[srameu]

Bonjour à tous et à toutes. J'ai écris une histoire de sram et j'aimerais connaitre votre avis.

La fugue

C’était une belle journée ensoleillée, une belle journée pour partir à l’aventure. Leïa regardait le soleil, l’air pensif. Ses cheveux d’un noirs intense se baladaient sur ses épaules. En caressant sa peau les yeux fermés on aurait pu croire à du coton. La jeune sram habitait en Amakna .. Ses amis la surnommaient Dagua. C’est bien simple : On la surnommait ainsi car elle maniait parfaitement les dagues.
Depuis longtemps, elle s’était juré de partir pour astrub et mener sa propre vie en chassant le bouftou, puiser de l’eau quand il le fallait, apprendre son métier…Mais ce qui l’obsédait le plus, c’était de vaincre des monstres de plus en plus puissants car elle en avait assez de chasser les araknés de son grenier ou encore combattre des tofus insignifiants. Aujourd’hui, elle allait annoncer la nouvelle et ses parents et partir pour de bon.
-Non tu n’iras pas tu es trop jeune et trop fragile ! cria son père
-Mais père je…
-NON la réponse est NON !!
Leïa se tourna vers sa mère qui la dévisagea puis s’en y dans sa chambre.
La nuit elle se faufila discrètement dans le salon et, quand elle ouvrit la porte, sa mère la surprit.
-Ma fille tu me manquera. Prend ce pendentif, il te permettra de te concentrer d’avantage sur ta cible.
-Mère un jour je reviendrais !
Après un bref adieu elle s’enfonça dans la pénombre de la nuit et parti pour Astrub.
Le premier combat


Au petit matin, elle arriva en vue des murailles d’Astrub.
Tout à coup, elle se sentit observée. Elle sortit ses dagues et se mit en position d’attaque. Un bouftou surgit d’un buisson et la mordit à l’épaule. Elle poussa un juron et lui enfonça une dague en plein cœur et l’autre sur une des pattes inférieure. La bête n’eut pas le temps de souffrir, elle s’effondra lamentablement sur le sol. Elle récupéra un peu de laine et la plaqua sur sa plaie.
Astrub


Leïa franchit les portes d’Astrub. Elle observa la carte de la ville sur une pancarte et se décida à aller à l’hôtel de vente des bouchers car la jeune sram désirait manger. Elle prit une cuisse de bouftou et s’assit prés d’un arbre pour déguster son repas. Une fois rassasiée elle regarda une nouvelle fois la carte de la ville et prit pour décision de partir dans les champs d’astrub. Ces champs étaient réputés pour leurs fleurs voraces : des fleurs vivantes…Elle s’émerveilla a regarder tout ces marchands et tout ces aventuriers.
-C’est donc ça la ville…
La rencontre


Leïa arriva aux champs et vit une rose démoniaque et deux pissenlits diaboliques lui barrèrent la route. Elle courut vers l’un des pissenlits et le trancha en deux. La rose la piqua et la jeune sram fut empoisonnée. Au moment ou elle fonçait sur la rose un tournesol sauvage se leva et lui envoya une ronce dans les jambes. Leïa savait qu’elle ne pouvait plus gagner. Soudain, elle sentit ses blessures guérir. Ses plaies se refermèrent, son sang ne coula plus.
-Incroyable…murmura t-elle
Elle se retourna et vit une créature aux ailes blanches au teint beige et aux oreilles pointus telles que…
-Un enirispa ! s’exclama t’elle
-Pas le temps pour la parlotte ! Elles sont prêtes à bondir ! dit l’inconnu
Leïa se releva et, d’un geste de la main invoqua un piège devant la rose.
Le pissenlit se rua sur l’enirispa qui l’esquiva de justesse. La jeune sram ne pu aller l’aider car le tournesol s’avançait vers elle, préparant sa ronce. La rose s’avança elle aussi mais le piège lui explosa dessus. Leïa enfonça sa lame dans la bouche du tournesol et se retourna pour aider son mystérieux sauveur. Mais le pissenlit était déjà a terre.
-Qui est tu ? demanda t-elle
Présentations


