis en forme.

C'était un flash éclair.
Merci beaucoup, c'est la réponse que je cherchais !

Citation :
Publié par Merseankh
Dans le récit sans nom du DM, Mortimer essaye de montrer que les sram sont gentils. Je pense que faire un personnage qui ne correspond pas à 100% à sa classe peut justement en faire quelqu'un de plus intéressant (ou cliché au choix). Avalhon utilise aussi cette méthode en rendant son iop intelligent. Dans le Dofus monster sur Ténèbres, Balou, qui veut devenir disciple de Sacrieur pleure dès qu'il saigne...
Pour Mortimer, c'est pas très explicable, en effet, mais pour Avalhon, on peut être intelligent et puissant/bourrin, quant à Balou, il est encore jeune, et change par la suite.
Dans la continuité de cette idée, on pourrait très bien imaginer une amitié entre un disciple de Silvosse et de Brumaire, qui sont pourtant membres de cités opposées.
Sauf qu'un Iop intelligent ça ne me choque pas dans la mesure ou cette intelligence peut faire conserver la foi en son Dieu, sa passion pour le combat etc... C'est pas la bêtise qui réunit les Iop mais bien le combat, imo.
Pour l'histoire du Sacrieur qui a peur du sang (c'est dans Dofus Arena, du coup le BG a parfois pris quelques libertés), on peut penser que parfois, même avec le désir de se convertir il subsiste quelques lacunes/peur de s'engager, et c'est au futur disciple de voir si sa foi est assez forte pour palier à ça, ou si il vaut mieux se reconvertir.

De toute façon, pour les histoires on aura toujours tendance à utiliser un disciple "pas comme les autres", afin de le rendre plus intéressant. C'est pas impossible même avec le BG en place, faut juste faire attention à ce que ça ne devienne pas trop incohérent.

Dans le genre disciple "détourné" d'ailleurs il y a Brumen Tinctorias, c'est l'exemple typique.
C'est un Eniripsa mais il n'utilise plus ses compétences comme il le devrait (je vais pas spoil mais vous voyez le personnage quoi), ça ne l'empêche pas de rester un Eniripsa, juste qu'il s'est quelque peu éloigné de ses congénères médecins, non sans conséquences d'ailleurs, preuve qu'on ne tourne pas le dos aux Dieu sans contrepartie.

Dernière modification par Anarky ; 27/06/2012 à 17h02.
Citation :
Publié par Post Mortem
Merci beaucoup, c'est la réponse que je cherchais !
Au plaisir !
Et si tu fais un Background d'un personnage ou plusieurs, sache que je le lirai volontiers !
Je me suis mal exprimée à propos de la foi qui n'influençait pas le personnage. Je veux dire par là que ce n'est pas ça qui fait l'histoire, le présent du personnage. La foi envers un dieu, c'est un paysage en fond ou un cadre, mais ce n'est pas ça qui fait que le personnage machin aime acheter du pain chaud le matin à l'épicerie bontarienne en bas de chez lui, et l'action qui en résulte. Mais je suis d'accord quant à l'influence que ça a sur le physique, les techniques et une partie de la mentalité du personnage.

Quant aux personnages qui ne correspondent pas à la philosophie usuelle de certains dieux, je pense que c'est en partie subjectif. Prenons par exemple le culte de Sacrieur. Nous citons très souvent en premier lieu le masochisme et le goût du sang comme traits de caractère principaux de ses disciples. Pourtant, à son origine, Sacrieur a apaisé les souffrances de gens qui ne les supportaient plus. Il n'était pas question de jouissance, mais de diminuer la douleur physique et d'en tirer de l'énergie. D'ailleurs, ce ne sont pas les blessures qui sont mises en avant dans le livre qui traite de la montée de Sacrieur ("Les Larmes de la Déesse"), mais la faim, la maladie et le froid en priorité.

On peut donc trouver beaucoup de variantes chez les Sacrieurs, et sans problème un qui n'aimerait pas souffrir. Il a pu choisir de se faire disciple de Sacrieur par courage, par crainte, par douceur, parce qu'il subit des violences, parce qu'il travaille ou souhaite travailler dans un endroit dangereux, etc.

J'ai peut-être pris l'exemple le plus facile, bien sûr les nuances sont plus ou moins importantes selon les classes et les choix (le culte d'Eniripsa me semble moins confus et libre que celui de Sadida par exemple).

Un autre exemple facile serait les Roublards, les Zobals et les Steamers, qui vénèrent les mêmes dieux que d'autres tout en étant très différents. Bon mais ça, je dirais que c'est plus difficile à discuter (personnellement, en tant que Roublarde, jamais je n'abandonnerai le souvenir de Raval et de Vil Smisse pour ce joueur de flûte qu'est Dralbour).


