Chronique d'un immortel

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préface

Le dos contre un rocher, le regard perdue au loin, Borion observait pensivement le combat qui s'éternisait au bas de la falaise. "Sophie, pense tu toujours que nous avons fait le bon choix?" questionna t'il. Une jeune elfe de sang lui lança un regard interrogateur, mais sans réelle surprise. "la lumière est très mal vue par nos .... allié, et notre vision des choses n'est pas partagé par tout le monde" continua-il. Elle lui répondit d'une voix neutre et las "nul ne connait le vrai but de dame sylvana la réprouvée ou de nos dirigeants actuelles, mais les ordres sont les ordres". "Bien, marmonnât-il d'une voix presque inaudible, tant que nous somme ensemble sa me convient". Il s'avança un peu, ramassa sont épée qui gisait entre les épaules d'un éclaireur humain, le long de ses poignets, il sentit la colonne vertébrale de sa victime résister un peu puis un craquement quand il dégagea sont arme.

Tournant le dos au champ de bataille, d'un pas lent mais sure, ils se dirigeaient tous les deux vers un petit chemin qui descendait le long de la montagne. à quelque mètre en contrebas, ils pouvaient entendre une voix grave crier des ordres. C'était un orc, un magnifique spécimen, de deux mètres de haut, tout en muscle, il portait une énorme hache dans sa main droite, et un épée bâtarde dans l'autre. à voir les cicatrices qui marquaient sont visage, ce n'était pas la sa première bataille. Maintenant arrivé en bas, Borion, les lèvres à demi fermés commença à incanter une prière pour donner du courage aux nombreux combattant de la hordes qui attendaient pour aller se battre. Il vit les main tremblante d'excitation de sophie tirer sont arc accroché en bandoulière et encocher une flèche. dans quelques instant, les sbires de l'alliance enfonceraient les dernière défense de ce bastion encastré dans la falaise. comment tout cela avait commencé? Borion soupirait, la vengeance, le meurtre, la haine, tout lui revenait en mémoire. Tous cela par la faute d'une femme ....

(cette mise en page vous convient mieux?)
La fille, le chevalier et la brute

Ses petites oreilles pointues, dressées au vent, les yeux fermés, Borion respirait l'air pure des montagnes avoisinantes. perché du haut de sont arbres, il avait une impression de puissance. Du haut de ses 8 ans, le jeune elfe préférait la solitude aux jeux turbulents de ses congénères. Perdue dans ses pensée, il fût tiré de sa douce léthargie par des rire et des cris se rapprochant. Ouvrant ses grand yeux émeraude, il aperçut au loin une bande d'enfant de sont âge courir après une jeune fille un peu plus jeune.

De son promontoire, il pus apercevoir la chevelure dorée de l'intéressé, puis comme elle se rapprochait, son regard paniqué croisa le sien impassible. A environ 3 pieds de l'arbre elle tombât à genou, rapidement rattrapée par ses poursuivants. Ceux-ci firent un cercle d'elle, railla de leur voix infantile. Un jeune garçon, le fils du forgeron du village pensa Borion pour lui, s'avança d'un pas en tendant les mains "donne le nous" ordonna t'il tout en lui attrapant l'avant bras. C'est à ce moment la que l'observateur vit qu'elle serrait quelque chose contre sont coeur, hochant obstinément la tête. Sautant de sa branche avec l'agilité dût à sa race, Borion se retrouva entre le fils du forgeron et la jeune femme; les bras croisés et le regard noir, il fixa son adversaire. Celui-ci, surpris dans un premier temps, se mis à rire, prenant à partie le reste de sa troupe "voila le chevalier servant de cette dame" dit t'il d'un ton impérieux et moqueur. puis il tourna les talons et fit signe aux autres de le suivre. Personne dans le village n'aurait eu la bêtise de s'attaquer au fils du grand guerrier Ilomnis.

