Gueule de Bois

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Chapitre 1 : Késkejfoula

Cette nuit là, c'est une voix inconnue qui réveilla ce pandawa allongé dans la boue. Ouvrant les yeux, il se rendit vite compte où il était, dans un village qui ne lui disait rien. Il pleuvait et en se relevant, Ursid sentit moult douleurs en son corps. Face à lui, un Animal inconnu lui tendait la main :

- Que fais tu là l'ami ? Pense tu réellement que cet endroit face un bon lit ?

Ursid ne savait que répondre à cette étrange bête parlant presque la même langue que lui, cependant, il agrippa sa patte pour se relever. L’inconnu repris

- Tout le monde m’appelle Dekatz

Ce nom sonnait son oreille comme celui d’un héros de conte que lui avait compté ses amis.

- M… Moi c’est… Ursid…

- Que fais tu là ?

- Je …. Je sais plus…

- Aller, viens suis moi

Ils marchèrent quelques temps puis Dekatz le fit entrer dans une taverne. Ils s’assirent à une table retirée et commandèrent deux bières. Après quelques gorgées, Ursid, qui avait repris ses esprits, engagea la conversation :

- Je n’ai jamais vu tel pandawa que toi… Tu es poilu, certes, mais tu as les oreilles pointues et tu n’as pas la carrure d’un des nôtres… Qu’est tu donc ?

- Tu dois venir de loin toi dis donc…

- De Pandala…

- J’imagine… Je suis un Ecaflip, et tu verra, ici, nombre de races existent, regardes le barman…

- Il est bizarre aussi…

- C’est un Crâ reconvertit… Et vois tu l’homme jouant avec sa pierre dorée là bas ? C’est un Enutrof…

Après un moment de silence, Ursid s’intrigua :

- Combien existe-t-il de classes ainsi ?

- Douze…

Le silence se réinstalla.

- De quelle partie de Pandala viens tu ? Reprit le félin

- Feudala

- Ah ? Je connaissais quelqu’un là bas !

- Qui ça ?

- Dumble, un ami dont je n’ai plus de nouvelles, nous étions comme frères de poils avant qu’il ne se fasse attraper par les vils de Brâkmar ! Sentant la haine monter en lui, l’écaflip respira un grand coup et repris, j’ai eu beau essayer de le sortir des entrailles infernales de cette ville mais rien n’y a fait… Je n’ai jamais réussit… Peut être est il mort au moment ou je te parle… Un brave Pandawa… Comme on en fait plus !

Il baissa la tête pendant que Ursid avait l’air pensif…

- Mais c’est bien sûr ! s’écria t il.

- Qu’est ce qui est bien sûr ?

- Ami écamachin ! Ecoute moi bien, Je connais ton Dumble, il vit en campagne de mon village et passe son temps à boire ! Lui aurait été brave un jour alors que c’est son Minimino qui l’entretien ?

L’Ecaflip leva un sourcil de façon à montrer qu’un certain doute subsistait en lui mais Ursid qui venait de faire le rapprochement, comme si une bougie avait jaillit de son esprit, ne le remarqua pas. Puis lui, La personne avec qui il parlait, était le compagnon de route d’un pandawa démuni qui s’était installé en bordure de son village quelques mois avant son départ vers…

- Vers où, déjà ?

- Comment ?

- Vers où, pardi ?!

- Verrou ? Quoi Verrou ?

- Vers où je partais ?

- Vers De terre !

- Deux terres ?

- Bah je ne sais pas…

- Et moi je ne sais plus

- Raconte moi…

- J’étais à pandala… et là je partais… mais vers où ? Pourquoi ?

- Alors là ! Tu me poses une bave ! Sûrement Astrub comme tout les Noobs !

- Les quoi ?

- Les Noobs !

- C’est quoi ?

- Les nouveaux arrivant… J’sais pas vraiment d’où ça vient mais on les appelle ainsi à Astrub

- Donc je suis un « noub » ? Il appuya fortement sur ce dernier mot.

- Tout dépend depuis combien de temps tu est là

- Je sais pas

- Alors je ne peux pas t’aider mais je pense bien que tu en es un vu que tu ne connais rien !

- Et comment on fait pour plus l’être?

