[Södème]

Slysyd, le fils unique de Synopsis et Aurora,reçu cette lettre le 10 Octillard.
Le jour suivant ,Aurora trouva en papier griffonné sur sa table de chevet.
L'écriture simple de son fils et deux mots "Je pars".
Au loin,Slysyd lâcha une larme.
"Pourquoi tu pleures?"

Les rues sombres de Brakmar.
Il n'y arrivera jamais seul.
Un enfant joue avec ses poupées de chiffon.
Cet enfant...un regard.... des larmes.
"Pourquoi tu pleures?"
Il pris l'enfant sous son aile.KarNaVal était son nom.

L'île de Frigôst.
Le froid...une ombre....un éclair...le silence...un corps étendu dans la neige....son père...Un Oeuf turquoise dans ses mains... une aura bleu ciel...Des larmes...
"Pourquoi tu pleures?"
Slysyd pris l'oeuf.

Frigôst
8 Octillard 620
10 ans passés à s'entraîner sur l'île....seuls....L'invocation de dopeul....
Slysyd invoqua son dopeul...la fumée se dissipa..A la place du Dopeul tant attendu,son père...Une retrouvaille....des Larmes.
"Pourquoi tu pleures?"


KarNaVal et Slysyd restèrent sur l'île de Frigost,fondèrent une guilde sur cette île.




J'espère que ça vous a plu, je vais bosser sur le Bg de la guilde.

Osawa rentra dans une maison et trouva un parchemin sacré où il était marqué l'histoire de Slysyd...

Elle le lit d'abord et écrit sûr un bout de parchemin ...

"
Cher Slysyd,
Je trouve ton histoire très belle malgré quelques fautes...
Cordialement,

Osawa
"

Elle déposa ce parchemin et... dit au revoir à cette maison...

[Södème]

Octillard 623

Slysyd voulait revoir sa mère, son foyer, son petit boufton, Toupie.
Accompagné de KarNaVal et de Walkyries,ses fidèles bras droits, il chercha sa demeure.
Arrivé devant le palier , la porte était ouverte.
Il entra, mais il n'y avait âme qui vive.
Il monta à l'étage et sur son bureau, un morceau de parchemin fripé signé d'Osawa.
Ce nom lui était inconnu.
Il continua à chercher et arriva devant la porte de la chambre de sa mère.
La porte était entrebâillée.
Il entra.
Il planait dans l'air une odeur d'encens.
Sa mère était allongée sur son lit,morte.
Il pleura.
Sur la table de chevet , un autre mot, signé cette fois-ci de sa mère.
Enfait ce n'était pas signé mais il reconnu son écriture propre et soignée.
C'était une sorte de testament où elle léguait toute sa fortune à son fils unique.
Slysyd était triste: il n'avait pas pu lui dire un dernier adieu, un dernier remerciement.
Il avait maintenant dans la tête l'idée de retrouver "Osawa".
Mais avant de partir, il ressenti comme une présence.
Il descendit dans la cave.
Une ombre furtive,un sifflement...
Une bête le cloua au sol, mais par n'importe quelle bête.
C'était son petit boufton,Toupie.
Il se mit alors en route pour retrouver Osawa.

Voila une suite,Merci Osawa

Osawa avait lu le parchemin mais.. elle ne se doutait pas de ce qu'il l'attendait...

Elle avait vu la lettre, mais quelqu'un la suivait, elle avait peur... très peur..

Décida finalement de ralentir puis.. Se retourna et ne vit personne... Elle courra à bonta cette fois-ci et rentra chez elle.. vite... De peur de voir si quelqu'un la suivait réellement ou s'il avait pris un parchemin de camouflage...

Elle s'endormit finalement, frustrée...

Elle écrivit un nouveau parchemin le lendemain :

"Cher Slysyd,

J'ai été ravie que tu lise mon parchemin, j'aime bien ta façon de raconter, suppérieure à la mienne..."

Le déposa sur la table et partit vers de nouvelles aventures, avec son petit Tiwabbit qui à Toujours faim...

