*met le nez à la bibliothèque après des mois d’absence*
*aperçoit un tome parlant de littérature, le parcourt en opinant*
ce que je dis ci-dessous paraît quelque peu tranché. Il n’en est rien pourtant J J
D. Edding… Hum, Les Chants de la Belgariade, certes, certes. Après cela est redite à mon sens. Dommage, l’auteur nous entraîne dans de bien beaux rêves avec son premier cycle.
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T. Pratchett… *grand sourire* sous la légèreté cherchez les vérités cachés. A Disque monde (à noter le jeu Discworld amusant et plein de clins d’œil) hormis les deux premiers tomes, je préférerais Le Livre des Gnomes par exemple qui peut difficilement se résumer *se tourne vers Sire Rodo en souriant*
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M. Weiss et T. Hickman et leurs Portes de la mort, je me permettrai de vous le conseiller également, ainsi que les premiers tomes de LanceDragon. A savoir que ce sont deux scénaristes de Donjons & Dragons. Par contre leurs autres livres, bien moins. Par exemple, leur saga de l’Etoile des Gardiens ( ?) est une sorte de copie de Star War.
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J’opterais également pour
Tad Williams comme vous le conseille Sire Araktis, et, comme il le dit encore,
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Tanith Lee : Des sagas héroïques comme La Déesse voilée, La Quête de la Sorcière Blanche.
Des livres inclassables, une sorte de nectar éthéré donnant l’impression d’un Mille et Une nuit mélangeant fantastique, rêve, mal, poésie : Le Dit de la Terre plate (Le Maître de la Mort, Le Maître des illusions, Le Maître des Ténèbres, La Maîtresse des délires).
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Pour
J. Vance, effectivement, son cycle de Lyonesse, un rien fleur bleue ; non médiéval quoique… assez incontournable Le Cycle de Tschaï assez récemment mis en Bandes dessinées (Le Chasch, Le Wankh, Le Dirdir, Le Pnume) :
En découvrant la planète Tschaï, le vaisseau terrien explorator IV est aussitôt détruit par un missile. Unique survivant de la catastrophe, Adam Reith va devoir affronter un monde baroque, violent et d'une beauté envoûtante. Un monde peuplé de quatre races extraterrestres : les belliqueux Chasch, les impénétrables Wankh, les farouches Dirdir et les mystérieux Pnume. Déjouer les traquenards, explorer les secrets des cités géantes, percer le mystère des hommes hybrides : autant d'étapes pour une extraordinaire Odyssée, qui permettra peut-être à Reith de rentrer chez lui… ;
ses deux tomes de Cugel l’Astucieux, un voleur quelque peu couard mais attention, un tome a été écrit récemment par un auteur auquel J. Vance a donné son Cugel : très décevant à mon avis :
Cugel est un malfrat sans foi ni loi. Dépourvu de tout sens de la morale ou de l’honneur, menteur, lâche et tricheur, il ne cherche qu’à s’en mettre plein les poches et à courir les filles. Cela l’emmène à cambrioler le magicien Iuconnu le Rieur. Mais Cugel se fait prendre et son châtiment est d’aller chercher pour Iuconnu une lentille de verre violette. Pour cela, le magicien lui greffe Frix dans les entrailles : une créature chargée de le surveiller afin qu'il ne se dérobe pas à son but. Au cours de sa quête, Cugel ne ratera aucune occasion de se mettre en mauvaise posture, mais il s’en sort toujours à l’aide de son bagout, en laissant toutefois nombre de catastrophes derrière lui avant de s’enfuir en courant.
A savoir que J. Vance est assez irrégulier dans sa production. La Saga des Princes-Démons, par exemple, n'est pas à la hauteur de ses autres écrits.
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Par Contre,
T. Brooks, cité, est bien léger. Personnellement je n’ai pas aimé Royaume Magique à vendre, il manque, pour moi, de créativité.