Une fois les gamins éloignés, Borion ce retourna vert la charmante demoiselle, de plus prêt, il la reconnut, c'était la fille du boulanger, la petite Sophie, elle avait bien grandit décidément, et faisait un peu plus que ses 6 ans. "Merci" réussit t'elle à fredonner entre deux tremblements, puis elle desserra son étreinte, et laissa apparaître le visage de ce que Borion prix au première abord pour un gros chat.
Original, j'aime bien bien qu'il y ait quelques imperfections faciles à corriger (aérer le texte comme l'a dit eldi, corriger quelques fautes d'ortographe, et juste un détail, les Elfes en général n'ont pas la même vitesse de croissance psychologique que les Humains donc je ne pense pas qu'à 6-8 ans, ils puissent réagir de même que les Humains.

Mais sinon, je trouve que c'est un bon début !
Citation :
Publié par Baron
les Elfes en général n'ont pas la même vitesse de croissance psychologique que les Humains
euh pourquoi ca? c'est pas parceque tu vis plus longtemps que tu prend de la maturité plus lentement hein^^
Citation :
Publié par Cherry's
euh pourquoi ca? c'est pas parceque tu vis plus longtemps que tu prend de la maturité plus lentement hein^^
Dans D&D, c'est le cas. La majorité est atteinte vers l'âge de 120 ans pour les Elfes. Ils sont considérés comme enfant jusqu'à l'âge de 30 ans, et adolescents vers 60 ans il me semble.
Tout vient de la perception du temps en fait. En tant qu'humain, on a notre perception du temps, et toutes nos activités sont réglées en fonction de cela. Pour les elfes, considère qu'ils prennent plus leur temps.
ouais ok mais ca c'est dans D&D, quand on voit comment agit shandris dans la guerre des anciens, alors qu'elle n'as d'après ma mémoire qu'une dixaine d'année...

la maturité physique, ok, je peux etre d'accord sur le fait qu'un elf aura fini de se développer physiquement plus tard qu'un humain. mais la maturité psychologique se fait a travers les expériences, et dans un meme temps donné, un humain aura autant d'expérience de la vie qu'un elf.
Citation :
Publié par Cherry's
la maturité psychologique se fait a travers les expériences, et dans un meme temps donné, un humain aura autant d'expérience de la vie qu'un elf.
Justement, je suis pas certain.
D'une part, la maturité psychologique se fait parallèlement à la maturité physique dans les premiers temps (développement psychomoteur).
D'autre part, comme je l'ai déjà dit, les Elfes ont une vision du temps différente de celle des Humains. Ainsi, ils prennent beaucou plus de temps à faire toutes ces même expériences et ca explique une maturité psychologique plus tardive.
pour clore votre discussion mes amis, je précise que cette "erreur" de ma part ne sera pas corrigée, car imaginer une femme de 20 ans courir avec un gros chat dans les main et un enfant de 6 ans faire la même chose n'a pas le même impact, sur ceux, permettez que je retourne à mon écritoire
La rencontre

Tounant le dos à cet étrange tandem, Borion commença à se diriger vers le village, mais un petite main retient la sienne. La jeune fille tenait maladroitement de son avant bras gauche une petite créature ressemblant à une grosse peluche blanche et de l'autre le poignet du fils du guerrier. Se mettant sur la pointe des pieds, la jeune demoiselle l'embrassa sur la joue. Le jeune elfe sentit le sang lui remonter jusqu'à la pointe des oreille, et une douce chaleur lui marteler le ventre, un grand sentiment de fierté l'envahie. Il aurait voulut courir en sautillant dans les champ, mais la petite main le retenait toujours, et de grands yeux opales le fixait, l'air de dire "et maintenant". Borion, un sourire sur les lèvres redescendit doucement vers le village, avec la jeune fille et le chaton, deux mots en tête qui se répercutaient inlassablement : Chevalier servant.

Les années passèrent et les villageois, la surprise passé de voir le garçon solitaire toujours accompagné de la fille timide ainsi que d'un gros chat qui avait de plus en plus tendance à ressembler à un tigre, prirent ceci avec une pointe d'humour. Quand ils passaient, tous le monde les appelaient le petit couple. A chaque fois, même si il n'en disait rien, le jeune "Chevalier" se sentait fière.

Quand il eu 20 ans, Borion était devenu un elfe dans toute sa splendeur, les épaules un peu carrés mais pas trop, de grand yeux verts, et une musculature à en faire pâlir un tauren. La jeune demoiselle, elle était devenue femme, mais continuait de suivre le garçon de partout. Ce manège aurait pus durer éternellement, si seulement, oui si seulement ...
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