Voilà, il y a quelques mois j'ai posté une demande pour des informations. A l'heure qu'il est, il n'est toujours pas fini, et doit être rendu mercredi, j'ai bossé tout cet aprem pour finir ma partie, j'aimerais avoir des avis constructifs si possible dessus.
Imaginez vous profs d'eco et maths (c'est avec ce couple de prof que je vais passer) qui lisent notre sujet (sans compter ce qui manque hein
Merci encore.
Miss
ps: je vous passe tout ce qui est mises en pages ;p
Introduction
C’est un fait, la politique garde une main mise sur l’information, d’une manière plus ou moins visible.
Le monde moderne commença seulement quand Gutenberg inventa l'imprimerie en Europe, ce qui permit de préserver et de répandre les idées même quand les princes et les évêques voulaient les interdire. Quand Wycliffe traduisit par exemple la Bible en anglais en 1380-1381, le mouvement Lollard qu'il avait fondé fut facilement démantelé ; mais lorsque Tyndale traduisit le nouveau testament en 1524-1525, il put imprimer plus de 50000 copies avant d'être rattrapé et brûlé vif.
La censure a toujours existé, d’une façon plus ou moins tenue, officiellement sous les régimes Impériaux, ancien régimes (etc.) mais aujourd’hui, la censure est plus vicieuse, cachée sous de grands mots et des amitiés entre politiciens et journalistes.
C’est ainsi qu’on dira de certains journaux plutôt dirigé à « gauche », à savoir ayant une approche de l’information subjective se rapprochant aux idéaux privilégiant le social, la politique intérieur et la réduction du chômage.
Alors qu’un journal rapproché à un mouvement de « droite » favorisera la réduction de l’inflation, la politique extérieur et l’expansion militaire.
C’est ainsi que nous essaierons de voir comment la politique garde une main sur l’information et quelles en sont les conséquences, plus particulièrement la presse écrite.
Pour ce faire, nous verrons en premier lieu les acteurs et raisons de l’influence sur l’information et dans un second temps quelles en sont les conséquences sur l’information et l’économie.
I. L'influence politique
Les médias remplissent-ils leur rôle de place libre permettant la discussion publique et contribuant ainsi à l'élargissement de l'horizon démocratique ou sont-ils plutôt des appareils idéologiques au service de l'inertie sociale? Doit-on les qualifier d'outils démocratiques ou d'usines à fabriquer du consentement? Le débat fait rage, surtout depuis le milieu du XXe siècle, et l'époque actuelle.
Il y a deux sortes d’influences, les influences nationales, et les influences internationales.
On pourra voir qu’en France c’est, selon les affaires, moins effarant que dans les grandes puissances Américaines par exemple. On pourrait penser que les hommes de la nation sont clairs et honnêtes, mais que savons nous vraiment de ce qui se passe à l’Elysée ou dans les locaux du Monde ?
L’Amérique, elle, semble dénoncer ses affaires gênantes (monica lewinsky) peut-être pour en cacher des plus grandes, occuper l’opinion publique…
Qui et Comment?
-Qui?
On peut déceler deux, voir trois sortes de manipulations d’information.
La première, c’est celle qu’exercent les hommes politiques, les partis et les groupes sur les journalistes.
Les politiques sont une source importante d’information et doivent par conséquent être « ménagés », non par complaisance mais parce que se fâcher avec un homme politique c’est priver ses lecteurs d’une source importante d’information. De plus les hommes politiques ont besoin des médias pour faire leur publicité. La politique est l’un des éléments les plus importants que le journaliste doit prendre en compte.
Les médias, pour Chomsky,sont une machine de propagande au service d'une conception du monde, faussement démocratique, puisqu'elle repose sur une idéologie politique qui divise la société en trois groupes qu'il s'agirait de maintenir en place: les puissants, essentiellement les possédants économiques et leurs valets politiques, leurs sbires intellectuels qui ont pour mandat de les légitimer et, finalement, la vaste majorité des citoyens réduits à l'état de membres du «troupeau dérouté». Les premiers ont des intérêts économiques et un pouvoir à défendre, les deuxièmes les imitent en les cautionnant et les derniers sont entretenus à coups de propagande dans leur état d'isolement et de passivité politique.
Gingras estime qu’en pratiquant la personnalisation, la dramatisation, la fragmentation (absence de mise en contexte), la normalisation (les autorités ont le contrôle) et le culte du direct (pourtant nuisible au journalisme de qualité), les médias favorisent la politique-spectacle, l'inculture politique et dépriment l'engagement. Le vrai journalisme d'enquête passe justement par le refus de ces styles. Individuellement, certains journalistes, mieux armés que d'autres, peuvent parvenir à contourner ces pièges, mais les contraintes structurelles pèsent lourd et Gingras croit donc surtout nécessaire d'insister sur le fait que ces contraintes «placent les détenteurs du pouvoir en situation avantageuse par rapport aux journalistes».