-Je me nomme Kilia. Kilia l’enirispa.
-Et moi c’est Leïa. Leïa la sram.
-D’ou viens tu ? questionna Kilia
-Je viens d’Amakna. Et toi ? l’interrogea la jeune sram
-Je…je ne préfère pas en parler si cela ne t’ennuis pas…articula l’enirispa
-D’accord… et ou te rends-tu ? questionna Dagua
-Dans la foret d’Astrub.
La foret d’Astub regorgeait de sangliers et de prespics. Leïa admira le courage de sa sauveuse.
-Jamais tu ne pourra survivre toute seule dans une forêt aussi dangereuse !! Je t’accompagnerais et te protégerais au prix de ma vie comme tu l’a fais avec moi. Affirma Leïa
-Je te remercie de tout cœur !!!
-Encore une chose dit Leïa. Mes amis me nomment Dagua et tu es mon amie.
-Comprit retrancha Kilia.
La foret d’Astrub


-Quel silence ! fit remarquer Leïa
-Oui mais cela ne durera pas longtemps à mon avis. Je sens l’odeur d’un sanglier. répondit Kilia

L’enirispa n’avait pas tord car à quelques mètres plus loin se tenait un énorme sangliers aux défenses diaboliques.
Ses poils se dressèrent. Et, après un long rugissement, la bête chargea. Kilia l’évita de justesse. Dagua se rua sur lui et lui mit un coup de dagues. Mais elle n’avait réussit qu’a faire une entaille dans la défense du sanglier. L’ennemi chargea de nouveau mais Leïa fut plus rapide et lui enfonça sa dague en plein crâne. Le sanglier hurla de douleur et tomba à terre. Kilia acheva le sanglier en murmurant une incantation. Trois prespics firent leurs apparitions.
-Attention ! cria Kilia Il peuvent devenir invisible !
Une nouvelle fois, elle avait raison. Les prespics devinrent invisibles.
-Si tu crois que des guignols invisibles me font peur lança Leïa Tu te trompes !
Dagua prononça une formule et les prespics réapparurent.
Cela ne change rien ! lança Kilia. Jamais nous n’y arriverons…
A ce moment la, une flèche fendit les aires et vint se planter entre les deux yeux d’une des bête. Un crâ surgit d’un buisson et se mit en position de combat. Les deux prespics survivants, fous de rages, envoyèrent chacun une aiguille sur Leïa qui en évita une. L’autre se planta dans sa jambe gauche. Elle luta pour rester debout mais elle s’effondra dans l’herbe et sa tête heurta le sol. Elle perdit connaissance…
Un nouveau compagnon


Dagua se réveilla la tête lourde. Sans surprise, elle vit sa jambe intact. De toute évidence l’enirispa l’avait soignée.
-Enfin tu es réveillée ! Cela fait 3 heures que je te surveille. Prononça Kilia.
La jeune sram parvint à s’asseoir et remarqua que le crâ qui les avaient sauvées était assis sur la branche d’un chêne.
-Il se nomme Dheum. Il a combattu comme un diable et a tué les deux prespics. Il est au moins aussi fort que toi ! Nous lui devons la vie !!
Dheum sauta de son perchoir et salua Leïa :
-Enchanté
-De même répondit Leïa. Je te suis reconnaissante de nous avoir sauvé la vie et je t’en serais redevable.
-Il vient d’Incarnam.
-Installons notre campement proposa le crâ. La nuit ne va pas tarder.
-Bonne idée approuva Kilia.
Une fois le campement installé, Kilia et Dheum se couchèrent pendant que Leïa prit le premier tour de garde. Cela faisait deux fois qu’on lui sauvait la vie et en une journée…

Je suis en train d'écrire la suite... dois-je continuer?