[Ex Libar 14] Le thème

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Publié par RedPain
Je pense que tu vas tout recevoir le 1er à 22h00
Tss tss, tu as mal lu son message, il a déjà reçu le premier. Perso, je ne participe pas à cette édition, mais j'espère qu'il y aura plus d'un texte...
Citation :
Publié par Soir
Tss tss, tu as mal lu son message,
Pinailleur
Je pense de toute façon qu'avec ce sujet, tu ne peux pas avoir qu'un seul texte, il est très bien trouvé(le sujet).
Bon allez je me bouge le cul et je vous pond un petit essai médiocre pour encourager les autres.
Aucun rapport entre un monologue et une conversation téléphonique.

Pour rappel, le monologue dans l'histoire du théâtre suppose toujours une situation invraisemblable en raison de la double énonciation que doit supporter le texte de théâtre. Le monologue, c'est précisément lorsqu'un personnage prononce un discours seul en scène ou se croyant seul en scène, en jouant à voix haute l'expression de ses sentiments intérieurs.

edit pour en dessous : non, car en faisant ainsi tu as bien conscience des gens autour de toi.
La seule façon d'associer monologue et téléphone est la suivante : le personnage est dérangé mentalement et se parle à lui même via un téléphone, sans interlocuteur au bout de la ligne et il n'y a personne autour de lui pour l'entendre (ou du moins c'est ce qu'il doit croire).
Citation :
Publié par Saint Angel
Aucun rapport entre un monologue et une conversation téléphonique.

Pour rappel, le monologue dans l'histoire du théâtre suppose toujours une situation invraisemblable en raison de la double énonciation que doit supporter le texte de théâtre. Le monologue, c'est précisément lorsqu'un personnage prononce un discours seul en scène ou se croyant seul en scène, en jouant à voix haute l'expression de ses sentiments intérieurs.
Ca veut dire que je n'aurais pas de textes ?
Citation :
Publié par Nsileal/Mosimus
Ca veut dire que je n'aurais pas de textes ?
De moi il y a peu de chances, je suis lecteur mais je n'ai pas la prétention de me présenter comme écrivain (comment oser lorsque tant de génies sont passés avant nous?).

Ma remarque indiquait surtout mon attachement au respect du vocabulaire littéraire, qui est profané ici. De plus il est certain que ta consigne gagnerait en clarté si les termes qu'elle emploie étaient justes.
Je crois que ce que tu décris c'est un soliloque. Le monologue peut consister à parler à un auditoire duquel on n'attend pas de réponse (ou simplement en présence de cet auditoire sans s'adresser particulièrement à lui).

Citation :
De moi il y a peu de chances, je suis lecteur mais je n'ai pas la prétention de me présenter comme écrivain (comment oser lorsque tant de génies sont passés avant nous?).
D'un autre côté Einstein est mort et heureusement qu'il y a encore des gens qui étudient la physique.
Citation :
Publié par Apom
Je crois que ce que tu décris c'est un soliloque. Le monologue peut consister à parler à un auditoire duquel on n'attend pas de réponse (ou simplement en présence de cet auditoire sans s'adresser particulièrement à lui).

D'un autre côté Einstein est mort et heureusement qu'il y a encore des gens qui étudient la physique.
Pas très pertinent comme comparaison. Les sciences et l'art sont deux univers bien différents si je ne m'abuse (ps : pour ne pas partir en hors sujet là dessus, c'est un choix personnel que j'ai fait, et il ne veut pas dire qu'après Sartre et Barthes plus personne n'a le droit d'écrire).


Pour en revenir au monologue, c'est son usage moderne et surtout populaire qui le fait dévier de son sens initial.
Il ne faut pas tout mélanger, le soliloque ne réfère pas expressément au texte de théâtre, tandis que le monologue si (sauf comme je le répète dans le cadre de son usage populaire, mais nous sommes sur un topic littéraire non?).
D'autre part, ce que tu me décris comme étant un monologue s'apparenterait plutôt à une tirade ou alors à l'aparté, si le discours n'est pas censé s'adresser à cet auditoire.
Citation :
Publié par Saint Angel
De moi il y a peu de chances, je suis lecteur mais je n'ai pas la prétention de me présenter comme écrivain (comment oser lorsque tant de génies sont passés avant nous?).