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McCaffrey bonne auteur aussi ; pour ses premiers tomes de Pern, voire ceux du Cycle de Pégase. Et son amie
M. Lackley
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Dans la série D. Adams, puisque cité, également à lire
P.V. Herck et son trop peu connu Crésudi dernier. Très sommairement et au grand dam de ne pas rendre hommage à ce livre :
un journaliste se trouve dans une soirée de la haute société. Il y fait connaissance d’une demoiselle. Chacun ne reste pas insensibles à l’autre. La demoiselle donne un rendrez-vous pour Crésudi prochain. L’homme, tout heureux, oublie qu’il ne connaît pas ce jour de la semaine. Aussi se rend-il tous les jours au lieu de rendez-vous sans succès. Il va donc commencer une enquête pour savoir ce qu’est Crésudi
Voilà le début de ce livre assez hilarant.
Je peux vous revoir? demanda Sam
- Si ça vous fait plaisir, dit doucement Julie.
- Et comment!
- Crésudi, alors? huit heures, devant le kiosque à journaux près de la statue de Claus.
Elle lui donna un baiser et disparut derrière le portail. Un peu étourdi, Sam remit la voiture en marche. Puis le coup frappa.
Crésudi!
Crésudi, huit heure, près de la statue.
D'accord pour la statue. Mais qui avait jamais entendu parler de Crésudi?
Il fallut à Sam cinq existences, une machine à explorer le Temps (d'occasion) et toute son ingéniosité d'auteur de science fiction pour résoudre l'énigme de Crésudi!
Sinon, toujours dans le non-médiéval fantastique amusant : Martien Go Home, par exemple.
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Si l’on vous parle de I.Assimov, il faut citer
Philip K. Dick. Là encore, ce ne sont pas des auteurs de médiéval bien sûr mais. Le second est plus diversifié que le premier. Je vous conseillerais pour commencer ses nouvelles des années 1952.
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Entièrement d’accord avec Mademoiselle Mejai, qui vous conseille
R. Zelazny et son Cycle d’Ambre(Mai, comme bien des sagas, je pense, arrêter la lecture au cinq-septième tome. Après ce n’est souvent que délayage) ou bien le Cycle de L’Enfant tombé de nulle part. Certains sont à éviter comme Le Sérum de la déesse bleue ou Deus irae.
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Euh Pardon Messire Kelem : j’ai trouvé les Chroniques des Cheysulis de
J. Roberson assez fade et peu cohérente.
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Marion Zimmer Bradley, oui, avec ses Dames du lac et sa suite, une autre version arhturienne ; et son Cycle de Ténébreuses (mais encore une fois aller jusqu'au tome 7 ; à mon sens suffisant) A noter qu’elle a donné, comme M. Lackey, de mémoire, son monde à exploiter à de jeunes auteurs. Eviter son cycle Les Secrets d’Avallon.
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Moyennement
P. Anthony, en exemple son Cycle des Livres Magiques de Xanth manque, je trouve, d’imagination, de souffle.
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Je partage votre goût pour
Lieber, son Cycle des Epées par exemple dont a été tiré un scénario de Jeux de Rôle se passant à Layereth (pardon pour l’orthographe)
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Euh
M. Moorcock *grimace* hum… à mon sens il a tendance à prendre son lecteur pour une personne un peu attardée ; tous ses cycles se ressemblent ; il est très manichéen. A noter, peut-être tout le monde ne le sait-il pas, que de son Cycle Elric a été tiré le Jeu de Rôle Stormbringer.
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Et, pour moi encore (bien évidemment) à lire, oui, le méconnu
Thorarinn Gunnarson et sa Chroniques du chevaliers dragon.
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Dan Simmons et Feist, peu innovant non ?.
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A mon avis, euh oui bien sûr,
K. Kurtz et ses Derynis sont comme J. Roberson et ses Chroniques des Cheysulis. Il manque cruellement quelque chose à ces cycles.
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Ah oui : la Saga des lances. De la même lignée que le cycle cité de Thorarinn Gunnarson. Tous deux sont parus chez J’ai Lu qui a innové il y a quelque temps une collection regroupant de bons livres rarement décevants. Ils sont typiques du genre mais ont tous un peu plus. Une des particularités des Chroniques, si ma mémoire ne me fait pas défaut : dans le premier tome, le héros découvre progressivement la particularité de chaque race, vision assez près de AD&D, au fur à mesure de ses pérégrinations et des besoins qui se posent à l’équipée. C'est je trouve, une bonne idée.