[Södème]

Slysyd et ses deux compagnons de voyage décidèrent de se mettre à la recherche d'Osawa.
Le petit Boufton,Toupie, avait ressenti une piste qui s'enfonçait dans la foret des Abraknydes.
La nuit était sombre et froide.
Les trois aventuriers avaient l'impression...un sentiment bizarre.
Pas l'impression d'être observé, mais celle d'observer quelqu'un.
Il n'y avait personne devant eux.
Il n'y avait plus de chemin non plus.
Ils continuèrent leur route, qui n'en était plus une, étant donné que le sentier n'en était plus un.
Une ombre furtive...Un éclair et ils aperçurent une forme svelte, qui les regardaient.
Une figure semblable à celle des clowns.
Une figure remplie d'un je ne sais quoi de frissonnant.
L'ombre disparut.
Un rire fou,machiavélique retentit dans la nuit froide.
Les trois compagnons en avait vu de pires mais ce personnage était particulièrement impressionant.
Le petit Toupie, pendant ce temps, ne sentait plus la trace d'Osawa.
Walkyries, qui était maître alchimiste, diagnostiqua qu'Osawa avait utilisé une potion de Bonta.

Une fois arrivés à Bonta, ma magnifique cité des Anges, ils se renseignèrent sur Osawa.
Ils apprirent qu'elle habitait dans la quartier des tailleurs.
Ils s'y rendirent et trouvèrent rapidement la demeure de l'Osamodas.
Elle était peinte en mauve.
Ils y rentrèrent.
Mais personne.Juste un papier griffonné.
Il fallait recommencer les recherches à zéro.


Voilà
Désolé pour les répétitions, mais ce sont mes débuts.

Dans ce papier griffoné était marqué :

"
Chère Hairono, (soeur d'0sawa cf ici
Je quitte notre charmante demeure bontarienne pour m'installer à Sufokia, je t'ai inscrit mon adresse sur un papier.. envoie moi un tofu si quelque chose se passe
Osawa"

Voilà pourquoi ils avaient perdu la trace de l'osamodas...

[Södème]

Sufokia
C'était vraiment loin, très loin de Bonta,où leur dernière recherche les avaient amenés.
Ils passèrent chez le poissonnier,histoire de faire une réserve de nourriture.
Ils s'en allèrent alors vers la belle ville portuaire.
Ils repassèrent par le bois où ils avaient suivi "une chose".
Ils marchaient en file indienne.
Slysyd devant,Walkyries au centre et KarNaVal derrière.
Ils marchèrent longtemps.
Les arbres de part et d'autre du sentier se ressemblaient tous.
Noirs,noueux,froids,impressionnants,vieux.
Slysyd demanda un pichon frit à KarNaVal, qui avait les victuailles.
Personne ne répondit.
Derrière Slysyd ne se trouvaient que le noir profond et incertain de la foret.
Un rire machiavélique,identique à celui de la veille, retentit.
On avait l'impression que le rire venait de mille endroits à la fois.
Un rire fou.
Un craquement.
Les deux compagnons restants se retournèrent d'un coup.
Rien
Un sifflement puis une plainte.
Slysyd et Walkyries cherchèrent leur confrère, en vain.
Slysyd s'écroula.
Son ami,si fier,si gentil.
Il ne pouvait disparaître.
Il pleura.
L'homme avec qui il avait partagé tant d'aventures, ensembles pour le meilleur et pour le pire.
Il se résolu, à contrecoeur , de continuer vers Sufokia.
Une plaie qui ne se refermera sûrement jamais.

[Södème]

Un tunnel, long, sombre, il avançait.
Cela faisait longtemps qu'il marchait,sans rien voir autour de lui.
Juste un noir étouffant.
Il continue à avancer.
Tout d'un coup...
La chose svelte apparaît devant lui.
Il pris son bâton à deux mains.
KarNaVal n'était pas très assuré.
Cette chose n'était pas humaine, une aura sombre émanait de lui.
Une puissance fulgurante,démoniaque.
Il lança une ronce, mais l'homme n'y étais plus.
Derrière lui, un rire fou.
KarNaVal tomba,un son résonnait dans sa tête.
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Slysyd et Walkyries continuèrent leur chemin.
Ils étaient presque sortit de la foret sombre.
Ils attrapèrent deux sangliers,et les mangèrent.
Cependant,une chose tracassait Slysyd.
Ils avaient cherché partout sans la moindre trace ni odeur du Sadida.
La chose qui les poursuivaient était vraiment étrange.

Le lendemain, une brume épaisse mais sombre les recouvrait.
Planté devant le sac de victuailles, le Rod Gerse de KarNaVal.
Ils récupérèrent un peu d'espoir, cherchèrent aux alentours.
Mais rien.
Un rire machiavélique retentit,loin dans la brume,très loin.
Ils reprirent la route vers Sufokia.