Je pense qu'en plus de choisir quel dieu nous voulons adorer, nous choisissons aussi de quelle manière et ce que suivre ce dieu signifie pour nous. Ceci dans une certaine limite tout de même, comme dans l'exemple de Brumen évoqué par Anarky. (C'est pas tout à fait le sujet mais c'est pas tous les jours qu'on a un chouette sujet comme ça pour discuter de brackground.)
J'y pense, aussi, lorsque vous avez plusieurs persos dont vous faites le background qui sont dans un même endroit, font des choses ensembles, faîtes-vous un texte par point de vue, donc un texte par perso, ou un texte commun ?
Personnellement j'utilise des textes groupés, en outre, je présente le groupe. Cependant, je n'hésite pas à faire intervenir un personnage en particulier quand il se passe quelque chose spécial.

Exemple :

Alors que le groupe de joyeux zéros s'enfonça dans l'obscurité de la Jungle, Vigoule trébucha violemment à cause d'une branche d'arbre qui trônait au milieu de la route. Dans un éclat de rire, le groupe aida le maladroit à se relever... Et l'ambiance redevint pesante.
Je profite du sujet pour poser une série de questions "Backgroundesque" :

- A quel âge choisis-t-on sa divinité ? A la naissance? à l'adolescence ?
- Ce choix est-il un choix complet ou est ce que l'ascendance a une importance ?
Un couple de iop donne-t-il forcément naissance à un iop ?
Les parents (à part leur influence passive de leur propre divinité) ont-ils une part au choix de la divinité du rejeton : "Tu seras un sram mon fils", ou le choix est totalement libre?

- Le changement physique est-il immédiat ou y'a-t-il une longue période de changement suivant l'implication de personnage dans sa foi?

- Incarnam est le début de notre vie dans le jeu. D'un point de vue BG comment l'expliquer si nous choisissons une divinité que vers 15ans ?

- les pnj qui ont une apparence neutre (ne ressemblant à aucune classe), n'ont pas pas choisi de divinité ? ou ont-ils une divinité autre non connu?
Citation :
Publié par Hapero
Je profite du sujet pour poser une série de questions "Backgroundesque" :

- A quel âge choisis-t-on sa divinité ? A la naissance? à l'adolescence ?

- Ce choix est-il un choix complet ou est ce que l'ascendance a une importance ?
Un couple de iop donne-t-il forcément naissance à un iop ?
Les parents (à part leur influence passive de leur propre divinité) ont-ils une part au choix de la divinité du rejeton : "Tu seras un sram mon fils", ou le choix est totalement libre?

- Le changement physique est-il immédiat ou y'a-t-il une longue période de changement suivant l'implication de personnage dans sa foi?

- Incarnam est le début de notre vie dans le jeu. D'un point de vue BG comment l'expliquer si nous choisissons une divinité que vers 15ans ?

- les pnj qui ont une apparence neutre (ne ressemblant à aucune classe), n'ont pas pas choisi de divinité ? ou ont-ils une divinité autre non connu?
Si l'on en croit le livre "Les prophètes, les Cultes, la Foi" que j'ai récemment acheté à la nouvelle bibliothèque de Sufokia pour la modique somme de 50k :

_On peut choisir une divinité jusqu'à l'âge de 15 ans (donc de la naissance à la puberté) -"sauf conversion miraculeuse reconnue par le dieu lui-même".

_Un couple ne donne biologiquement pas d'enfants, en fait ce sont des âmes (concept important ici et plus amplement détaillé dans le livre sus-mentionné)
qui décident de s'incarner dans un famille. En général les âmes s'incarnent au sein d'une famille qui porte les mêmes valeurs qu'elles. Ainsi, je cite : "Une âme décidant de s'incarner au sein d'une longue lignée de Iop embrassera la foi iopesque, et sera vraisemblablement un jeune Iop."

_Les personnages d'apparence humanoïde sont des âmes qui ont décidé en s'incarnant de ne pas embrasser le culte d'un dieu (elles peuvent cependant se rétracter et embrasser le culte d'un dieu jusqu'à 15 ans [voir point 1]; si elles ne le font pas, elles gardent leur apparence humanoïde).

Si je suis catégorique sur le premier point, le reste est incertain et certaines réponses données dans le livre m'embrouillent plus qu'elles ne m'éclairent.