On a pu également remarquer que lorsque la guerre en Irak a débuté, le président américain avait affirmé que ce serait une guerre propre et courte. Bien entendu ces mots sont apparus sur la plupart des journaux alors que nous savons qu’il est impossible qu’une guerre soit propre et rapide surtout depuis la 1ère guerre mondiale qui est considérée par les historiens comme la dernière guerre traditionnelle et première guerre moderne. De ce fait c’était la fin des guerres militaires contre militaires et le début des bombardements massifs sur les villes, sans grande préoccupations des vies civiles. Ce qui prouve que les journalistes ne font que rapporter les propos des politiciens et ne se préoccupent pas de la signification des phrases ou de la sûreté des faits.
Ceci peut être observé à l’AFP (agence France presse) qui diffuse en moyenne une information par minute. Les journalistes reçoivent ces informations ; soit ils les remanient sans vraiment les vérifier, soit ils les transmettent sans être sûrs des faits.
La dernière manipulation est celle exercée par la religion. Par exemple en Irak ou même au Proche Orient la religion est très importante, Allah est « le chef » et beaucoup le vénèrent ; les gens respectent la religion et la presse est amplement surveillée. Il faut noter que la majorité de la population Irakienne est illettrée et suit les chef religieux de sa région, les Imams, souvent fanatique qui appellent au Djihad et a la rébellion contre l’occupation américaine a Bagdad. La censure est fréquente dans ce pays et toutes les informations non contraire à la religion sont enlevées ou modifiées.
Mais dans cette dernière guerre, il faut aussi blâmer l’Amérique qui par la voix de Bush a clamé que Dieu protégeait l’Amérique. (« God bless america » discours de Georges W Bush durant la guerre.)
-Comment?
La première manière permettant d’avoir une influence sur l’information est de donner des informations mensongères, par exemple : les médias apparaissent comme des falsificateurs d'histoire (la guerre du Vietnam aurait fait trois ou quatre millions de victimes, mais les Américains évaluent plutôt leur nombre à 100 000 victimes) ; ou de désinformer les gens pour ne pas divulguer des vérités gênantes, par exemple : «Au lendemain de l'élection québécoise du 30 novembre 1998, il y avait à la une du journal Le Soleil une publicité imparable: un collant vert et rond d'un diamètre d'environ six centimètres vantant une marque de bière qui cachait les résultats obtenus par le Président québécois. » Par conséquent, transformée en marchandise, l'information n'éclaire plus: elle sert à vendre.
L'industrie des relations publiques imposera aux médias dans leur ensemble des techniques de détournement de l'information visant à saturer l'espace public de slogans (par exemple, «la grève, c'est le désordre») tenant lieu de vérités indiscutables.
(à terminer)
2.Pourquoi?
(à faire)
II.Les Conséquences
Sur l'information et la position publique
Comme vu dans la partie précédente l’information est manipulée, malmenée par un bon nombre de personnages, cependant quelles conséquences cela peut il avoir ?
La première est que trop d’information tue l’information.
Nous pensons notamment aux tenants de la guerre, comment les Etats Unis ont ils cautionnés cette guerre ?
Ils ont fait appel aux rapports de L’ONU démontrant la présence d’armes de destructions massives, mais où sont elles passées ? A la trappe, le nouvel objectif de G W Bush est de trouver Sadam Husseim, réelle raison ou nouvelle couverture médiatique pour préparer un peu mieux la défense face aux membres du conseil de l’ONU,lorsqu’il aura à répondre de ses actes , nous ne le saurons que plus tard.
La manipulation ou tentative de manipulation peuvent avoir des conséquences bénéfiques, comme par exemple ce que ferait le journal qui refuserait les avances d’un autre en publiant des vérités , ce qu’a fait le Nouvel Observateur (n°1999) par la voix d’Airy Routier, ami avec Pierre Péan et ami de rédacteurs du « Monde », ces derniers étant en conflit a cause du livre sur les mensonges du Monde écrit par Péan et Cohen.
« Le Monde » a clairement établi les règles de la campagne dressée par Péan et Cohen contre ses dirigeants, il faut choisir son camp, ou les dirigeants du Monde, ou les rédacteurs du livre contre ce dernier, l’interdiction d’être neutre faisant foi.
Pourtant dans ce livre, bon nombre de vérité son mise a la vue du monde entier. Donc le traitement de l’information provoque ce genre de scandales qui mettent à nus de grandes figures, mais dans quel but.
La vérité ?
