Destin d'une jeune fille perdue...

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Un jour de beaux éclairs aussi étincelants que terrifiants en la province d’Amakna, était né un beau bébé, en pleurs, aux côtés de tout sa petite famille, y compris ses frères et sœurs. Un bébé Sadida, ou plutôt, une petite fille Sadida, ainsi appelée Cerise pour sa chevelure rougeoyante, son doux teint blanc avec lequel se tenaient de petites joues rosâtres et une petite bouche pleine de beauté. Une naissance attendue puisque ses deux parents, un grand Ecaflip d’une bonne grande taille et dégageant une terrible force, et une jeune Fécatte petite mais charmante, au même teint frais que la nouvelle née. In n’ut pas de plus beau jour pour cette famille, sauf que…



Chapitre I :



Le soir de la naissance d’un adorable bébé Sadida, il y eu un terrible massacre en la province d’Amakna, et beaucoup de gens ont péri, y compris les parents de la « nouvelle née » sous les yeux de son frère, un jeune Xelor, désespéré. Sa sœur, une jeune Crâ avait disparu comme bon nombre des habitants. Et le jeune Xelor, aurait bien essayé de remonter le temps pour sauver sa petite famille, mais n’étant pas assez expérimenté, il avait préféré quitter le village en emmenant Magune, sa Grand-mère Fécatte, et Enugam, son Grand Père Enutrof. Il s’était rendu au temple de sa classe, son dieu, pour prier afin de retrouver un jour sa petite famille au complet. Mais il pensa à une chose terrible d’un coup ; à cause du choc, il n’avait pas emporté sa petite sœur ! C’est ainsi qu’il partit à sa recherche à travers les flammes et les dangers devenus presque inévitables. Et une fois arrivé dans sa maison en ruines, il se rendit conte qu’elle n’était plus là…



Chapitre II :



Cerise avait était recueillie par un jeune Sacrieur et son épouse, une belle Eniripsa qu’elle appellerait désormais Papa et Maman. Cerise grandissait et le reste de sa famille perdait espoir. Elle avait aujourd’hui 11 ans. Comme tous les jours, elle se rendait au temple Sadida, ou elle apprenait tout d’abord les techniques de base. Elle savait déjà maîtriser la ronce, un petit peu le maniement du bâton, et savait invoquer une poupée Folle, mais n’était en aucun cas le meilleure de son clan. Comme tous les soirs, avant le déjeuner, elle allait chasser du Tofus qu’on aimait tant faire rôtir et parsemer de plumes de Piou vert, préférable pour la cuisson. Mais un jour, elle demanda à sas « parents » pourquoi avait-elle l’impression qu’ils lui cachaient quelque chose. Et les parents lui ont alors expliqué son histoire…
Chapitre III :



C’est alors que la jeune Sadida voulu partir à la recherche de ses parents, refonder une nouvelle famille, comme tous ses amis, quoi. Mais elle n’était pas prête à résister aux dangers qui se baladent dans cette province. Et c’est alors qu’un soir, comme d’habitude allant chasser le Tofu, elle s’enfuit vers la forêt des Abraknydes… Elle se retrouva face à une Arakne Agressive, qu’elle n’avait jamais eu l’occasion de combattre. Elle utilisa tout son savoir et sa volonté pour arriver à la victoire. Et elle y arriva. Mais chez elle, on commençait à s’inquiéter, car à cette heure ci, Cerise était toujours rentrée. Les deux « faux parents » allèrent à la recherche de leur petite protégée. Ils la découvrirent assise au bord d’un grand arbre, en pleurs, la tête plongée dans ses bras pleins de sang, tenant à la main une Amulette de sa famille : elle le savait puisqu’elle avait la même autour du cou. Riagon, le Sacrieur, essayait de la consoler, mais ne pu rien y changer, elle voulait rester en forêt et venger sa famille. Elle les croyait tous morts.



Chapitre IV :



Le lendemain, elle était plutôt joyeuse, elle parcourait la province si paisible en chantonnant, en sautillant. Elle aborda alors un jeune homme ; un Sram imposant de par sa taille, et de son regard mal sain mais que Cerise ne craignait pas. Elle lui donna son prénom et le jeune Sram lui répondit par l’ombre d’un sourire. Il l’invita dans son tempe pour la réchauffer un peu, la nuit tombée, et lui dit ensuite qu’il la protègerait toujours désormais. Elle le questionna longuement sur sa famille, si il la connaissait, et lorsqu’il lui répondit qu’il connaissait son frère, elle ne put s’empêcher de l’embrasser pour lui prouver son amour pour lui. Après s’être mariée le lendemain, elle partit aussitôt au temple des Crâs, espérant retrouver son frère. Mais elle ne vit personne. Si, une chambre au nom de Chriz, ce nom gravé sur l’arbre de la forêt contre lequel elle était en sanglots. Peu être son frère…



Chapitre V :



