Chapitre VI :
Cerise, maintenant, du haut de ses 16 ans, comprenait la vie. Il fallait maintenant retrouver son frère avec sa sœur et son mari, qu’elle avait pardonnée. Ses grands parents n’étaient peut-être pas morts pensait-elle. Ils allèrent ensuite jusqu'à Brâckmar où ils virent une très vieille Enutrof pleine de coups de pelle dans le ventre et dans la tête, une grosse cicatrice, portant le même pendentif que Cerise. La vieille dame était avec un vieil homme, Enutrof aussi, muni de la pelle avait laquelle il avait ans doute frappé la vieille dame. Magenta coura auprès de sa grand-mère, pour la protéger.
-« Cerise… » avait dit doucement la vieille dame
-« Ma petite fille. Suis ma voie, celle du bien, regarde ton grand père, ta famille s’est brisée, Cerise… »
C’est alors qu’elle reconnut ses grands parents et son grand père sauta alors dans les bras de sa petite Sadida, abandonna le mal. Il soigna sa femme avec un petit bout de bon pain chaud. Il était boulanger.
Chapitre VII :
Ils étaient désormais 6 : Cerise, son mari, Magenta et son mari, et ses grands parents. Tous devinrent Bontariens. Ils partirent ensuite à la recherche de leur frère. Et là, au coin des enfers de Sidmote elle croisa…Ses parents, ceux qui l’avaient adoptée. Papa, Maman…Ils la prirent dans ses bras et demandèrent de rentrer à la maison. Mais Cerise leur expliqua et demanda alors de les aider à retrouver son frère. Après 3 ans de recherche, toujours rien. Ils étaient toujours aussi soudés les uns des autres. Mais Magune était gravement malade, et Enugam au bord de la mort. La jeune Sadida avait alors 19 ans, elle savait beaucoup de choses, et même ces sangliers agressifs ne lui faisaient plus peur. Elle recherchait toujours son frère. Elle parcourait tous les temples, toutes les villes, Brâckmar, Bonta, mais rien. Toujours rien. Et ce soir la, un soir d’Automne, Magune allait mourir. Tous étaient là, devant elle, une larme à l’œil, priant pour ne pas qu’elle meurt. Lorsque Cerise vit une ombre, oui une ombre, très petite mais plutôt terrifiante. Un petit être couvert de bandelettes et muni d’un chapeau rouge, de grandes ailes Brâckmariennes et un énorme bouclier de flammes. Un petit homme serrant dans sa main une étrange amulette si familière à Cerise…
-« Frère ! » criait Cerise de multiples fois, sans réponse.
Et lorsque l’homme sortit de son ombre, on aperçu à travers son bandage un regard malsain et rempli de terreur et de rage.
-« Frère… » continuait Cerise, toujours sans réponse. Et à ce moment précis ou Cerise voulu lui sauter dans les bras, il arrêta le temps pour combattre seul avec Cerise. Ils commencèrent alors un grand combat…
Chapitre VIII :
Il n’arrêtait plus d’envoyer des sabliers tranchants, et quant à elle, elle le ligotait de ronces et de larmes noyant l’esprit de son fère. Après un long combat acharné, le Xelor était vaincu. Ces ailes se désintègrent alors pour faire place à de grandes ailes angéliques. Il avait sombré dans le mal pour sa sœur, pour la venger. Mais maintenant, ils étaient de nouveau regroupés. Mais il manquait ses parents. Frosit, ce frère protecteur aurait bien changé le temps pour son histoire personnelle, mais ceci allait contre la volonté de son dieu. La vieille dame était encore près de la mort. Et dans son dérnier souffle, elle pronaonça ces derniers morts :*
-« Rendez le bonheur de cette charmante jeune fille, je vous en supplie… »
Et c’est ainsi que son corps laissa place à la silhouette de ses parents. Ses parents…étaient là, près d’elle. Enfin une vrai famille, car la jeune mère Eniripsa, avec son mot de résurrection, fit revenir mamie a la vie, et soigna papi de ses blessures. C’est ainsi que la famille se retrouvait, autour de leur jeune fille, bien changée…
The End
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