Dans la même collection :
Terry Goodkind et son cycle trois tomes : La Première Règle du Magicien *ne sait pas si la suite a paru*
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Princess Bride *sourit* pour le film oui
*voit l’heure qui passe*
Aux excellentes listes que l’on vous a proposé plus haut, j’aimerais ajouter quelques auteurs
Pour commencer des auteurs français :
Pur fantasy :
Jean-Louis Fetjaine. De mémoire c'est un médiéviste. Il a donné un Cycle des Elfes (Le Crépuscule des Elfes, La Nuit des Elfes, L’Heure des Elfes). Une vision très différentes du petit peuple mêlée à une vision innovante du Cycle arthurien. Un petit plus outre la lecture très savoureuse, quelques notes de bas de page donnant des renseignements intéressants sur le Moyen Age.
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Inclassable : Parleur ou les chroniques d’un rêve enclavé de
Ayerdhal. Je suis bien triste que peu de gens connaisse. *penche la tête, réfléchit* Comment en donner la teneur sans en perdre la saveur ?
*réfléchit encore* Pardon, j’y renonce. Le malheur est que je ne peux parler d’un livre que lorsque je viens de le finir. Je ne ferais que rendre une bien pâle image de l’histoire.
*copie colle tout en faisant la moue, ne trouvant pas excellente cette présentation qui ne donne pas bien envie de lire cet excellent livre*
Ael : Ayerdhal, tu viens de sortir un nouveau roman Parleur. Contrairement à ce que tu as déjà publié c'est un roman heroic-fantasy.
Ayerdhal : Je ne sais pas si c'est un roman d'heroic-fantasy, cela ce passe dans un Moyen-Age qui est proche du nôtre, sur une planète qui pourrait être la nôtre, mais ce n'est pas vraiment le cas. Et c'est l'histoire d'un révolutionnaire dans l'esprit de Gandhi, qui essaye de recréer une commune dans une structure sociale un peu dure.
Ael : Pourquoi avoir pris comme héros un personnage non-violent?
Ayerdhal : C'était un défi. J'ai voulu écrire de l'heroic-fantasy pour supprimer trois aspects. Le rôle que la fantasy accorde aux femmes, qui est simplement de mettre en valeur les personnages masculins. La magie et la sorcellerie, donc j'ai créé un prestidigitateur. Et puis je voulais avoir un moteur central qui vienne de quelqu'un qui revendique totalement la non-violence. Je trouve que la violence n'est pas la meilleure façon de faire que le monde évolue.
Les autres livres de Ayerdhal touche la science fiction à forte teneur politique comme Histrion et sa suite Sexomorphe (politique intergalactique). Il est dit grand admirateur de F. Herbert. Pour mon goût, il le vaut bien.
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Matthieu Gaborit, dont je n’ai rien lu mais qui est dit-on un grand. Notamment Ses Chroniques des crépusculaires.
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Certains
Serge Brussolo et Pierre Pelot (attention, genres divers pour ces deux-là)
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Sinon, dans les grands classiques, faites un tour du côté de
Ursula le Guin et, pour se cantonner dans le médiéval, son cycle de Terremer.
*relève un résumé sur un site, toujours peu contente *
Dans un monde recouvert par une mer immense et quelques îles, le jeune Ged voyage vers l'Iile de Roke.
C'est la que se trouve la mystérieuse école des sorciers, celle où l'on apprend les mots qui parlent aux choses et aux éléments...
Dans ce monde les Dragons parlent sans faute de syntaxe, et Ged, au cours de son initiation affrontera le mal sous bien des formes...
Dans le premier tome, « Le Sorcier de Terremer », poussé par son arrogance, Ged libère son double malfaisant, qui n’aura de cesse d’essayer de le détruire.
