Les chroniques des Ravens - Kira Daemon - Chapitre 1

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Chapitre I - Le grand retour


Cela faisait deux jours déjà que j'errais dans ces montagnes à la recherche du chemin qui me ramènerait chez moi lorsque je la vis enfin : la frontière entre le monde blanc que je quittais et les Terres d'Ascalon. J'avais fini par y arriver, seule, exténuée, affamée, mais heureuse car je rentrais enfin en Ascalon après quatre longues années d'abscence.
Cependant, je le savais, le pire restait à venir car bien que la fournaise ait fait disparaître la quasi totalité des membres de l'Ordre, il était fort probable que quelques membres aient subsisté et qu'ils comptent maintenir la sanction qui m'avait été donnée. Je pense même qu'ils avaient envisagé que je profite de la fournaise pour rentrer et en avaient averti la garde ascalonienne, c'est d'ailleurs cette éventualité qui m'empecha de revenir deux ans plus tôt lorsque j'appris la destruction quasi-totale d'Ascalon et des villes environnantes par les Charr, d'un réfugié qui en venait.

Elles m'avaient parues longues ces deux années où je fus partagée entre revenir coûte que coûte pour retrouver les personnes aimées ou rester à la Descente du Yak et y vivre comme si rien ne s'était passé.
Ce qui m'avait finalement décidée était qu'un jour, à ladite descente du Yak, je croisai un convoi de marchands dont certains étaient blessés. L'un deux, moins touché, vint me chercher un peu plus tard dans ma tente pour me supplier de bien vouloir soigner ses amis.

Je répondis simplement que ses amis n'avaient qu'à trouver un autre moine ou mourir, car je ne pratiquais que la nécromancie et c'est alors que choqué il dit :
_N'êtes vous donc pas moine de profession ?! Vous trahissez vos semblables et votre caste ! Vous avez le pouvoir de les soigner, mais vous vous bornez à les ignorer ! Que Dwayna vous abandonne ! Traitre à votre Dieux ! Moine indigne !
_C'est déjà fait pour ce qui est de trahir ma caste, pourquoi penssez vous que je sois là sinon ? Connaissez vous beaucoup de voyageurs qui s'installeraient dans un milieu aussi inhospitalier lorsqu'ils pourraient vivre en Ascalon ou en Kryte ? répondis-je.
Sur quoi, alors que son visage affichait qu'il venait de recevoir l'illumination, il bredouilla :
_C'est vous...que Dwayna me protège...c'est vous qu'ils ont bannie avant la fournaise ! C'était horrible...vous...Le moine noir qu'ils vous appelaient là bas...au secours...AU...
_Taisez vous ! ordonais-je alors, mais ce qui devait arriver arriva...le marchand appeuré réouvrit la bouche pour appeler.
Ce fut rapide. Mais aucun son ne sorti jamais, seulement du sang alors qu'il baissa la tête pour contempler ma main enfoncée dans son torse qui avait tout d'abord saisit son coeur avant de le broyer dans un ultime battement.
L'homme releva lentement sa tête vers moi, du sang coulant encore au coin des lèvres et une larme de douleur venant s'y mêler... Il m'observa et je pus voir mon regard se refléter dans le sien, je le regardais agoniser, serrant toujours plus fort son coeur chaud dans ma main.
_Lapie...elle avait tord...pourquoi parle t-elle toujours de vous ainsi...?...Lapie...,souffla t-il avant de s'étrangler, noyé par son propre sang.
Un choc pour moi : je ne repris conscience de ce qui se passait que lorsque le corps s'effondra sur le sol. Il venait de payer pour quatre ans de haine qui ne lui étaient pas déstinés, mais qu'il avait ranimés à son insu. Et si je n'avais pas véritablement de remords à l'idée de l'avoir tué, le fait est qu'il avait parlé de Lapie...S'agissait-il de "ma" Lapie ? Elle avait donc survécu ? L'ironie du sort voulu que je tue le seul homme semblant détenir les réponses à ces questions.

C'est ainsi que je quittai la descente du Yak car le corps n'aurait pas tardé à être découvert, mais au lieu de m'enfuir en Kryte, mes pas m'avaient ramenée en Ascalon, à la recherche de fragments du passés que le nom de Lapie avait ravivés.
Je n'en étais plus très loin maintenant et le grand rempart s'étendait à perte de vue, mais ce pays n'avait plus rien avoir avec celui que j'avais quitté quatre ans plus tôt...La végétation autrefois omniprésente, les rivières iriguant ces terres...tout avait disparu dans un tourbillon de sable, de terres brûlées et de ruines. Rien ne subsistait du territoire ascalonien d'autrefois.
Plus gênant encore : il me fallait traverser des camps occupés pas les Charr, rejoindre la place Piken, puis trouver un moyen de franchir ou contourner le rampart si cela était possible.