- Tu me payes une bière et je vais t’apprendre comment fonctionne le monde des sept. Quand tu sauras tout ça, tu ne seras tout de suite un peu moins Noob.

Alors que les deux compagnons discutaient du monde des septs, l’Enutrof les rejoint, la discussion se coupa aussitôt et les deux têtes se tournèrent vers lui :

- Quoi ? J’ai un pépite sur le nez ? Demanda le vieil homme d’un air arrogant

La coquille d’œuf qui ornait le crane de celui ci intriguait Ursid et son compagnon remarqua assez vite le regard étonné du Pandawa :

- Que veux tu Kali ? Demanda-t-il

- D’après ce que j’ai entendu, ton ami ne sait pas ce qu’il faut à Astrub et toi tu viens d’apprendre ou se trouve Dumble… J’imagine que vous allez partir vers pandala pour élucider ce mystère et prendre des nouvelles du poilu. Ainsi, je propose que vous vous joigniez à moi pour y aller.

- Toujours aussi égocentrique à ce que je vois

Ursid coupa la discussion :

- Le poilu ?

- Dumble ! réprimanda le vieux

- Soit alors partons ! Repris Dekatz

Ils partirent vers la porte quand une voix roque leur vint aux oreilles :

- Et les bibines ? Ché mi qui va les payer ?

Kali se retourna, regarda le barman et tout en lui lançant une petite bourse contenant une certaine somme, s’excusa :

- Excuse moi Le-Chmi, gardes la monnaie pour la peine !

- Pas d’problèmes eul’ Mayro, à bintot !

Puis enfin ils sortirent, et c’est après quelques pas que Ursid se tourna vers le barbu :

- Eulméro ?

- Le Mayro… C’est du patois d’astrub.

- c’est quoi un Mayro ?

- C’est mon nom de famille…

- Ah… Soit…
Tous les trois savaient que l'aventure pourrait mal se terminer, personne ne savait quelle réaction aurait l'ancien ami de l'écaflip et cela les mettait mal à l'aise. Cependant tous partirent dans la même direction : vers Pandala.





Chapitre 2 :
Bientôt
Chapitre 2 : A genoux face à la mort

"Oui, je sais j'ai été rapide à poster le second chapitre, mais il faut se dire que j'y bossais depuis un certain temps, je n'ai pas encore d'histoire pour le troisième donc il faudra être patient cette fois. Merci aux lecteurs. Ludiquement - Dumble"




Après quelques jours de marche, nos trois héros arrivèrent sur l’île de Pandala, aussitôt, Ursid se mis à genoux et écrasa son visage dans la terre :

- Pays ! Me voici ! s’écria-t-il.

- Relève toi patate ! Tout le monde nous regarde ! Lui souffla Kali, une goutte de sueur sur le front.

Ursid respira un grand coup et se mis debout comme lui avait sommé son compagnon de route.

Dekatz pris la parole :

- Combien de temps nous reste-t-il avant d’y arriver ?

- Quelques heures je pense, repris le pandawa

- Moi j’ai la dalle ! Si on se f'sait une fringale ? Suivit l’âgé

- Pourquoi pas…

Ils s’asseyèrent dans l’herbe verte et chacun ouvrit son sac et en sortit son repas. Après, une grosse demi heure, ils repartirent vers leur destination et ce n’est qu’en fin d’après midi qu’ils y arrivèrent.

- Je t’avais bien dis qu’on aurait du prendre le Zaap à l’entrée de Pandala… Je l’avais dit ! Grognait l’enutrof.

- Nous y voilà…

Une vieille maison écrasée ornait le paysage, le second étage semblait écroulé et le petit jardin s’était transformé en marécage. Dekatz s’avança et, poussant le petit portail en bois rongé par la pourriture, appela à la présence. Cependant, le taudis semblait vide, son occupant avait du mourir écrasé lors de la chute de la toiture. Le félin sortit sa dague et s’approcha lentement de la porte d’entrée pendant que ces deux compagnons le regardaient avancer la peur au ventre. Il posa la main sur la poignée, appuya dessus et ouvrit lentement la porte, l’espoir de trouver quelqu’un vivant là dedans diminua tellement qu’il lâcha son arme et faillit tomber à genoux : la charpente avait traversé les murs et sur sang séché recouvrait certaines parties du sol. Dekatz jeta un dernier regard derrière lui, Ursid remarqua de légères larmes aux yeux de l’ecaflip, puis celui-ci disparu dans la maison.