Ce seraient typiquement des questions à poser lors d'Ankama Fan Fest (ou pourquoi pas au courrier du lecteur) pour avoir des réponses officielles.
Je trouve que l'âge limite de conversion est contradictoire selon les livres (mais je suis plutôt d'accord avec les quinze ans). On sait par exemple que le culte de Sacrieur et de Pandawa sont apparus par vagues, ce sont très probablement en majorité des adultes qui se sont convertis à ce moment-là. On peut alors se demander ce qu'on doit comprendre par "convention miraculeuse", qui serait moins rare qu'on pourrait le penser. Je me demande également si un disciple d'un dieu peut s'en défaire et en adorer un autre, comme on pourrait penser que ce fut le cas pour Pandawa et Sacrieur, ainsi que pour les Roublards.

Je ne me souviens plus de l'endroit où j'ai lu cela, mais il me semble que le changement physique est progressif et varie d'un individu à l'autre. A priori, l'investissement d'un individu pour son dieu et l'importance de sa foi influenceraient sa transformation. Mais je crois que ce n'est pas primordial, l'essentiel est de se rendre disciple d'un dieu.

Là encore, je ne sais plus d'où je tiens ça, mais les gens qui ne ressemblent à aucun dieu sont incroyants, ils n'ont pas choisi de foi avant leurs quinze ans et n'ont pu ou voulu se convertir par la suite.

Quant à Incarnam... C'est difficile, je pense que ça fait partie des "couacs" dus au bricolage parfois approximatif du background. On pourrait tout aussi bien se demander pourquoi nous n'avons pas de parents et que nous commençons soudainement notre vie en tant que disciple d'un dieu alors que le choix de celui-ci est censé être progressif.
Cependant, nous ne commençons pas notre vie à Incarnam, preuve en est que nous sommes déjà adultes à ce moment-là. Ce qui commence est plutôt la vie "religieuse", la vie en tant que disciple d'un dieu. Ce serait comparable à la vie professionnelle IRL.

Par contre, pour quelle raison nous atterrissons sur une île volante à ce moment-là... je souhaite du courage à ceux qui tenteraient de l'expliquer.
Dans ce cas là pouvons nous imaginer incarnam comme une épreuve d'initiation au culte de son dieu. Ou plutôt la dernière étape de cette initiation.
Je m'explique :

Tom a des parents et à l'âge de 15ans choisi un dieu. Une fois qu'il est sur de son choix (transformation inclu), il doit passer un rituel. Rituel lui permettant de comprendre son quotidien de disciple. le tout enseigné par un peuple "les aigles". Cette initiation se finit avec l'arrivée à Astrub.

On ne prendrait en main le personnage qu'à cette étape là pour éviter d'avoir à faire tout le cheminement mental du choix d'un dieu. (Que l'on fait à la vitesse de l'éclair quand on crée le personnage).

Z'en pensez quoi?

Merci en tout cas pour vos éclairage sur mes quelques questions.
Citation :
Publié par Lumiciole
Je me demande également si un disciple d'un dieu peut s'en défaire et en adorer un autre, comme on pourrait penser que ce fut le cas pour Pandawa et Sacrieur, ainsi que pour les Roublards.

On peut renier un Dieu, et en adorer un autre ensuite.

Je ne me souviens plus de l'endroit où j'ai lu cela, mais il me semble que le changement physique est progressif et varie d'un individu à l'autre. A priori, l'investissement d'un individu pour son dieu et l'importance de sa foi influenceraient sa transformation. Mais je crois que ce n'est pas primordial, l'essentiel est de se rendre disciple d'un dieu.

Là encore, je ne sais plus d'où je tiens ça, mais les gens qui ne ressemblent à aucun dieu sont incroyants, ils n'ont pas choisi de foi avant leurs quinze ans et n'ont pu ou voulu se convertir par la suite.

Quant à Incarnam... C'est difficile, je pense que ça fait partie des "couacs" dus au bricolage parfois approximatif du background. On pourrait tout aussi bien se demander pourquoi nous n'avons pas de parents et que nous commençons soudainement notre vie en tant que disciple d'un dieu alors que le choix de celui-ci est censé être progressif.
Cependant, nous ne commençons pas notre vie à Incarnam, preuve en est que nous sommes déjà adultes à ce moment-là. Ce qui commence est plutôt la vie "religieuse", la vie en tant que disciple d'un dieu. Ce serait comparable à la vie professionnelle IRL.

Par contre, pour quelle raison nous atterrissons sur une île volante à ce moment-là... je souhaite du courage à ceux qui tenteraient de l'expliquer.
Les âmes s'incarnent avec le Wakfu : http://img15.hostingpics.net/pics/584048ElKrosmoz.jpg

Quand on fouine bien, avec Ankama, on peut retrouver plein de contradictions assez drôles.
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