[Waylorn]

~ Histoire de la Famille Loinvoyant ~

Le vent soufflait de nulle part en cette soirée d'hiver ...

Hurlant, glissant des montagnes perdues des terres du nord. Annonçant que la saison ne faisait que commencer et qu'elle serait dure et sans pitié.

Dans une pièce à l'étage de la tour de la famille Loinvoyants, une femme travaillait sur une liste à cette heure reculée de la nuit. S'efforçant de mettre de côté ses préférences personnelles en attribuant à chacun ses fonctions pour le lendemain. Une corvée qu'elle avait su apprécier aux fils des années passées à la tête de la maisonnée. Ce n'était pas sa tâche préférée, mais elle s'y appliquait consciencieusement. Soudain le vent fit voler les rideaux dans la pièce. Par réflexe, alerté par un sens du danger acquis par le temps, la Matrone se retrouva à moitié hors de sa chaise, sur la défensive. On racontait pas mal d'histoire ces derniers temps sur de nouvelles agitations en ville. Elle resta là un long moment, son instinct lui susurrait de rester sur ses gardes. Ne voyant personne, la mère de la famille Loinvoyants se détendit peu à peu.

Perplexe, elle secoua la tête. Une inquiétude inexpliquée lui nouait l'estomac lorsqu'elle se dirigea doucement vers la fenêtre. De longues minutes s'écoulèrent tandis qu'elle regardait vers le Nord, vers la tour. Les yeux de l'Elyséenne se plissèrent pour mieux percer la pénombre, comme si elle tentait de distinguer un danger rôdant dehors. Puis, les dernières bouffées de sa rage et de sa peur la quittant, elle retourna lentement à son bureau.

C'est là qu'elle le vît ... Elle se souvient du premier jour où on lui avait présenté. C'était son premier jour en tant que Matrone. Cela faisait si longtemps ... Dix, vingt ans ? Peut-être plus ? Et il se retrouvait là, comme par magie, ouvert sur son bureau. Etait-il sur son bureau et ne l'avait-elle pas remarqué ? Se penchant pour voir à quelle page ce dernier était ouvert, elle commença à lire ces lignes, qu'elle connaissait si bien:

cliquer sur le livre

Refermant sa lecture, elle prit une douce inspiration avant de le refermer . Puis devant finir ses préparatifs, elle retourna à son travail avec toujours une petite pensée pour ce qu'elle venait de lire ...
(Premier texte par Enée).

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[dEVnull]

Elyäna...

Je n'avais que ce nom en tête. J'avais oubliée son visage mais son nom était marqué à jamais, au fer rouge, en mon coeur. Je l'avais délaissée, abandonnée à son destin beaucoup trop jeune. Ma propre fille, mon propre sang...
Je me nomme Galia Vaelis Loinvoyant, je suis, du moins je fus, la matrone de la famille Loinvoyant. Celle par qui tout à commencée. J'étais une femme du monde, respectée et crainte à bien des égards. Mon nom était synonyme d'admiration autant que de convoitise. Mais aujourd'hui je n'ai plus rien, seulement des regrets amer. J'ai fui et abandonnée ma famille au moment où elle avait le plus besoin de moi. J'ai fui pour leur sécurité, pour leur bien-être, pour leur prospérité, mais cela, jamais ils ne devront l'apprendre. Je préfère porter le sceau de l'infâmie jusqu'à la fin de ma vie plutôt que de plaidoyer en ma faveur...De toute façon il est trop tard pour cela désormais.
Je tenais sous mon bras, tout contre ma poitrine, un épais livre en cuir lourd. Sa vétusté était telle que les pages étaient jaunies par le temps, certaines craquaient au moindre de mes mouvements. C'était tout ce que j'avais de plus cher et tout ce qu'il me restait en ce bas monde. Des annales. La vie de ma famille contenu dans ce grimoire. Des générations de Loinvoyant. C'était ma manière de ne pas perdre le fil, de rester en contact avec eux d'une façon détournée et peu enviable, certes.
Je sentais l'air vivifiant qui s'insinuait dans ma chambre, faisant danser les rideaux de soie bleu. Et j'entendais son nom, mugit par le vent qui me caressait le visage, qui me le susurrait sans cesse à l'oreille. Les larmes me gagnèrent et s'échappèrent doucement le long de mes joues rosies par la fraîcheur de l'hiver. Elyäna. J'aimerais tant que tu me pardonnes. Une mère ne devrait jamais voir mourir ses enfants. Jamais. C'est avec le coeur lourd, et des souvenirs plein la tête que j'ouvris délicatement le livre en cuir relié. Humant cet odeur si particulière, je posais une main tremblante sur la page qui me concernait:

