Puisqu'on m'attaque sur ce que j'ai écrit, je me sens plus ou moins obligée de donner quelques précisions.
petit un, je ne suis pas exempte de critique, et ceux qui l'on fait, ont eu raison. je suis extrêmement satisfaite de voire que les débats d'idées sont encore vivace et si vous pensez sincèrement que Madelin, ou la droite en général, est une bonne chose pour notre pays, défendez vos convictions. Ce qui tue la politique, c'est la démobilisation, l'absentéisme et le manque d'idée. tout ce que la télévision prône en ce moment.
petit deux : on me reproche de ne pas parler des crimes de ceux qui se prétendaient de gauche. Etais-ce bien le propos ici? De plus utiliser l'argument que je défend la gauche en ne parlant pas des crimes de Pputine, cela frise le grotesque. Depuis quand Poutine est-il un homme de gauche?
Je n'ai pas souvenir d'avoir parler de moi et de mes opinions politiques, là non plus, ce n'était pas le propos. Je pense que cela ne regarde que moi. Néanmoins, il est vrai que mes propos anti mondialisations pourraient laisser à croire que je ne partage pas complètement les idées de ceux qui défendent les classes bourgeoises, impérialistes et brutales contre l'immense majorité de leurs victimes (on ne dit plus prolétaire, il n'y en a plus).
Petit trois : je peux faire pire... Si la mauvaise foi était exclue du débat politique, malheur ! Chirac serait interdit d'antenne ! Plus sérieusement, si je n'ai pas argumenter plus en avant, c'est que le texte était déjà très long, et vous avez tous eu beaucoup de courage de le lire. C'est avant tout par faute de temps (ou de courage) que je ne l'ai pas fait. Néanmoins, j'utiliserais toujours le même argument. Ce n'était pas le propos, qui lui était un pamphlet. J'ai exprimais ce que je crois être vrai, pas forcement la vérité (qui peut d'ailleurs se targuer de la connaitre).
petit quatre : pour les modérateurs. Si mes propos étaient choquants, et/ou contraire à la charte à l'esprit de Jeux Online, je présente toutes mes excuses, je ne désire en rien nuire à quiconque (sauf à Madelin, bien sûr). Si c'est le cas, je veillerais à modérer mes propos (même si ça va être dur).
Sincérement, là où j'ai honte, c'est de m'être trompée sur l'accession de Saddam au pouvoir (pourtant j'étais sûre que c'était en 56), ou sur mes fautes de syntaxes ou d'orthographe (j'ai vraiment honte).
Pour le reste, je persiste et je signe.
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