Bonjour à tous
Vous me trouverez en jeu sous les personnages suivant : Kenpachi ou Saphira
Je vais aborde un sujet épineux du : Clan de mercenaire.
Cela fait déjà une petite semaine que l'on travail à deux-trois personnes sur un projet de création d'un
clan de mercenaire.
Je crée ce topic dans le but de rassembler chaque personne souhaitant faire partie intégrante de ce projet.
Actuellement
nous ne sommes pas encore fonctionnels en jeu puisque notre volonté est avant de tout de cadrer et de palier à toutes les demandes du support avant même l'implantation du clan en jeu.
Voici donc l'avancement du projet à l'état pur :
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Le background du clan utilise intégralement les ressources de dofus et appuie le système de clan de manière cohérente est fini. je vous laisse le découvrir en spoil à la fin du topic.
- Nous avons mis un place un système de grade évolutif et ludique composé de
10 échelons. Chaque grade possède une spécification et
représente un réel défis a relevé pour grimper dans la hiérarchie du clan.
- Nous avons établis et finis
une charte claire que tout mercenaire ce devra de respecté et qui représente le pilier du clan.
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Nous avons finis le système de tarification des contrats basé sur des prix évolutifs et attractif pour toutes les personnes souhaitant nous engagés.
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Le clan possède aussi un système de roulement des têtes grâce à des élections régulière. Nous avons aussi mit en place un tribunal qui régulera chaque litige au sein du clan.
Au programme, vous trouverez
un mercenariat repensé, à la fois
juste et
cohérent dans le Bg et dans les grades. Un système de carrière ludique avec la mise en place d'auto-events pour favoriser
le Rôle Play au sein même du clan. On retrouvera aussi le
système classique de contrats qui seront la clé de voûte du mercenaire.
Nous planchons actuellement sur les points suivants :
- La finalisation du tribunal.
- L'attribution d'un nom définitif au clan, et aux grades.
Nous souhaitons aussi déjà attiré votre attention sur notre travail pour réunir le plus tôt possible un minimum de gens. si vous souhaitez nous aider, envoyez nous un petit mp en jeu. Nous vous demandons par contre d'
avoir un minimum de connaissance sur le Rôle Play avant de vous engagez.
Voici le spoil du Bg du clan. Le nom provisoire du clan est : Per fas et nefas
Bonne lecture.
Per Fas et Nefas… Se nom résonne dans les écris comme étant bien étrange et pourtant. Il y a deux évènements majeurs qui on donné naissance au clan. L’une de ces histoires commence au village de Gisgoul, et l’autre au cœur de pandala.
Le ravage du village de Gisgoul
Il y a déjà bien longtemps que Gisgoul n’est plus qu’un souvenir pour nombre d’entre nous. On raconte encore aujourd’hui que les cendres de notre village sont encore chaudes.
Nous vivions paisiblement et en paix malgré les tensions existantes dues aux cités de Brakmar et de Bonta : Brakmar maudissant notre croyance envers Rushu et Bonta nous considérant comme un mal de plus à éliminer. En dépit de cette situation politique délicate, nous vivions paisiblement jusqu’à cette nuit fatidique. Je me souviens…
Il était tard, le clairon du campement militaire sonna. Le village subissait une attaque. Nous pensions qu’il ne s’agissait que d’une escarmouche de Gobelins et Bworks, dont les territoires sont plus à l’est. J’ordonnai à ma division d’aller en première ligne. Ce soir était notre soir. Ce soir, le sang coulera pour Rushu et pour la gloire. Il y avait une lune claire et cela s’annonçai comme une nuit qui serait glorieuse et tâché de sang.
Le combat s’éternisait et les gobelins semblaient ne pas finir de déferler de la plaine. Le gros de ma division était déjà tombé. Je ne comprenais pas. Pourquoi n’avons-nous pas pu prévoir cette attaque ? Qu’est se qui poussa les Bworks et les Gobelins à nous envahir ? La lune se voilà et nous comprimes…
Alors les ordres tombèrent. L’évacuation du village fut ordonnée. Nous n’avions pas le temps de réunir nos effets personnels. J’ordonnai à une moitié de mes hommes de maintenir la défense le temps d’évacuer la population et à l’autre de les escortés pour les protéger dans les landes. Ce soir j’avais envoyé la quasi-totalité de mes hommes au suicide… Ce soir, Rushu n’existait plus, il n’y avait que nous… de simples hommes perdus dans les landes.
Plusieurs mois passèrent. Une bonne partie des survivants, s’ils ne moururent pas intoxiqués par les poisons des landes, moururent de faim. A quoi bon tout cela pouvait-il servir ? Pourquoi le malheur s’acharna sur nous ? Mon supérieur continuai à vouloir reconquérir Gisgoul et préférai que nous errions perdue dans les landes plutôt que de fuir la vérité… Ce soir, mon supérieur ne se releva pas. On le retrouva poignardé au petit matin baignant dans le sang de sa folie. Devenant ainsi le plus haut gradé, j’ordonnai de plier les dernières provisions. Notre route : Le nord. Des montagnes Koalaks.