Que n'aurais-je pas donner pour mettre la main sur les assassins de ma fille. Ce sentiment de culpabilité que j'éprouvais chaque matin au réveil, à chaque instants de ma misérable vie, aurait su être atténué dans le sang de ces criminels. Ma fille méritait une vie comblée. Elle méritait d'avoir une mère prévenante à ses côtés. Je déposais le livre sur ma table de chevet et passait la tête dans l'encadrure de la fenêtre. Il faisait tellement beau dehors. La neige recouvrait entièrement les verts paturâges, et j'aurais souhaitée qu'elle en fasse de même avec les plaies de mon coeur meurtri.
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(second texte par Corbeau)

[Waylorn]

Citation :

Publié par Kaylaa

Les débats étaient vifs entre les deux parties en présence, et chacune restait campée sur ses positions.
Confortablement lovée dans son fauteuil une femme dardait sur eux son regard prédateur.
La Matrone Candide présidait comme à son habitude le conseil d’arbitrage qui pour la deuxième fois durant ce cycle devait siéger afin d’arbitrer les différents opposants les membres de la famille.
Elle tenait à exercer elle-même l’ensemble de ses fonctions, même les plus ingrates, plutôt que de déléguer ces taches.
Ces conseils loin d’être rébarbatifs lui permettaient de monter son omniprésence à la tête de la maisonnée et de tuer dans l’œuf tout sentiment de défiance à son égard, mais également de prendre la « température » au sein de la famille.

Et les différents conseils aux quels elle avait siégé ces derniers cycles reflétaient la tension grandissante qui montait entre les différentes lignées composant la famille Loinvoyant.

Cliquez sur le livre .

Alors qu’un nouvel intervenant s’était lancé dans une nouvelle diatribe enflammée sur les préjudices réels ou imaginaires que sa lignée subissait, machinalement, elle se mit à nouveau à caresser le livre qui reposait sur le large accoudoir de cuir de son fauteuil.
Ce livre était sûrement l’un des biens les plus précieux de la famille.
Dans ce recueil étaient couchées l’ensemble des annales de la famille depuis son unification par la Matrone Galia.

Le contact de la croûte de cuir lui apporta soudain une vague de sérénité.
Elle se remémora l’histoire de la famille, et notamment la Matrone Fala, fine tacticienne dans le domaine du commerce et de l’industrie.
Un instant son regard sembla perdu dans le vide, l’orateur le remarqua lui aussi et s’interrompit net au milieu d’une phrase en fixant la Matriarche.
L’ensemble de l’assemblée dans un même élan porta son regard sur la femme aux cheveux neige qui les dirigeait d’une poigne de fer.

Candide repris soudain ses esprits, ignorant les regards interrogateurs portés sur elle … elle se leva … maintenant elle savait ce qu’elle devait faire.

Texte de Kaylaa.
Forum : Maisonnée des Loinvoyants

[Gouze]

La leçon.
Il faisait un temps de paradis aujourd’hui en Elysea. Le soleil réchauffait les plantes encore couvertes de rosée matinale. Les Elyséens travaillaient avec joie dans les champs ou dans leurs échoppes. C’est comme si une vague de joie irradiait sur tout le pays. Les enfants s’amusaient, content de sortir après les dernières semaines de pluies et d’orages.
Seule une petite fillette, très maigre et pâlotte, restait dans une maison, à observer ses amis s’amuser à se courir après. Elle avait toujours voulu jouer avec eux, mais sa tutrice s’y opposait fortement. Chaque fois qu’elle demandait si elle pouvait aller jouer, la tutrice refusait tout en débitant un incompréhensible discours sur « sa destinée différente, son rang supérieur, ses obligations ». Alors la fillette ne pouvait que rêver, s’inventant des amis imaginaires avec qui elle pourrait jouer.
-" VLAN !! "

