Provient du message de Wadleight
c'est sûr que même à ce niveau on peut propager un tissu d'âneries . Enfin, espérons que c'est par esprit limité plutôt que par esprit de manipulation que C. Allègre parle : Autrement dit, pour avoir détruit le travail de plusieurs années de recherche, de plusieurs dizaines de chercheurs
Je rappelle que ces plants aurait déjà dû être détruits (source : fait l'effort de regarder quelques posts au dessus la source de Lonecat ainsi que mon dernier post)
Apparemment, il est toujours aussi facile de détecter les "âneries" des autres avant les siennes. Toutefois, j'espère ne pas trop insulter ton intelligence en t'expliquant que même si les objets du délit devaient être détruits, cela ne diminue en rien la culpabilité de celui qui les a détruit (et qui est en taule) parce qu'il n'en avait pas le
droit (tu sais, le thème du texte de C. Allègre) ! Seul les propriétaires de ces plants, c'est à dire le Cirad en avait le
droit. Tout au plus, le fait qu'ils devaient être détruits peut il constituer une circonstance atténuante, mais rien de plus.
Ces plants sont ils le résultats de plusieurs années de recherche, effectués par plusieurs dizaines de chercheurs ? Oui (cf. les même sources que tu crois connaître).
Ces plants ont ils bien été détruits par J. Bové (entre autres) ? Oui (cf. le jugement).
En quoi C. Allègre dit il des âneries ?
Enfin, parlons du passage que tu cites dans ton message plus haut, celui tenu par "des personnels de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur de Montpellier". Au fait, ce sont bien les gens lésés par cette destruction que tu cites là ?
Encore une fois, dans les sources que tu crois connaître, on peut voir que les plants étaient la propriété de ceux là :
le Cirad, en collaboration avec l’Instituto de Recerca i Tecnologia Agroalimentaries (Irta : Institut de recherches et des technologies agroalimentaires) et le Consejo Superior de Investigaciones Cientificas (Csic : Conseil supérieur des recherches scientifiques, Espagne) l’Università Catolica del Sacro Cuore (Université Catholique du Sacré Cœur, Italie) et financé par l’Union Européenne (DG VI).
et
le Centre pour l’amélioration des plantes (CPRO-DLO) de Wageningen des Pays-Bas qui est le coordonnateur, l’Université de Leiden des Pays-Bas, le Centre John Innes de Grande-Bretagne, l’Université de Milan en Italie et le Csic de Barcelone.
Tu vois Montpellier quelque part là dedans toi ?
Que
des chercheurs du Cirad (ou ailleurs) signent une pétition parce qu'ils trouvent la sanction trop lourdes est une bonne chose mais rien, absolument rien ne nous dit que ce sont effectivement ces mêmes chercheurs qui ont été lésés. Et même dans ce cas, ce texte n'émane pas du Cirad lui-même, qui je le rappelle a porté plainte et qui est l'un des
légitimes propriétaires de ces plants.