Provient du message de Frida
Tu n'aimes pas Léo Feré je suppose.
Je connais peu, à part ses cheveux.
La grossièreté est un luxe auquel je me dispose sans honte, elle sert à nommer et à bien nommer le dégouttant.
Une magnifique chanson d'amour de Léo Feré " Ton style..."
"ton style c'est ton cul,
ton style c'est ton droit quand je m'y plis, salope!
Ton style c'est le feu
que tu mets à ma clope...."
C'est à peu près ça les paroles....
Oui, j'aurais dit pareil vis-à-vis de ce texte que ce que j'ai dit du vôtre.
Attention, je ne me prétends rien pour juger un texte d'un auteur reconnu comme Ferré (avec deux r), je donne juste une appréciation indépendante de la qualité d'écriture sur un ressenti vis-à-vis de mots.
Provient du message de Patum Ursus
- à mon sens Corwin, tu es un peu à côté de la plaque...
Et moi je pense que si vous dites ça c'est que vous n'avez pas saisi non plus le sens de mon message. Ca me donne l'impression, comme la remarque dans le message au dessus de celui-ci, que les gens s'arrêtent à ma qualification des grossièretés et se braquent aussitôt parce qu'ils ont bien aimé le poème.
Je rappelle qu'avant le passage sur les grossièretés dans ma précédente intervention, il y avait le passage qui disait que c'était joli.
Pour expliciter (et expliquer, puisqu'il semble y avoir besoin), je précise que je n'ai pas dit que le poème était grossier mais bien qu'il comportait des grossièretés : ça n'est pas jouer sur les mots, c'est un monde de différences.
Peu importe leur usage, justifié pour l'auteur ou les lecteurs, le fait reste que des grossièretés (il n'y a pas grande équivoque sur les mots que cette dénomination désigne) sont contenues dans ces lignes, et bien que ç'ait vraisemblablement été le choix de l'auteur que d'en faire usage pour désigner avec le plus de justesse à son sens ce qu'elle voulait faire passer, c'est aussi mon droit de déplorer le fait d'y en voir.
Et ça ne va pas plus loin.
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