Un livre plus épais que sa jambe frappa alors la table devant laquelle elle était assise. La fillette repris alors ses esprit et regarda autour d’elle. Elle se trouvait dans une salle de classe, une douzaine de petites tables étaient disposées en ligne face à un tableau noir remplis de schéma et de runes diverses. Mais juste devant elle se trouvait une femme, son visage irradiant la colère. La femme devant elle ouvrit la parole et hurla à l’attention de la petite fille :
-" Lucilla, si je vous prend encore une fois à rêvasser, vous me ferez des récitations jusqu’à demain matin, compris ? "

Lucilla se cabra sur sa chaise, tremblant comme une feuille, baissant le regard sur sa table et dis :
-" Oui madame, pardonnez-moi de m’être dispersée, mais il fait tellement beau et j’ai envie d’aller jouer. "

-" Jouer ? Pff….Une future matrone ne s’adonne pas à ces loisirs. De lourdes responsabilités pèsent sur ces épaules, mais vous comprendrez tout ça un jour, comme votre mère. En attendant, ouvrez ce grimoire et reprenez la lecture où nous en étions restées la dernière fois. Vous le lirez à voix haute et gare à vous si j’entends une faute de prononciation. "

La petite ouvrit alors le vieux grimoire et commença à le lire.

Après sa lecture, Lucilla referma le grimoire et attendit le verdict. Sa tutrice sourit, elle n’avait fait aucune erreur de lecture ni de prononciation. Lorsqu’elle ouvrit la parole, un ton de fierté couvrait sa voix.
-" Je vous félicite, vous avez fait une lecture parfaite, je vous autorise à aller jouer dehors, mais souvenez-vous de la règle, aucun contact avec les autres enfants. "

Lucilla se leva et, sans dire adieu, courra dehors, heureuse de pouvoir courir et crier sous ce ciel radieux.

Texte par : Adromak
Forum : Maisonnée des Loinvoyants

[Waylorn]

Il faisait chaud en ce milieu d'été, les températures en cette saison étaient très élevées et les animaux restaient tapis dans leur terrier où sortaient durant la nuit pour éviter la chaleur. Parfois une ou deux espèces allaient autour des étangs pour trouver de quoi satisfaire leur soif, mais en général il était rare d'avoir l'occasion d'en apercevoir. Tout semblait desséché, tout semblait silencieux.

Les journées semblaient interminables et les quelques élyseens qui s'occupaient des terres, souffraient du labeur des moissons et évitaient toutes tâches inutiles ... tout tournait au ralenti.

C'est dans ce silence qu'une ombre escalada le muret de la maisonnée des Loinvoyants et retomba silencieusement de l'autre côté. Elle alla directement se cacher dans l'ombre du parterre de plantes qui décoraient le jardin de la bâtisse. Elle regarda à droite puis à gauche et ne voyant rien venir, elle progressa doucement vers le bâtiment principal.

Après quelques minutes et ayant fait le tour des lieux, elle s'agrippa à du lierre et pu passer par une fenêtre ouverte au deuxième étage.
Une fois à l'intérieur elle fut surprise agréablement de la fraîcheur de la pièce. Se collant le long des murs pour éviter toute alerte, elle progressa doucement vers une pièce qui semblaient plus à l'ombre que les autres ... La bibliothèque.

Une fois dans la pièce, ses yeux brillèrent dans le noir. Il faisait très frais dans la pièce et cela n'allait pas sans lui déplaire. Progressant doucement dans le noir, l'ombre finit par heurter un obstacle et retient un petit cri quand l'un des plus gros livres se renversa et tomba dans un bruit laissant apparaître à ses yeux de félin la page suivante:

Cela n'avait pas d'importance pour l'ombre qui savait que le bruit avait réveillé la maisonnée, elle bondit par-dessus un armoire pour se cacher, quand la porte s'ouvrir à la volée laissant apparaître un jeune élyséen.
-"Que fais-tu là toi ? tu m'as fait peur."