Les terres des montagnes possédaient peu de ressources cultivable nous dument donc trouver un moyen pour subsister. Avec la poigné de soldat qu’il restait nous formèrent les paysans et métayers à l’art du combat. Toute notre vie n’avait été que guerre et sang, nous ne connaissions que cela depuis notre tendre enfance… Alors n’était-il pas normal que nous continuions à assurer notre servie en utilisant notre savoir ? De toute façon la voie de Bonta et de Brakmar nous était insupportable et nos croyances avaient disparues dans nos errances dans les landes. Nous décidâmes donc de vivres de nos pillages et d’escarmouches… Tel fut l’héritage de Gisgoul.
Journal d’un officier de l’armée de Gisgoul
L’ouverture de Pandala au monde
Il y a quelques années le Grandapan a choisi d’ouvrir les portes de notre île. Le pont reliant Amakna à Pandala fut alors construit. Nous pensions pouvoir ainsi favoriser le commerce et les échanges pour faire prospérer notre île. Mais les évènements ne se déroulèrent pas comme prévu.
Amakna était rongé par une maladie étrange : une guerre entre deux cités du nom de Bonta et Brakmar.
Hélas nous attirâmes les convoitises des deux factions pour nos ressources aussi rares que précieuses. La guerre se propagea jusqu’à nos territoires et prirent à partis les quatre dojos de nos Pandawushukas.
Pour palier à cette situation, le Grandapan envoya une missive au cœur des deux cités pour demander la cessation des combats. Les ordres étaient clair, il n’y aurait pas de retour possible pour la missive tant que la guerre entre les deux villes continuerai.
Journal d’un conseiller du Grandapan
Plusieurs centaines de Pandawas furent engagé pour cette mission. Elle consistait a traversé toute la contré d’Amakna afin d’atteindre Bonta et Brakmar et de négocier une trêve sur les terres de Pandala.
Le voyage ne pausa pas de réel souci. Toutefois la taille de notre missive ne passa pas inaperçu. C’est ainsi que Bonta et Brakmar eurent connaissance de notre venue avant notre arrivée.
Quand nous arrivâmes aux portes de Bonta, nous découvrir que les portent étaient fermée. Nous étions impuissant face à l’indifférence que montrait ces supposés anges. Mais ils ne semblaient pas disposés à nous écouter, feignant notre venue comme une supercherie Brakmarienne… Nous n’ures pas d’autre choix que de nous replier vers Brakmar. Si Bonta restait sourde à notre requête, peut-être que Brakmar écouterai.
Nous arrivâmes à Brakmar sans réelle difficulté. Le cité était sombre et noire comme l’ébène. Contrairement à Bonta nous fumes accueilli par un général. Il fut à la fois brefs et clair : Si nous ne quittions pas les landes avant la fin de la prochaine lune, nous serions traqués et tué…
Le destin se profilait de manière étrange. Nous étions loin de chez nous et nous ne pouvions pas rentrer avant la fin de la mission. Mais pour l’heure, les deux cités ne semblaient pas disposées à écouter. Nous choisîmes donc le territoire des montagnes Koalak, à mi chemin entre les deux cités pour pauser nos ressources en attendant une évolution du monde de la situation. Un jour, ils seront bien obligés de nous recevoir.
Journal du commandant de la missive
La création de Per Fas et Nefas
C’est dans les montagnes Koalaks que naquit Per Fas et Nefas.
On raconte que le peuple des Pandawas est habitué aux conditions de vie difficiles et qu’ils n’eurent que peu de difficulté à survivre dans ces montagnes et forêts. Ils s’acclimatèrent et étudièrent les plantes pour les utilisés afin de survivre.
Les exilées de Gisgoul y virent une aubaine. Un don des dieux. Des gens qui semblaient sans défense et facile à piller et qui leur donnerai un moyen un peu plus facile pour survivre. L’attaque se déroulerait de nuit. Pas de lune, pas de lumière. Le mot d’ordre donné : On vol les biens et on évite de tuer. Laisser en vie les Pandawas étaient une bonne solution pour s’assurer des pillages continuent dans l’avenir.
Toutefois tout ne se passa comme prévu. Le peuple venu du lointain amateur des boissons se révélèrent de redoutables combattants. A la fin de la nuit, la quasi-totalité des pillards furent capturés.
Les Pandawas Furent dans une position délicate. Il ne pouvait pas se permettre de garder tout une population en cage et ils ne pouvaient pas se permettre de les libérés sous peine de se voir attaquer un jour ou l’autre. Le commandant Pandawa choisit donc de former les captifs à l’art du Pandawushuka, de leur apprendre la discipline et l’art de survivre dans les montagnes Koalak.
Progressivement les prisonniers passèrent du statu de captifs à ceux d’amis. Et les commandants respectifs des deux factions décidèrent d’agir dans le sens commun tant qu’ils seraient obligés de vivre ensemble. C’est ainsi que la première stèle de Per Fas et Nefas fut pausé…
Mais malgré qu’ils se soient unis pour servir un but commun, il n’en reste pas moins qu’ils gardèrent respectivement leurs particularités et qu’au sain même du clan il se livre une bataille continuelle pour l’obtention des contrats si précieux au maintien de la pérennité du clan. Car malgré les connaissent en plantes des Pandawas, cela ne suffirait pas à faire survivre deux peuples entiers.
C’est donc dans un monde où les Kamas sont la seule raison de vivre ici bas, que Per Fas et Nefas se dressa.