Dans le tome 2, « The Tombs of Atuan », [notamment inspiré par un voyage dans le désert de l’Est-Oregon] plus sombre encore, Ged passe au second plan, le récit tourne autour de Tenuar, jeune prêtresse appelée à régner sur le Temple d’une entité « non-morte » enterrée dans une terrifiant labyrinthe. Ged, qui est un mage adulte, mur et aguerri désormais, s’introduit dans le labyrinthe et Tenar ne sait si elle doit le tuer ou l’utiliser pour échapper à son propre destin.
Dans « The Farthest Shore », Ged affronte son ombre et les Dragons.
Dix-huit ans plus tard, Ursula LeGUIN a repris le cycle en lui ajoutant une deuxième trilogie : « Tehanu ».
Des tomes où l’on voit bien le rayon de soleil se refléter sur un chaudron de cuivre pendant à une poutre noircie de suie.
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Le trop oublié
Abraham Merritt (Le Gouffre de la Lune, Les Habitants du mirage, Le Visage dans l’abîme, La Nef d’Ishtar, etc.). Un ancien, et comme presque tous les anciens, un excellent. Genre épique avec bien sûr de la magie traitée différemment de celle à laquelle ses successeurs nous ont habitués.
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Mercedes Lackey : Le Cycle des Héraults de Valdemar
Valdemar est un royaume particulier, différent, puisqu'il existe une classe particulière : Les hérauts, figure de justice et de droiture. Défenseurs de la veuve et de l'orphelin ! Plus généralement du Royaume
Les hérauts sont choisis par leurs montures, créatures magiques et intelligentes. Malheureusement Valdemar suscite des convoitises chez ses voisins, et cela se traduit souvent en une haine profonde des Hérauts de Valdemar. ;
voire le premier tome du Cycle des Griffons
Dans le lointain passé des Hérauts de Valdemar, la magie était déjà là, bien plus puissante que des milliers d'années plus tard. En ce temps reculé les races autres que l'humaine tenaient une grande place, lézards bipèdes grands comme un homme, chiens télépathes géants et bavards, et surtout griffons magnifiques et de toutes couleurs. Le plus beau des griffons était Skandranon, aux plumes d'ébène, aux ailes d'une envergure majestueuse, aux talents de mage et à l'intelligence affûtée. Courageux, risque-tout, plein de ressources, il était le fer de lance des armées d'Urtho, le Mage du Silence. Car depuis que les rois étaient tombés, des magiciens les avaient remplacés, s'affrontant en une guerre sanglante. D'un côté Ma'ar, le Magicien du Feu Noir, usurpateur sanguinaire, prêt à tout pour étendre son territoire. De l'autre Urtho, aimé de tous. Pour le protéger, pour sauver toutes les races, pour venger les victimes de Ma'ar, le griffon noir devrait aller jusqu'au bout de son courage et de ses forces, sans crainte de la mort, sans peur de l'apocalypse.
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Clive Barker Le Royaume des Devins
Les Devins sont des êtres utilisant une forme de magie particulière : les extases. Mais pourchassés par les humains et par LE FLÉAU, ils décident de se réfugier dans un objet ordinaire : un tapis. Un siècle plus tard, à notre époque, la gardienne du tapis va bientôt mourir et les ennemis des Devins vont essayer de s'approprier ce monde... D'une idée que j'ai trouvée géniale, Barker a écrit un pavé de 800 pages passionnantes, vous tenant en haleine grâce à une intrigue bien menée et avec assez de rebondissements... Barker a toujours ses visions cauchemardesques qu'il parvient à décrire avec un réalisme qui fait froid dans le dos. Les non-amateurs du genre pourront néanmoins trouver cela beaucoup trop long.
(le reste de sa production étant dite livres d’horreur – dubitative) et peut-être Imajica (deux tomes) puisqu’il y a une sorte de magie
C'est vraiment un must de la littérature de Fantasy; l'imagination débordante de l'auteur nous entraîne dans un maelström d'émotions où l'amour est omniprésent et les créatures rencontrées au fil des pages vous obligent à faire fonctionner ce qui nous sert.
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Tim Powers, telles Les Voies d’Anubis, un brin de Tardi, un soupçon de E.A. Poe.
