Ces dernier temps, moi, Nuage, je passe beaucoup trop de temps dans les Terres Elfiques, celles si sont trop verdoyantes à mon goût, le Col Interdit... Hum ! Ce nom à fait naître en moi maintes ironies et traits d'esprits.
J'ai rejoint le Chaos il y a si longtemps. J'étais jeune quand l'émissaire du destin s'est présenté pour la première fois dans mon existence. Ce fut plus qu'une augure... Il s'est nourris de mon âme, petit à petit, m'offrant des faveurs de plus en plus puissante.
Un certain temps j'ai pris plaisir à aider mes compagnons. Je me souviens d'une amie Sorcière, une Elfe Noire pourtant, avec qui je m'étais liée, elle m'a alors encouragé à suivre la voie de la destruction, me permettant d'entrevoir l'ampleur de mes pouvoirs. Et mon culte devint de plus en plus sombre. Tzeentch est mon maître maintenant.
Mais il m'a fallu du temps pour oser combattre en son nom nos ennemis. En Nordland, les explosions de feu me faisaient frémir me poussant à courir en rond, encore et encore sur les plages de la garnison. Puis les Troll de Pierre... moi, Nuage, je déteste ces créatures ! Même si j'avoue que parfois nos alliés peaux-vertes savent nous les rendre utiles, je les détestent quand même.
Je me rappel de guerriers Nains et Elfes, mourant à petit feu à mes pieds, pendant que mes potions, sombres médecines et autres élixirs me préservait de la douleur.
J'aime faire souffrir et c'est surement ce goût pour la douleur qui me fait apprécier les gobelins et les supporter en tant qu'alliés. Mais ne vous y trompez pas, je n'aime que moi, tout le reste doit mourir à mes yeux. Moi, Nuage, je ne sais toujours pas pourquoi je ramène certains corps d'alliés sans vie parmi nous. C'est cette signification qui me manque encore.
Aujourd'hui, je peux enfin souiller le sol de tous les fronts, leurs ultimes parties me sont accessible. Je manque de créatures à faire mourir et les séries demandés semblent aujourd'hui m'amener bien loin des réponses que je cherche.
Moi, Nuage, le passage de vie à trépas et inversement d'outre-tombe au monde du vivant, que me procure cette sensation qui me ronge le ventre de la même façon ?
Quoi que votre cœur renferme, je veux toujours plus de ces être vivants, alliés comme ennemis, tout ce qui bouge, afin d'atteindre les sommets de mon arts, moi la petite passeuse.
A tous ceux qui aiment la douleur, je suis prête à vous rejoindre.
Edit : Nuage, Cultiste R30 - RR17
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