Quelque fois oui, quelques fois non, comme pour le scandale de Bill Clinton et Monica Lewinsky, nous pouvons amplement supposer qu’il n’a été dévoilé et orchestré que pour l’empêcher de se représenter l’année d’après aux élections présidentielles. Mr Clinton avait remonté et stabilisé l’économie du pays, il avait fait quelques reformes en tout bien tout honneur, tout le destinait a recommencer un mandat.
C’est ce qui nous amène a la « pensée unique » ou « pensée publique » qui peut être très disproportionnée par rapport aux faits réels de départ.
C’est ainsi qu’un Américain, juriste de 61 ans, c’est vu forcé de payer une amende pour ne pas avoir voulu retirer un T-Shirt arborant ce slogan « Donnez une chance a la paix », et le respect du premier amendement garantissant la liberté d’expression ?
Mais le jeu de l’intégrisme peu mener encore plus loin, souvenons nous de « l’Arabo phobie » américaine après les attentats du 11 septembre, cette vague qui a touché tout un pays. Mais pourquoi aller chercher aussi loin, même en France nous sommes touchés, l’insécurité, les vols, les meurtres, l’étalage de nouvelles sanglantes et apeurantes a souhait tout les jours dans la presse.
Et cela n’est pas resté sans contrecoup, bilan, Le Pen et Chirac au second tour, la montée en flèche d’une extrême droite consolidée par un chef sachant parler à la France apeurée. Ceux qui n’ont pas voté se mordent les doigts, se rendent aux urnes, et on recommence.
La position publique, le mouvement de masse dépend dans certaines situations du traitement de l’information
L’information maltraitée engendre des scandales 2 semaines, 2 ans ou 20 ans après mais on finit toujours par connaître la vérité parce qu’un journaliste un peu naïf n’aura pas accepté les pots de vins.
2.Sur l'économie et la Politique.
Est ce qu’avec les moyens technologiques actuels les Américains n’auraient pas pu retrouver Ben Laden depuis longtemps ?
Ben Laden est bien connu comme étant un agent de la CIA. Il a eu d'étroites relations de travail avec la CIA dans les annés 1980. Cela n'est démenti par personne. On prétend que, depuis, ces relations n'existent plus, mais c'est un mensonge.Pour commencer, de nombreuses installations militaires américaines au Moyen-Orient, contre lesquelles Ben Laden soulève prétendument de violentes objections, ont en fait été édifiées par la société de construction de Ben Laden. Il existe un fil rouge permanent : les liens d'affaires étroits entre la famille Bush et la famille Ben Laden, remontant à plus d'une décennie, et se poursuivant encore de nos jours (Wall Street Journal, 27 septembre 2001 )Il faut aussi se souvenir que Daniel Pearl, qui a été exécuté au Pakistan, pays allié des USA, était journaliste à ce même Wall Street Journal qui a dénoncé les liens financiers entre les Bush et les Ben Laden .L'administration Bush a tenté de jeter un écran de fumée sur ceci en prétendant que le reste de la famille de Ben Laden avait renié ce dernier ; mais, c'est absolument faux. Les Ben Laden sont d'importants investisseurs au sein de la grosse firme d'armements qu'est le groupe Carlyle, lequel — et il s'en vante — s’ai fait énormément d’argent avec la guerre en Afghanistan. il est scandaleux que plusieurs membres de la famille de Ben Laden aient été aux Etats-Unis le 11 septembre et qu'on les ait autorisés à s'en aller quelques jours plus tard, sans même les interroger, alors que les Etats-Unis avaient déjà déclaré Ben Laden coupable.
Et d’ailleurs, a plusieurs reprises le FBI s'est plaint d'avoir été muselé et d'avoir subi des entraves dans ses tentatives d'enquêter sur des questions en rapport avec Ben Laden et Al Quaïda, pourquoi ? sûrement pour des raisons économiques.
Mais cela ne sont sommes toutes qu’un enchaînement logique d’hypothèses plus ou moins fondées sur un évènement qui a marqué le monde, en fait plus cachées qu’infondées, ces questions posées sont le résultat de recherches de journalistes qui n’ont pas froid aux yeux, la politique presse l’information et le pouvoir écrase les journalistes, point.
Au niveau des répercussions économiques des attentats du 11 Septembre, parlons d’un Monsieur X (dont l’identité est bien gardée a ce que nous avons cherché) qui se livrait a un délit d’initié par exemple sur les compagnies aériennes, ou sur les compagnies d’assurances à l’intérieur du World Trade Center, cependant les autorités en savaient bien plus qu’ils n’ont essayé de le faire croire au « peuple ».
Il y a un autre sujet chaud aux Grandes puissances Etats uniennes, parlons de leurs élections fantoches, (à terminer)
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Voilà, la Conclusion étant ouverte sur la Télévision...
En doutant que vous avez tout lu,
Miss