- Il pleurait, dit Kali

- J’ai vu… Lui répondit Ursid

- Crois tu que le poilu soit encore vivant ?

- Je ne sais pas…

Puis le silence se réinstalla.



Pendant ce temps, Dekatz avançait dans l’obscurité du bâtiment, regardant autour de lui mais jamais derrière un peu comme un mort avançant vers la pénombre finale, il semblait chercher quelque chose lui indiquant un signe de vie mais rien n’y fit. Enfin, il s’installa sur une vieille poutre face à un escalier qui, apparemment descendait à la cave, c’était son dernier espoir. Une larme glissa sur sa joue avant de s’écraser dans la poussière qu’offrait le sol et il se leva et s’avança vers la descente après avoir lancé un dernier regard, ce coup-ci, derrière lui en direction de sa dague restée au sol.

Les marches grinçaient sous ses pas, enfin il posa pied au sol. Il faisait sombre mais la lueur d’une bougie réveilla l’espoir ensevelit en son corps qui lui disait que son ami pouvait avoir survécu.

Ainsi il s’approcha doucement jusqu'à ce qu’une douleur atroce lui traverse le corps, une flèche venait de se planter dans son épaule, cela lui faisait si mal qu’il en tomba à genoux.

Une voix surgit dans son dos :

- Que fais tu là sale chien ?

- Dumble ?

- Peut être… Tourne toi que je vois ta sale tête de rat !

Dekatz se retourna et vit le pandawa assis dans l’ombre d’un recoin à côté de l’escalier

- Dumble…

- D’où connais tu mon nom charogne ?

- Dumble par les baloches du bouftou ! Je... Je suis... Dekatz !

- Dek ?! Mais que fais tu ici ?!!

- Je… Je…

La force venait à lui manquer et le félin s’écrasa au sol, immédiatement, Dumble appela et un Minimino arriva.



De dehors Ursid et Kali avaient entendu un cri dont il ne connaissaient pas l’origine, tel un appel au secours, ils décidèrent donc de rentrer plus au moins discrètement à la recherche de leur ami, ils savaient que quelque chose n’allait pas correctement.

En arrivant dans les escalier ils virent Dekatz appuyé contre un mur, une bestiole lui mettant un bandage à l’épaule.

- Que s’est il passé ?! s’écria Ursid

- Ne t’inquiète pas, il a pris une flèche soporifique…

Ils se retournèrent et eurent la même vision que le félin lors de ces dernières minutes

- Dumble ! Kali venait de comprendre

- Mayro ? Mais décidément c’est réunion de tubes longiforme !

- Comment va tu ?

- ça va, tiens ! Aides moi à aller dans mon fauteuil

Mais en s’approchant l’énutrof se rendit vite compte qu’il manquait une partie de son corps au rescapé de Brâkmar : ses jambes. Elles étaient coupées au niveau des rotules et en l’aidant, il remarqua également les roues de bois que comportait son fauteuil.

- Que t’est il arrivé ?

- Brâkmar est sanglant et plein de haine…La torture ne m’a fait rien dire mais m’a fait souffrir…

- Quelle force interieure pour n'avoir rien dit, la voix d’Ursid, resté jusqu'à présent muet se faisait entendre au loin.

- Non, si je n’ai rien dit c’est parc’que je ne savait rien ! Ecoutez moi, j’ai un service à vous demander, je n’ai pas vu la lumière du jour depuis plusieurs mois et c’est grâce à mon minimino, qui m’a nourrit e apporté de l’eau de pluie, que j’ai réussit à survivre…

- Tu voudrais qu’on t’emmène avec nous ?

- Non, je voudrais me balader… son regard se tourna vers son ami allongé au sol, une bande à l’épaule. Enfin… quand il sera réveillé… Ceci dit camarade bicolore, Comment t’appelle tu ?

- Ursid…

- Enchanté, tu as fait le bon choix de camp, Dekatz est un très bon tuteur et il fera de ton éducation une réussite.

- Mais…

- Ne t’inquiète pas, il est plus tout jeune mais il a la sagesse qu’il possède est forte.



