Pour le dernier point, j'estime qu'il généralise ce qu'il ressent, à savoir un dégout pour les choses triviales, la concupiscence de l'esprit enchassé dans la velleité des beuveries qu'il dénonce.
Or cet appel des sens est dicté par la perméabilité de l'esprit ,non contraint aux exigences de l'abstractivité et ,conséquemment, il tombe dans la structuration meme de son etat ,ce qu'on ne peut pas lui reprocher.
L'abstraction nourrit la proscription du stimulus instinctif en le sublimant et donc en le contenant dans la virtualité afin de consacrer l'essence meme de l'esprit spirituel.
Or meme que l'on supposasse cette hypothese comme valable, peut-on en deduire que l'abstraction elle-meme est contigue avec ses principes primaux et que, finalement, l'homme pensant ,controlant ne l'est que parce qu'il est condamné à l'etre?
N'est-il pas victime ou dépositaire de sa propre interdiction , à un degré identique mais different?
Donc ,si l'on rapproche cette analyse de la principale thèse d'Epicure, il suivra que le plaisir se situe dans la jouissance non pas des choses mais de ce que l'esprit apprété y puisera, quelle que soit sa nature et sa destination.
Cela dit, il est possible que je dise des conneries...
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