Cela fait longtemps que je n'ai pas écrit, alors désolé d'avance si le style est mauvais ^^' (et pour les fautes aussi). Pour ce qui est de vos impressions, si vous en avez le droit, vous pouvez directement répondre sur ce topic. D'avance merci pour votre attention.
Spiritua
Mémoires D’une Fécaette
Chapitre I : Prologue
Une jeune Fécaette d’un âge inconnu –ne jamais demander son âge à une Dame, ceci est fort impoli- est adossée à une statue de phénix. Elle contemple ces montagnes de feu qui domine Pandala Feu, de toute la hauteur de leurs roches rouges. Et sent la puanteur des créateurs qui y règnent en maîtres. De grands renards à la fourrure rousse, presque rouge, comme les montagnes où ils vivent.
Ce ne sont pas ces animaux qui l’ont tuée, séparant ainsi son âme de son corps. Mais un Ecaflip, qui, par un coup du destin l’a abattue, telle une jolie gazelle –qu’elle est, d’ailleurs- pourchassée par un lion (Bien évidemment, ceci n’est qu’une image, les lions de chassent pas, c’est bien connu), après plusieurs minutes de traque.
Ce coup du destin –d’Ecaflip, faudrait-il préciser-, donc, a fait germer en elle une étrange idée. Celle d’écrire ses mémoires. Ainsi les enfants, qu’elle n‘a toujours pas, connaîtront tout ce que leur future défunte mère aura bien voulut leur narrer.
La Fécaette, qui se prénomme Spiritua –en revanche, demander son nom a une Dame n’est pas impoli-, sort un petit cahier recouvert de peau. La peau à l’odeur du bouftou, c’en est d’ailleurs fait, car un cadeau de ses parents. La jeune femme repousse une mèche de ses cheveux blonds, déplacée par le vent, qui lui chatouillait le nez. Le vent qui fait onduler sa longue chevelure transporte avec elle une douce chaleur, celle des montagnes de feu. Mais aussi l’immonde pourriture des monstres appelés Firefoux. Spiritua ouvrit le petit carnet encore vierge, et commença a écrire. A écrire ses mémoires, son histoire…
Chapitre II : Naissance
Je suis née dans les roses. C’est du moins ce que ma mère m’a toujours affirmé, alors que je lui posait cette question fatidique : « On fait comment les bébés ? ».
Après cette naissance assez étrange commença mon apprentissage. Celui du dressage de bouftous. En effet, mes parents étaient dresseurs de bouftous, comme leurs parents et les parents de leurs parents. C’est ce qu’on appelle une histoire de famille. Mais cet apprentissage m’ennuya bien vite.
C’est alors qu’un jour, tout changea. A mon douzième anniversaire, et malgré les avertissements de ma mère, mon père m’offrit le plus beau des cadeaux. Je reçu mon premier bâton de dresseur. Et quelques idées machiavéliques germèrent dans ma tête.
Je parti tout d’abord en ville, acheter quelques bières, ceci afin de diminuer les résistances de ces satanées bestioles. Puis, alors que mes parents avaient le dos tourné, glissai la bière fraîche, et fraîchement achetée, dans l’abreuvoir. A la nuit tombée, je m’introduisis a pas de loups dans la boufterie –Vous voyez une porcherie ? C’est encore plus sale-, et commençai ce qu’on appelle une tuerie.
Oh, bien sûr, aucun bouftou ne mourut, je ne suis pas Iop au point de ruiner leurs parents. Mais plus jamais aucun d’eux de me mordrait, ni ne mâchouillerait mes effets personnels. Mon bâton fit donc son effet, et la punition que mes parents m’infligèrent aussi.
Il me fallut attendre cinq longues années, le temps d’atteindre ma majorité, avant de me lancer a la recherche du Sage Ganymède. Ces années furent calmes, et quel ne fut pas mon soulagement a ma dix-septième anniversaire, de pouvoir quitter cette maudite ferme.
Je parti donc du logis qui m’avait vu naître –enfin, plutôt le jardin, étant née dans les roses- , armée d’un nouveau bâton, et d’une cape puante en laine de bouftou que mes parents m’avaient offert.
Arrivée devant Ganymède, celui-ci m’enseigna les rudiments liés a ma nature, et commença mon entraînement…
A suivre, prochain chapitre : Entraînement.