Enfin au bout de quelques heures, Dumble redécouvrit la nature et se rendit compte que son habitation était réellement en piteux état. Nos compagnons apprendront bientôt qu’il s’etait retrouvé bloqué dans sa cave lors d’une attaque de Brâkmariens dans le village, c’est d’ailleurs pour cela qu’il s’était armé d’un arc et qu’il tirait sur n’importe qui pouvant entrer dans son « domicile ».
Chapitre 3 : Khrou

Ce matin là, Dumble sortit de la maison que Dekatz et Ursid retapaient aidés du Minimino pendant que Kali profitait pleinement de l’air de Pandala. Dekatz regarda son vieil ami :
- Alors Dum’, enfin réveillé ?
- Pense tu l’ami, quel bonheur de dormis sur un matelas de paille ! Cependant Dekz’, cette nuit je t’ai entendu parler…
Ursid tourna la tête violemment dans la direction de son congénère et lui coupe la parole :
- Khrou !
- Tu l’as entendu aussi jeune Pandawa ?
- Qui est ce ?
- Expliques lui, repris Dekatz descendant de sa petite échelle de bambou
- Khrou-An de son vrai nom…
Dekatz disparu tête basse dans la petite maison.
- Qui était ce ?
- un jour une écaflipette du nom de Krya a fait chavirer le cœur de notre ami… ils étaient heureux et, ensembles, eurent une fille du nom de Khrou-An. Ceci dit, un jour lors d’une bête promenade, ils se sont fait tombés dessus par des sérianes…
- Des sérianes ?
- Oui, des chasseurs de primes…
- Que c’est il passé ?
- Dans ce cas là, il n’y a qu’une seule chose à faire… tenter de se défendre.
- Dekatz combattu durant plusieurs heures avec eux mais un coup porté à la tête l’assomma. En se réveillant il retrouvait Krya transpercée par de multiples lances… Morte sur le coup il parait…
- Et Khrou-An ?
- On n’a jamais su… Elle était encore enfant à ce moment là mais si elle vit encore aujourd’hui elle doit avoir à peu près ton age…
Le silence persista plusieurs minutes après cette phrase et ce fût les cris immondes de Kali qui revenait en courant vers la maison qui le brisa.
- Vindéguét’ !! Diantre !! P’tin les gars !!!
Les deux Pandawa le regardèrent étonnés avant que Dumble lui demande :
- Qu’as-tu encore fait ou trouvé papy ?
- Un Xélor !! Y’avait un Xélor !!
- Il y en a parfois par ici…
- Oui mais pas un normal… moi j’ai l’œil pour ça !
- C'est-à-dire ?
- Ses ailes ! Il n’avait pas d’ailes d’ange comme nous !
- Un Brâkmarien ?
- Pire…
- Par la choppe de Pandala !
Dekatz sortit de la baraque, courbé de haine, son épée à la main et sans regarder ses confrères marmonna :
- Je vais enfin régler mes comptes !
- Les Sérianes, demanda discrètement Ursid à Dumble.
- ça y ressemble, répondit-t-il…
A la suite de cette réponse, Dumble reçu une flèche dans l’épaule et s’écroula au sol. Dekatz leva son épée alors que Kali sortit sa petite dague. Face à eux, une Crâ baissait son arc, derrière elle le Xélor que Kali avait vu accompagné d’une jeune et frêle Eniripsa.
Les ailes de bois de ce petit papillon semblaient d’ailleurs la gêner de par leur poids, bien qu’elles soient bien plus petites que celles de ses accompagnateurs. Les trois Sérianes s’avancèrent vers la petite maison et la Crâ engagea la conversation :
- Salut bande d’inaptes ! On vient cherche le vieux pandawa.