Tout commence banalement : un voyage dans le temps d'un professeur d'université américaine. Pas très original, direz vous. Monumentale erreur ! Car arrivé dans le Londres de 1810, Brendan Doyle se retrouve en proie à des sorciers vénérant les dieux égyptiens, un loup-garou (et quel loup-garou. Loin des clichés) sans oublier les bas-fonds de Londres.
Même si parfois, l'histoire est un peu confuse, les personnages sont vivants, la trame de fond explose. On s'y croirait. Dans le même genre tous les livres de Powers sont dignes d'êtres lus. Mes préférés sont : Le poids de son regard, Poker d'âmes, les chevaliers de la brune, Sur des mers plus ignorées et les pêcheurs du ciel avec des personnages tels que Percy Shelley, William Ashbless, Rufus Pennick et Lord Byron.
*pas bien d’accord pour Sur des mers plus ignorées*
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Osron Scott Card Les Chroniques d’Alvin le Faiseur (roman merveilleux et, de ci delà, antipathique J) :
1. Au bord de la rivière Hatrack, près des forêts profondes où règne encore l'homme rouge, un enfant au destin exceptionnel va naître en des circonstances tragiques. Septième fils d'un septième fils, il détendra les immenses pouvoirs d'un Faiseur, pour peu qu'il parvienne à échapper aux périls de l'existence, car il est un autre pouvoir, prêt à tout pour l'empêcher de vivre et de grandir. Nous sommes dans les années 1800, sur la terre des pionniers américains. Mais dans ce monde parallèle opèrent charmes et sortilèges, on y possède des talents à la dimension magique, et les ombres de présences bienveillantes ou maléfiques rodent dans la nature
2. Promis à un avenir mystérieux et grandiose d'un faiseur, Alvin a dix ans. le voici qui découvre le monde des hommes rouges, dont l'existence se confond avec les rythmes de la nature et de sa "musique verte". Nouvelles épreuves plus rudes; nouvelles révélations, plus extraordinaires. Et un embrasement de l'histoire, dans un récit magique et flamboyant.
3 "Je suis le faiseur, dont la torche parlait, se dit Alvin. Elle a vu que j'avais en moi de quoi devenir un faiseur. Il faut que je trouve cette fille et qu'elle me dise ce qu'elle a vu. Parce que je le sais : si je possède ces pouvoirs que je me suis découverts, ce n'est pas uniquement pour tailler de la pierre sans les mains, guérir les maladies, ni courir dans les bois comme les hommes rouges. J'ai une tâche à remplir dans la vie et je n'ai pas l'ombre d'une idée sur la façon de m'y préparer." Apprenti-forgeron, apprenti Faiseur, Alvin est de retour dans son village natal. Sur sa route se dresse encore, multiforme, son mystérieux ennemi. "Le Faiseur, c'est celui qui fait partie de ce qu'il crée", dit l'Oiseau Rouge.
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Et puis :
Guy G. KayLe Cycle de La Tapisserie de Fionavar.
Cinq étudiants de Toronto se retrouvent projetés dans le monde de Fionavar pour assister au jubilé du Haut-Roi. Seulement Rakhot Maugrim, le dieu hors de la Tapisserie, se réveille. Mantel d'Argent le mage, sera-t-il capable de les protéger ? Entre les deux mondes, les cinq étudiants devront faire face à des choix difficiles et ... définitifs !
Là aussi ça commence banalement, des gars de notre monde se retrouve dans un monde médiéval fantastique. Puis, la richesse des personnages, de leurs sentiments, de liens qui se forment ou se dénouent (comme la Tapisserie) nous attache à cette série et on en redemande. Si l'histoire parait manichéenne, la fin révélera des surprises, bien loin du happy end typiquement hollywoodien. Les inspirations celtiques se font sentir à travers certains personnages. 3 volumes débutant par L'arbre de l'été. Les autres volumes sont : le feu vagabond et la voie obscure.
Parfois le scénario est pour le moins état-unisisé mais l’ensemble mène sur de solides chemins. Le cycle est assez riche pour intéresser des lecteurs dont les goûts sont différents : magie, épique, rêve, poésie, épopée, etc.