Ma remarque indiquait surtout mon attachement au respect du vocabulaire littéraire, qui est profané ici. De plus il est certain que ta consigne gagnerait en clarté si les termes qu'elle emploie étaient justes.
C'est bien ce que j'avais compris.

Génie, profanation !

Mais je vais rester nébuleux, le mystère prend parfois l'apparat du génie. La croisade de la vraisemblance n'autorisant la plèbe qu'à l'amusement, je suis donc parfaitement à ma place, Werber et Levy peuvent dormir sur leurs deux oreilles maintenant, mon outrecuidance n'a plus lieu d'être.

Grâce.
Citation :
Publié par Saint Angel
(ps : pour ne pas partir en hors sujet là dessus, c'est un choix personnel que j'ai fait, et il ne veut pas dire qu'après Sartre et Barthes plus personne n'a le droit d'écrire).
Le fait est que comme c'était présenté, ça ressemblait plutôt à une critique envers la foule anonyme des auteurs indignes.

Citation :
Il ne faut pas tout mélanger, le soliloque ne réfère pas expressément au texte de théâtre, tandis que le monologue si (sauf comme je le répète dans le cadre de son usage populaire, mais nous sommes sur un topic littéraire non?).
Justement ça tombe bien, ce sujet ne parle absolument pas de théâtre, il faut donc croire que ce monologue n'est pas le monologue.
Citation :
Publié par Saint Angel
Aucun rapport entre un monologue et une conversation téléphonique.

Pour rappel, le monologue dans l'histoire du théâtre suppose toujours une situation invraisemblable en raison de la double énonciation que doit supporter le texte de théâtre. Le monologue, c'est précisément lorsqu'un personnage prononce un discours seul en scène ou se croyant seul en scène, en jouant à voix haute l'expression de ses sentiments intérieurs.

Pour rappel, une langue vivante évolue, même les dinosaures de l'académie française ont la merveilleuse idée de renouveler la définition d'un certain nombre de mots lorsque l'usage l'impose, alors pourquoi n'en prends-tu pas exemple?

Définition du mot 'monologue' selon la neuvième édition du dictionnaire de l’académie française (ce mot a été revu en 2003) :

MONOLOGUE n. m. XVIe siècle. Composé de mono- et de -logue, tiré du grec logos, « discours ».
1. Scène d'une pièce de théâtre où un personnage se parle longuement à lui-même (à distinguer de l'aparté). Le monologue d'Auguste dans « Cinna ». Le monologue de Figaro. Par ext. Composition, saynète, généralement fantaisiste ou comique, dite par un seul personnage. Réciter un monologue. 2. Discours d'une personne qui, en compagnie, parle seule et abondamment, sans être interrompue ou sans chercher à obtenir de réponse de ses interlocuteurs. Un long monologue. Avec lui, la conversation se réduit à un monologue. 3. Discours de quelqu'un qui parle tout seul, soliloque. Par ext. Monologue intérieur, procédé narratif employé pour la première fois par Édouard Dujardin dans Les lauriers sont coupés (1887), censé reproduire le courant de conscience, et qui fut amplifié par Joyce, Larbaud, Svevo et Faulkner.

Avec lui, la conversation se réduit à un monologue. Et avec un brin d'imagination, cela peut devenir : La conversation téléphonique se réduit à un monologue. Cela reviendrait presque à dire que...il n'y a, en fait, aucun sacrilège dans l'énoncé du thème.

Désolé Saint Angel, mais le vocabulaire littéraire, cela n'existe pas.
Citation :
Publié par Warsitch/Asrial
Pour rappel, une langue vivante évolue, même les dinosaures de l'académie française ont la merveilleuse idée de renouveler la définition d'un certain nombre de mots lorsque l'usage l'impose, alors pourquoi n'en prends-tu pas exemple?

Définition du mot 'monologue' selon la neuvième édition du dictionnaire de l’académie française (ce mot a été revu en 2003) :

MONOLOGUE n. m. XVIe siècle. Composé de mono- et de -logue, tiré du grec logos, « discours ».
1. Scène d'une pièce de théâtre où un personnage se parle longuement à lui-même (à distinguer de l'aparté). Le monologue d'Auguste dans « Cinna ». Le monologue de Figaro. Par ext. Composition, saynète, généralement fantaisiste ou comique, dite par un seul personnage. Réciter un monologue. 2. Discours d'une personne qui, en compagnie, parle seule et abondamment, sans être interrompue ou sans chercher à obtenir de réponse de ses interlocuteurs. Un long monologue. Avec lui, la conversation se réduit à un monologue. 3. Discours de quelqu'un qui parle tout seul, soliloque. Par ext. Monologue intérieur, procédé narratif employé pour la première fois par Édouard Dujardin dans Les lauriers sont coupés (1887), censé reproduire le courant de conscience, et qui fut amplifié par Joyce, Larbaud, Svevo et Faulkner.

