L' Appel de la Meute

 
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Mon nom est Malar. Je suis chasseur pour mon peuple Valkyn. Il y a peu, nos terres ont été découvertes par des hommes, des vikings. Ils ont réclamé les forces de notre peuple pour tuer des autres humains. Nous avons accepté, ils nous offraient des pouvoir plus important que ceux que nous avions. Nous avons tué des hommes, des alfs et des revenants, sans savoir pourquoi. Ils ne les mangent pas, ils tuent simplement.

J'ai été affecté à une escouade de furtivité, parce que j'étais chasseur. Ils disent que chasseur doit tuer comme un guerrier. J'ai mené des frères Valkyns, mais aussi des hommes et des kobolds sur les champs de bataille. Pour ces derniers, je n'ai pas regretter leurs morts, leurs dieux s'en chargeront. Mes frères sont mort autour de moi, et j'ai du fuir, les abandonner dans la terre et le sang, les hommes ne veulent pas mourir pour la tribu, alors j'ai du courir dans les forêts.

Ils continuent encore et encore de tuer, mais ils laissent la pourriture enterrer les morts, ils ne les respectent pas. Un homme et venu me voir au campement il y a trois jour. Il était petit, mais sa voix voulait être plus puissante que moi, alors je n'ai rien dit. Il m'a ordonné de partir en reconnaissance sur les terres des alfs avec un compagnie rapide et discrète. J'y suis allé. Ma compagne Valkyn est morte par un transparent-lur'keen, je l'ai mangé le soir, en priant le Seigneur Ulfhednar de ma protection sur l'âme de la défunt. Le kobold n'en a pas voulu. Ils ne respectent pas les morts.

La guerre continue, les hommes veulent des objets des autres hommes que nous tuons. Ils sont magiques et nous apporteraient de la puissance. Ils s'éloignent des dieux, ils les tuent comme les autres hommes. Ils ne les respectent pas. Nos dieux sont d'un autre temps, mais vivent toujours. Les Ulfhednar ne tuent pas pour laisser pourrir. Ils n'ont pas besoin d'objet, ils sont parce que nous croyons en eux, alors nous les respectons.

J'ai refusé de tuer sans raison. Ma compagnie a pensé à de la traîtrise. J'ai été chassé, ils m'ont poursuivi dans les forêts alfs. Je les ait tué. A présent que je suis pourchassé par les hommes, je suis libre. Mes compagnons ont brulé, leurs cendres sont dans mon bouillon. Puissent ils m'apporter leurs forces et non leurs pêchés. La meute m'apelle, je vais chasser parce que j'ai faim.

- Malar, Chasseur Valkyn -
 

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