Le chat se mit sur la défensive quand le loinvoyant le prît pour le caresser délicatement. Mais au bout de quelques instants il commença à ronronner.
-"Allez viens, on doit bien pouvoir trouver un peu de lait dans cette vieille demeure, je suis sûr que cela te ferait plaisir".
Le garçon ramassa le vieux livre et le rangea sur une autre étagère, puis refermant la porte il emmena le chat visiter les lieux ...
'Miaou !'
(Par Enée)

[Waylorn]

Il y avait de l'agitation. Beaucoup trop. Les couloirs résonnaient d'invectives, de pas cadencés, d'autres plus irréguliers. Une vraie tension avait élue domicile dans ces couloirs. Un homme marchait rapidement, tenant fermement entre ses mains, un rouleau sous scellé. Il avait les traits marqués. Les poches sous ses yeux reflètaient une absence de sommeil prolongée. Il portait une barbe naissante et sa tenue était tout aussi négligée que le reste. Il se précipita vers la grande arche, et pénétra dans une immense salle circulaire. Devant lui, s'étendait un parterre d'hommes et de femmes, se querellant à qui prendrait la parole. Il se fraya un chemin, tant bien que mal, tantôt bousculé, tantôt réprimandé. Il serrait le morceau de papier contre sa poitrine. Lorsqu'il parvint à s'extirper de la marée humaine qui ne cessait de gronder son mécontentement, il se jeta aux pieds d'une femme au regard lointain.

Il s'agenouilla devant elle, levant bien haut son parchemin. La femme baissa la tête à son encontre et resta, un long moment, à l'observer. Elle était assise sur un trône en bois massif, outrageusement décoré. Elle était d'une beauté froide. Son regard était glacial, son teint tout aussi pâle que la froideur de ses pupilles argentées. Elle avait la main posée sur un grimoire, lui-même, déposé sur une table non loin du trône. Sans prendre le temps de faire taire cette Cour en colère, elle se leva avec grâce. Aussitôt un homme vint se poster non loin d'elle, marchant dans son ombre. Elle descendit les quelques marches qui la séparaient de ce messager:

" Des nouvelles du front Madame.
Elle saisit le rouleau et le décacheta soigneusement. Son regard survola les quelques lignes à l'encre rouge. Ses doigts se fermèrent violemment sur le papier. Son visage était empli d'une colère amère. Paradoxalement son regard était mué par une douleur plus grande encore. Elle jeta la missive au sol et contempla l'assemblée, étrangement muette. Lorsqu'elle prit la parole, sa voix puissante percuta chaque être comme la lame d'une vague contre un rocher.
- Il est temps pour notre Maisonnée de partir en Croisade ! Je n'ai fi de toutes vos querelles intestines. Notre peuple se meurt chaque jour un peu plus alors que nous avons tout ce qui est nécessaire à sa survie. J'en ai assez de devoir me cloître entre ces murs et devoir faire comme si tout cela m'était complètement indifférent. Le temps des paroles est révolue. L'heure est venue de nous battre ! "

Une clameur sourde monta de certains partisans. La politique Isolationniste de la famille Loinvoyant venait de prendre un tournant inconsidéré. Personne ne pouvait se douter qu'en ces heures sombres, l'espoir viendrait d'une femme. De cette femme au regard de glace. Personne ne pouvait se douter qu'elle allait changer la vision de cette Lignée et l'inspirer à jamais. Cette femme au nom si doux.
Candide.
(Par Corbeau)

[Waylorn]

A part le doux bruissement des lampes à huile, on n'entendait pas le moindre bruit dans la grande bibliothèque. Il y régnait également une pénombre rassurante que la lumière des bougies et des lampes ne parvenaient pas à troubler vraiment. Si tous les déflecteurs accrochés le long des murs et au bout de certaines étagères avaient été allumés, il aurait fait beaucoup plus claire.
En fait, les Loinvoyant craignaient qu'une illumination trop vive ne soit adaptée à un tel sanctuaire. Ramener trop de vie en ces lieux risquait d'éveiller les spectres de leur lignée.

Sur les imposantes colonnes qui séparaient à intervalles réguliers les hauts rayonnages, des sculptures à l'image des Matrone de la maisonnées reprenaient les motifs gravé sur les solides poutres apparentes qui se croisaient au plafond. On distinguait aussi sur ces éléments d'architecture de mystérieuses runes peintes plutôt que sculptées.