Avec lui, la conversation se réduit à un monologue. Et avec un brin d'imagination, cela peut devenir : La conversation téléphonique se réduit à un monologue. Cela reviendrait presque à dire que...il n'y a, en fait, aucun sacrilège dans l'énoncé du thème.

Désolé Saint Angel, mais le vocabulaire littéraire, cela n'existe pas.
Ta définition de dictionnaire confirme tout ce que j'ai dit avant, à savoir que le mot a plusieurs sens mais étant donné que nous sommes sur un topic littéraire (en apparence) il faut alors écrire en fonction.
D'autre part elle empêche la conversation téléphonique d'être un monologue, étant donné que cette dernière implique une situation d'énonciation où locuteur et interlocuteur communiquent avec réciprocité (en opposition totale avec le concept de monologue, qu'il soit classique ou d'avant-garde).

Merci d'avoir validé mes propos.

Le vocabulaire littéraire (une esquisse) n'existe pas? Je ne préfère même pas répondre à ce troll tant il est gras et baveux.
'tain, les mecs, arrêtez de couper les cheveux en 4 : c'est ce que j'ai fait longtemps, du coup je suis presque chauve.

Allez plutôt écrire un p'ti texte pour cet Ex Libar
J -1
Malgré la polémique, nous ne sommes plus très loin de la date fatidique.

Sinon un troll littéraire c'est magnifique. Faites ce que je dis mais pas ce que je fais !

J'ai reçu le second texte, il y a encore de l'espoir.
Citation :
Publié par Saint Angel
Ta définition de dictionnaire confirme tout ce que j'ai dit avant, à savoir que le mot a plusieurs sens mais étant donné que nous sommes sur un topic littéraire (en apparence) il faut alors écrire en fonction.
D'autre part elle empêche la conversation téléphonique d'être un monologue, étant donné que cette dernière implique une situation d'énonciation où locuteur et interlocuteur communiquent avec réciprocité (en opposition totale avec le concept de monologue, qu'il soit classique ou d'avant-garde).

Merci d'avoir validé mes propos.

Le vocabulaire littéraire (une esquisse) n'existe pas? Je ne préfère même pas répondre à ce troll tant il est gras et baveux.
Osef.

Allez les enfants, on se motive.
Citation :
Publié par Saint Angel
(...)étant donné que nous sommes sur un topic littéraire (en apparence) il faut alors écrire en fonction. (...)
Ecoutes, je ne troll pas, j'en ai vraiment, à la base, rien à faire. D'ailleurs je ne viens presque plus sur jol, donc troller pour épater la galerie ne m'apporte absolument rien. Je m'offusque simplement de ta vision du "topic littéraire".

En littérature, un mot doit être utilisé selon les différents sens du dictionnaire, et qu'on soit dans un argot, un jargon ou tout ce que tu veux, le dictionnaire français fait toujours figure de référence.
Ton vocabulaire littéraire n'est qu'un lexique reprenant le jargon utilisé en littérature, d'ailleurs en belgique, on utilise le terme "champ lexical de la littérature". Il ne sert donc absolument pas de référence, il ne sert en fait à rien, si ce n'est à donner aux étudiants une liste de mots qu'ils seront amener à maîtriser.

Donc, dans tous les cas, ta première intervention est simplement incompréhensible étant donné que tu connais les différentes définitions du mots. Et ta justification sur cette première intervention, en faisant appel au vocabulaire littéraire, est erronée puisqu'il ne peut servir comme référence.

En résumé :
Une mère et son enfant se promène dans un port par une belle matinée de novembre.
- Mais où as-tu mal? dit la mère.
- Je crois que j'ai mal au niveau du pavillon de mon oreille gauche, répondit l'enfant.
- Imbécile ! Le pavillon est là sur mon bateau ! hurla un marin qui passait.

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