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Stephen R. Donaldson Les Chroniques de Thomas d’Incrédule (Les chroniques de Thomas l'incrédule, L’Eternité rompue, Le Reveil du titan) :
Thomas écrivain lépreux dans notre monde, se retrouve projeté dans un monde fantastique plein de magie auquel il a beaucoup de mal à croire, apportant à la fois le bien et le mal dans cette univers, il lui faudra se vaincre lui même. Un roman atypique par la personnalité même du héros, en proie à un profond dégoût de lui même et à un puissant désir d'auto-destruction.
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S. King et Peter Straub Talisman
Un jeune garçon de douze ans, Jack Sawyer, a découvert une porte donnant sur un monde parallèle au nôtre, les Territoires. Sa mère étant très malade, il décide d'entreprendre un long voyage dans le but de trouver le talisman qui peut la sauver, qui se trouve à l'autre bout des États-Unis. Les Territoires permettent à Jack de voyager quatre fois plus vite que dans la réalité, par contre ils sont dangereux, étant rempli de monstres et de sorcellerie. Dans son périple, il se fera des amis mais aussi des ennemis qui le poursuivront jusqu'à la fin. C'est une histoire où s'entremêlent le fantastique, la science-fiction,
Et, de S. King seul, Salem, qui n'est pas tout à fait médiéval, certes, mais n’est-il pas question de sorcières ?
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Et puisque sorcières :
Anne Rice La Grande saga des sorcières : Tome 1, Le Lien maléfique :
Sous le porche d'une vieille demeure à l'abandon, une femme frêle et muette se balance dans un rocking-chair : Deirdre Mayfair est devenue folle depuis qu'on lui a retiré, à la naissance, sa fille Rowan pour l'envoyer vivre à San Francisco. Et derrière la grille du jardin, un homme, Aaron Lighter, surveille inlassablement Deirdre, comme d'autres avant lui, pendant des siècles, ont secrètement surveillé la famille Mayfair. Car ils savent que, de génération en génération, les femmes du clan se transmettent leurs maléfiques pouvoirs et que la terrifiante et fabuleuse histoire de cette lignée de sorcières ne fait que commencer...
Tome 2 : L’Heure des sorcières :
Des siècles durant, les sorcières de la famille Mayfair ont dû lutter pour survivre et fuir les persécutions. Aujourd'hui, elles vivent en paix à la Nouvelle-Orléans. Mais Lasher, l'esprit qui les hante depuis des générations, rage de les voir peu à peu se détourner de la magie. Lorsque Rowan, la treizième sorcière, enceinte, est sur le point d'accoucher, Lasher sent que son heure est venue et rassemble tous ses pouvoirs pour s'incarner dans le nouveau-né. La nuit de Noël, Rowan donne naissance à un enfant prodigieux : en quelques heures, il acquiert sa taille adulte, parle et marche. La famille Mayfair pourra-t-elle faire face à cet esprit infantile, jaloux et diaboliquement intelligent qui rêve de devenir le plus grand sorcier de tous les temps?
Tome 3 : Taltos :
Qui est donc l'étrange Mr. Ash, géant calme et d'une infinie douceur? Est-il vraiment le seul survivant de l'espèce légendaire des Taltos? Il a toutes les raisons de le croire. Mais bientôt, il apprend par un mystérieux informateur que l'on a signalé l'un des siens en Écosse, sur les lieux mêmes où, des siècles plus tôt, avant l'arrivée des Romains, il dirigeait son clan. Ses investigations le propulsent aussitôt dans l'univers de Rowan Mayfair et de sa famille de sorcières, tourmentée de toute éternité par fantômes et démons. Des femmes dotées de tempérament de feu et de pouvoirs exceptionnels, qui ne sont pas sans lien avec l'héritage des Taltos...
Et puisque A. Rice, Lire Lestat le vampire mais éviter les autres tomes du cycle je pense.
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Je m’écarte encore mais comment ne pas citer
Arthur C. Clarke et, par exemple, Les Enfants d’Icare ?
Voilà quelques-uns des livres que j'ai aimés.
Merci de m'avoir lu
*voit passer Dame Lumina. La salue d'un grand sourire*