A ce moment précis la lame que tenait fermement Dekatz dans sa main depuis quelques longues minutes s’abattit sur la nuque de l’arrogante jeune fille, sa tête rebondit sur le sol avant de s’arrêter à quelques mètres de son corps.
- Non ! Par le sablier de Xélor ! Qu’est ce qu’on va encore dire au chef ?!
- Rien étant donné que tu vas mourir aussi, lui répondit Dekatz
- Mmh… Lenie ? Tu peux faire quelque chose pour la Crâ ?
- Si tu me donnes une ficelle de lin et une aiguille évidement, répondit la petite fée se trouvant à coté de lui.
- Parfait !
- Mais tu me prends pour qui ?! Un mort ça se soigne pas !
Dekatz écoutant la conversation sentait ses nerfs bouillirent, il lança ainsi rapidement son épée vers le Xélor l’esquiva aisément.
- Tu dois être puissant écaflip… Comment t’appelles tu ?
- Qu’est c’que ça peut te faire ? Je t’ai demandé le tiens de nom ?
- Woarius… Je me nomme Woarius… Et toi ?
- Dekatz…
- Par les baloches du bouftou !
L’éniripsa demanda alors :
- Tu penses qu’il ment ?
- Non mon amie…
- Alors ça veut dire que… Elle ne pouvait pas terminer sa phrase mais on remarquait fortement la peur apparaissant dans ses yeux
- Lenie, soigne le pandawa… qui se nomme Dumble et non Vieldrak
L’éniripsa s’approchant de Dumble et se pencha sur lui commençant à parler une langue inconnue. Pendant ce temps, le Woarius posa un genou au sol et enlevant son long chapeau repris :
- Pardonne nous l’ami mais nous nous sommes trompé de cible.
- Vous avez une dette envers moi…
- Tu as tué notre amie, elle devrait être payé ta dette ! Juste pour nous être trompé de victime ça fait gros quand même !
- Je ne parle pas de ça…
- Et de quoi alors ?
- Vous avez tué ma femme et ma fille…
- Tu permets ?
Le Xélor s’éloigna à quelques dizaines de mètres et s’assit dans l’herbe verte. Quelques secondes plus tard, Dumble était debout, En effet l’éniripsa avait profité qu’elle le soignait pour lui rendre des jambes ainsi qu'une certaine utilité mais personne de dit rien mais Dekatz sourit à son ami de longue date puis au papillon soigneur qui venait de rendre ses membres au pandawa.
Ursid et Kali, eux, étaient restés en retrait mais désormais, tous regardais dans la même direction : le Xélor semblant prier en direction du second continent…
Chapitre 3 : Khrou (Suite et fin)

Ce fût après de longues minutes que le Xélor se releva et revint vers le groupe :
- Bon… Les autorités Sérianes m’ont donné le droit de te donner quelques infos, dit il. Nous avons beau être sans sentiments, nous sommes dans l’obligation de nous excuser lors qu’une bavure comme ici. C’est les lois de notre clan. Ainsi je peux te dire que, certes, nous avons tué Krya sous clause d’un contrat mais surtout que ta fille serait toujours en vie.
Les yeux de Dekatz s’emplirent d’espoir :
- Où ? demanda t il.
- Chez Nérael, un vieil Osamodas qui l’aurait gardé pour faire les sales boulots chez lui
- Elle serait ainsi demoiselle de ménage ?
- Possible ou peut être pire…
- Ou se trouve t il ?
- D’après mes supérieurs, il serait sur la presqu’île des dragoeufs…
Kali, sursauta :
- Oh ! Chic chic ! Des dragoeufs !
- Calme toi papy, répliqua Dekatz
- Pardi ! Ma coiffe commençait à se fendre, je vais enfin pouvoir la changer !
- Une chose est sûre, en cas de besoin n’hésitez pas à me contacter par télépathie, Repris Woarius.
- Qu’il en soit ainsi, nous partons au plus vite, répondit Dekatz.
- Soit ! Bonne route dans ce cas et à bientôt, une chose me dit que l’on aura à se revoir.
- En amis j’espère !
- Espérons le.
Et Les deux sérianes repartirent traînant derrière eux le corps de leur ancienne collègue Crâ pendant que les quatre amis les regardaient disparaître au lointain, soudain Dumble s’exprima :
- Vous partirez demain à la première heure, je connais un zaap pas loin.
- Tu ne viens pas avec nous ? demanda l’Ecaflip.
- Non, me voila rétabli et j’ai encore du travail ici. La puissance de cette Eniripsa doit être immense mais je vais tout de même me reposer quelques temps.
- Bien, dans ce cas nous partirons demain à l’aube.
La soirée venue, La vieux pandawa expliqua à son ami félin comment rejoindre le premier zaap, pendant ce temps Ursid et Kali se reposaient, sachant que le lendemain, une longue journée les attendrait...
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