Elle se rendit dans les landes de Sidmote, au bout de cinq années d’entraînement, pour ainsi retrouver son frère. Bien sur, Zraan, son mari, l’accompagnait. Lorsqu’un ange les aborda en leur demandant ce qu’ils faisaient ici. Il agressa alors le jeune Sram et Cerise comprit qu’il était du mal, elle avait pourtant choisit la voie Bontarienne. Elle partit alors en courant se perdant dans ce chemin sans fin, cet enfer sans issue. Elle remarqua alors un jeune Crâ qui cachait son visage avec une capuche noire armé de ses flèches en argent. Il se retourna vers Cerise et tira une flèche enflammée. Cerise esquiva et tenta de discuter avec lui. Le Crâ s’arrêta alors dans son élan et s’excusa. Ils racontèrent chacun leurs histoires. Et le jeune Crâ, d’un coup, laissa une larme couler sur son visage cicatrisé, et avait compris qui était-ce. La sœur de sa femme. Oui. La jeune Cerise était bien la sœur de Magenta, la jeune fille éloignée de sa famille ayant disparue. Les deux jeunes sœurs se retrouvèrent ensuite aussi joyeuses l’une que l’autre. Elles discutèrent longuement de leur frère et Magenta lui expliqua qu’il avait choisi le mal. Et son mari aussi, tout comme Cerise, mais qui ne changerait rien à son amour.
Chapitre VI :



Cerise, maintenant, du haut de ses 16 ans, comprenait la vie. Il fallait maintenant retrouver son frère avec sa sœur et son mari, qu’elle avait pardonnée. Ses grands parents n’étaient peut-être pas morts pensait-elle. Ils allèrent ensuite jusqu'à Brâckmar où ils virent une très vieille Enutrof pleine de coups de pelle dans le ventre et dans la tête, une grosse cicatrice, portant le même pendentif que Cerise. La vieille dame était avec un vieil homme, Enutrof aussi, muni de la pelle avait laquelle il avait ans doute frappé la vieille dame. Magenta coura auprès de sa grand-mère, pour la protéger.

-« Cerise… » avait dit doucement la vieille dame

-« Ma petite fille. Suis ma voie, celle du bien, regarde ton grand père, ta famille s’est brisée, Cerise… »

C’est alors qu’elle reconnut ses grands parents et son grand père sauta alors dans les bras de sa petite Sadida, abandonna le mal. Il soigna sa femme avec un petit bout de bon pain chaud. Il était boulanger.



Chapitre VII :



Ils étaient désormais 6 : Cerise, son mari, Magenta et son mari, et ses grands parents. Tous devinrent Bontariens. Ils partirent ensuite à la recherche de leur frère. Et là, au coin des enfers de Sidmote elle croisa…Ses parents, ceux qui l’avaient adoptée. Papa, Maman…Ils la prirent dans ses bras et demandèrent de rentrer à la maison. Mais Cerise leur expliqua et demanda alors de les aider à retrouver son frère. Après 3 ans de recherche, toujours rien. Ils étaient toujours aussi soudés les uns des autres. Mais Magune était gravement malade, et Enugam au bord de la mort. La jeune Sadida avait alors 19 ans, elle savait beaucoup de choses, et même ces sangliers agressifs ne lui faisaient plus peur. Elle recherchait toujours son frère. Elle parcourait tous les temples, toutes les villes, Brâckmar, Bonta, mais rien. Toujours rien. Et ce soir la, un soir d’Automne, Magune allait mourir. Tous étaient là, devant elle, une larme à l’œil, priant pour ne pas qu’elle meurt. Lorsque Cerise vit une ombre, oui une ombre, très petite mais plutôt terrifiante. Un petit être couvert de bandelettes et muni d’un chapeau rouge, de grandes ailes Brâckmariennes et un énorme bouclier de flammes. Un petit homme serrant dans sa main une étrange amulette si familière à Cerise…

-« Frère ! » criait Cerise de multiples fois, sans réponse.

Et lorsque l’homme sortit de son ombre, on aperçu à travers son bandage un regard malsain et rempli de terreur et de rage.

-« Frère… » continuait Cerise, toujours sans réponse. Et à ce moment précis ou Cerise voulu lui sauter dans les bras, il arrêta le temps pour combattre seul avec Cerise. Ils commencèrent alors un grand combat…



Chapitre VIII :



Il n’arrêtait plus d’envoyer des sabliers tranchants, et quant à elle, elle le ligotait de ronces et de larmes noyant l’esprit de son fère. Après un long combat acharné, le Xelor était vaincu. Ces ailes se désintègrent alors pour faire place à de grandes ailes angéliques. Il avait sombré dans le mal pour sa sœur, pour la venger. Mais maintenant, ils étaient de nouveau regroupés. Mais il manquait ses parents. Frosit, ce frère protecteur aurait bien changé le temps pour son histoire personnelle, mais ceci allait contre la volonté de son dieu. La vieille dame était encore près de la mort. Et dans son dérnier souffle, elle pronaonça ces derniers morts :*

-« Rendez le bonheur de cette charmante jeune fille, je vous en supplie… »

Et c’est ainsi que son corps laissa place à la silhouette de ses parents. Ses parents…étaient là, près d’elle. Enfin une vrai famille, car la jeune mère Eniripsa, avec son mot de résurrection, fit revenir mamie a la vie, et soigna papi de ses blessures. C’est ainsi que la famille se retrouvait, autour de leur jeune fille, bien changée…



The End
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