J'étais déterminée à revenir en ces terres d'où l'on m'avait chassée, je m'élançai, dévalant les collines, parcourant de vastes champs déserts, courant sans relâche avec toujours pour principal repère ce mur qui m'hypnotisait.
Son apparition devant moi avait accru ma vélocité mais pas au point de me permettre de rallier la Place Piken avant plusieurs jours. Je continuais, puisant ça et là quelques substances tirées de cadavres d'animaux trouvés en chemin pour ne pas m'effondrer moi-même, affamée.Ce n'est qu'après deux jours que j'arrivai enfin au premier campement Charr qu'il m'ait jamais été donné de voir.
Du temps où je vivais ici, les Charr ne possédaient pas encore la puissance qui par la suite leur permit d'assiéger Ascalon. J'habitais dans l'Abbaye à l'abris des remparts et si ça n'avait été par les rumeurs colportées pas les marchands et les soldats revenus de missions, jamais je n'aurais été capable de deviner qu'il s'agissait là de Charrs. Le poil long, ils marchaient debout, armés, la queue se balançant au rythme de leurs pas et ressemblaient à mon goût davantage à de grandes peluches déguisées en guerriers qu'à de véritables monstres depuis le rocher d'où je les observais.
Cependant, si même la Grande Ascalon avait souffert de leur puissance, les sous estimer aurait pu constituer une erreur fatale.
De là où j'étais, je pouvais aisément apercevoir les vestiges de la Place Piken ainsi que les deux camps Charr qui m'en séparaient, le second étant le plus important. Il semblait en effet se dérouler un véritable état de siège autour de Piken, ce qui compliquait légèrement mon plan originel consistant à éviter tout combat afin d'arriver à Ascalon au plus vite.

Attendant la nuit pour contourner le premier de ces campements, je m'installai sur ma cape, allongée derrière un rocher et commençai à m'endormir lorsqu'un rat m'effleura. Ne prenant pas même la peine de l'empaler d'une dague avant de le consommer, je le pris à pleine main tandis qu'il couinait et s'agitait en tous sens. La suite se devine aisément. L'approchant de ma bouche, j'enfonçai mes dents dans sa chair
poussièreuse afin d'y faire de suffisemment profondes entailles pour qu'il se vide de son sang. L'apparente saleté de l'animal en aurait dégoûté plus d'un, mais le sang chaud qui l'emplissait représentait le meilleur repas qu'il m'ait été donné de prendre depuis un moment déjà et mon empressement à boire m'en fit maladroitement perdre une gorgée qui vint éclabousser ma joue. Peu à peu l'animal cessa tout combat et son petit corps se ramollit dans mes mains. Vidé, je le reposai à terre avant de nettoyer mes lèvres d'un coup de langue rapide qui me fit frissonner. Quel dommage que la poussière sur cette proie ait altéré le gout de son sang si délicieux.
Rassasiée au mieux étant donné la situation, je m'apprêtai à me recoucher lorsqu'il y eut de l'agitation parmis les Charr... et avant que je n'ai eu le temps de réagir, je fus encerclée. Attroupés autour de moi, trois Charrs brandissaient leurs armes dans ma direction et grograient ce que je supposais être des ordres. Ils semblaient être en désaccord. Profitant alors de leur temps d'hésitation, je me relevai, dos au rocher et face à ces adorables peluches baveuses et manifestement de mauvais poil.