Sur le sol, d'épais tapis ornés de frises géométriques étouffaient les bruits de pas des visiteurs.
Partout, où qu'on tournât le regard, des livres attendaient le bon vouloir des érudits, des lettrés et des mages.

L'ouvrages les plus précieux étant rangés dans une vitrine, il se révélait un peu plus difficile de lire la page à laquelle il était ouvert:

Ici la beauté architecturale et la sophistication des ornements témoignaient d'une authentique vénération pour les volumes et leur contenu.
Certain des Loinvoyant, jadis, pensaient que le savoir était la clef. Depuis que la lignée était née, ils avaient regroupé des trésors de connaissances, mais en avaient également perdu beaucoup.

Même si la plupart de ces livres semblaient dangereux ou renfermaient une magie puissantes. Seul le Grimoire enfermé dans la vitrine était le document le plus précieux aux yeux des Loinvoyant ... Car il renfermait leur histoire.

[Waylorn]

Informations générales sur la guilde:

Citation :

Publié par Informations

En résumé les Loinvoyant c'est:

Une guilde: roleplay.
Faction: Elyséenne.
Serveur: Vidar. (communauté Rp).
Site Web: http://elyseens.fansforum.info
Nombre de membres: 19 membres (dont 16 actifs avant le départ du jeu)

Organisation :
La guilde et ses orientations ont été prises par les membres et non pas par une seule ou un groupe restreint de personnes afin d'étoffer l'axe de la guilde.
Ayant pour base divers horizon Roleplay (vidéoludique - NWN, WoW, Papiers - d&d, plateau) certain de nos membres viennent d'une guilde Rp de WoW du conseil des ombres. Pour les curieux n'hésitez pas à venir nous mp pour en savoir un peu plus hihi).

La guilde n'a aucune restriction de Rp et de classes et accueillera tous joueurs voulant jouer un Loinvoyant où un personnage gravitant autour de ceux-ci.

Chaque membre peut donner son avis sur les décisions à prendre et nous laissons à tous les membres la possibilité de mettre sa pierre ( petite ou grande ) à cet édifice que nous tentons de construire.

Vous trouverez notre procédure d'insricption ICI --> http://elyseens.fansforum.info/f50-M...nscription.htm
Notre section section Bg et histoire Rp ICI --> http://elyseens.fansforum.info/f35-La-Bibliotheque.htm

Objectifs :
Nous aimerions tout d’abord créer une ambiance sympathique au sein de notre guilde. Notre plus grand objectif est de faire du RP intéressant et amusant où tout le monde peut y trouver sa place. Nous créerons des events inter mais aussi externe à la guilde pour faire vivre notre serveur.
Il est clair que nous ne délaisserons pas le PVE et le PVP mais nous aimerions pouvoir y inclure le RP dans ces deux activités. Nous essayons avant tout d'avoir un Bg de guilde se fondant dans celui du monde d'Aion (et dans son Bg - même maigre^^).

Notre objectif premier est avant tout s'AMUSER et passer de bons moments ensemble !!

Recrutement :
Nous recherchons des personnes matures et motivées, aimant le RP. Il n’est pas nécessaire d'avoir déjà pratiquer du rôle-play pour nous rejoindre mais avoir l'envie de vouloir l'exercer. Nous nous ferions une joie de vous apprendre les rudiments du RP.

Nous n'avons pas de limite de recrutement (hormis celle du jeu) et ne cherchons pas un équilibre de classes parmis nos rangs (seul le roleplay compte).

Nous ne recherchons pas un âge minimum, nous attendons simplement que nos membres se comportent comme des gens civilisés. Ce n’est pas parce que l’on est caché derrière un écran que cela nous permet de nous comporter comme des Kobolds. Nous demandons également qu'en jeu et sur notre forum vous écriviez correctement (nous ne sommes pas titilleux sur l'orthographe, mais demandons à nos membres de ne pas utiliser le sms et toutes sortes d'écritures à raccourci incompréhensible ^^).

Voilà, pour ceux voulant en savoir plus où voulant partager avec nous, venez donc nous rendre visite sur notre forum.
Au plaisir de vous voir et partager du bon temps avec vous.