Je poste également ma contribution ici, elle est dans le sujet
Il faudrait s'en tenir à ce que la loi réprouve en matière de pornographie (ce qui peut engager la responsabilité de Mind and Co.), et ne pas crier à la dégradation de la personne humaine trop vite. Ce serait en galvauder le terme.
Qu'une modératrice se sente attaquée par un avatar me semble normal. Il en va de la sensibilité de chacun.
En cas de litige ne devrait elle pas prendre contact en premier lieu avec le posteur/se pour lui en faire part et essayer de régler la situation sans passer par la voie officielle ?
Dans le cas ou la personne en face ne veut rien entendre, la modératrice devrait prendre contact avec la hiérarchie afin de régler la chose que se soit en sa faveur ou non.
Il est en effet important dans le cas d'avatars ou d'images litigieuses d'éviter toute partialité. Ce sont pour la plupart du temps des cas borderlines qui sont en cause. Si l'on comprend bien la modération d'une verge turgescente, il n'en est pas de même pour une poitrine avantageuse agréablement ballottée par la course de sa propriétaire.
La personne attaquée étant partie au litige, elle ne devrait pas être également le juge.
Le mieux semblerait être que ce genre de modération soit soumise à un principe de collégialité, ce qui garantirait un minimum d'impartialité dans la décision.
Et dans le pire des cas, en aucun cas la modératrice blessée dans ses convictions ne devrait pouvoir agir directement sur l'avatar/image incriminée.
La fonction report aux modos est aussi valable pour le staff.
Il s'agit donc bien de prendre ses responsabilités lorsque l'on sent l'objectivité fuir, car en aucun cas la modération ne devrait être faite sur des convictions personnelles.
A noter que j'ai parlé de modératrices, mais cela s'applique également aux modérateurs. Le fait est que dans notre affaire ce soit le SNDJ qui soit concerné en premier lieu.