_ Lorsque vous aurez décidé si l'on doit me tuer, brûler, torturer ou me manger, et ce avec un moyen précis, peut-être pourrons nous commencer ? dis-je alors sur un ton on ne peut plus provocateur qui, comme je l'espérais mit fin à leur différent. Ils semblaient s'être tous accordés au moins sur un fait : je devais mourir d abord, ensuite ils pourraient débattre de l'utilisation qu'ils feraient du corps... seulement, bien que distrayants quelques instants, je commançai déjà à me lasser de ceux-ci et il semblait bien qu'ils penssât de même à mon égard, car l'instant d'après ils fondirent tous les trois sur moi.
Dégaînant vivement Agonie, je la fis tourner au dessus de ma tête, faisant alors retentir son chant merveilleux : les Charrs s'écroulèrent net, tordus de douleur et portèrent leur mains aux oreilles en hurlant et en se roulant au sol.
Décidant alors qu'ils n'avaient rien de l'adversaire digne , j'abregeai leurs souffrances sans cérémonie : je plantai ma lame dans la geule béante du premier avant de plonger mes mains dans le crane des deux autres et d'en broyer la totalité jusqu'à en faire rentrer les yeux dans leur orbite. Méthode quelque peu extrême certes, mais d'une redoutable efficacité assurant entre autres qu'aucun sort de soin quel qu'il soit ne puisse ramener l'ennemi en question.
Le reste des Charrs, toujours au campement semblait de plus en plus nerveux : les éclaireurs envoyés n'étaient toujours pas revenus. Prenant quelque secondes pour analyser la situation, je devinai que les éclaireurs ne m'avaient pas découverte par hasard, ce qui impliquait qu'un élément encore inconnu à ma conscience m'avait trahie... cependant, ayant été d'une grande perfection dans mon approche et d'une totale discrétion, j'en déduis que l'élément en question devait être un fait récent, et assez important... passant ma soirée en revue, je ne me souvenais que du rat que j'avais dévoré... peut être celui-ci était il l'animal de compagnie de l'un des Charrs ? Cette hypothèse me semblait absurde d'autant plus que cela aurait impliqué que ces animaux aient d'autres animaux de compagnie, mais cela constituait la seule piste que j'avais.
Epuisée par le manque de sommeil, je ne pouvais me recoucher alors que le crepuscule tombait et que le camp était sur le pied de guerre... avançant alors à pas lent vers le bord de la colline sans plus me cacher, je tenai Agonie d'une main et préparai un sort de l'autre. Un Charr m'aperçu et hurla quelque chose à ses congénères. De la main qui préparait le sort s'échappa un éclair rouge qui alla frapper les cadavres des trois défunts charrs puis le ciel dont se mit alors à tomber une pluie de sang sur une étendue aussi vaste que la cuvette dans laquelle était installé leur camp. Effayés, ils s'arretèrent pour observer ce sang tombé du ciel puis leur fourrure qui commençait à s'en imbiber.Ils glissaient même par moments dans la boue sanglante que cela engendrait. Je n'avais plus qu'à péparer ma prochaine invocation, du moins l'immaginais-je jusqu'à ce que soudainement ma pluie s'arrête et que le sang versé afflue vers l'un d'entre eux qui mains jointes semblait l'attirer vers lui.
Jurant trois fois de suite, j'eus de nouveau recours au chant de mon épée pour les paralyser avant d'enfin lancer mon attaque : De chaque litre répandu, naquit un monstre de ma création. Ces derniers vinrent aisément à bout des cinq malheureux Charrs qui luttaient malgrè leur infériorité numérique et leur difficulté à se mouvoir, principalement due au poids de leur équipement.

J'étais furieuse et ma victoire ne m'appaisait en rien : ces Charrs comptaient des nécromants dans leurs rangs... pire : ces animaux étaient capables d'utiliser la magie et il était fort à penser que cela ne se limitait pas qu'aux sorts liés à la nécromancie. Peste ! Voilà donc pourquoi ils m'avaient découverte : le sang du rat ! Ce nécromant l'avait senti...
Ramassant rapidement mes effets, je marchai vivement en direction de Piken, bien décidée à tuer tous les Charrs qu'il me serait donner de rencontrer dès à présent. Leur capacité à utiliser la magie souillait notre honneur et il m'était insupportable de penser que ces ignobles animaux pouvaient élever leur race au même rang que la nôtre et prétendre même à une supériorité.
Absurde. Totalement Absurde.



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[i]Dédidace spéciale pour ce premier chapitre à Mike Walkers, Attila Le Bourrin, L A P I E, Kyana Windwalker et Maxyim Ambre.[i]
c'est pas mal, un peu glauque quand même mais les phrases sont bien formulée c'est bien écrit, quoi qu'il faut faire attention aux fautes et aux répétition

par contre ce passage là j'ai pas trop capté:
Jurant trois fois de suite, j'eus de nouveau recours au chant de mon épée pour les paralyser avant d'enfin lancer mon attaque : De chaque litre répandu, naquit un monstre de ma création. Ces derniers vinrent aisément à bout des cinq malheureux Charrs qui luttaient malgré leur infériorité numérique et leur difficulté à se mouvoir, principalement due au poids de leur équipement.

comme dans beaucoup d'autre passage les actions ne sont pas trop détaillée ce qu'il fait que ça donne comme une sorte de vide, enfin bon c'est un peu mon avis, sinon je trouve aussi que les choses et lieux ne sont pas du tout assez décris quand ils le sont enfin voilà une petite critique mais bon c'est bien continue
"La recherche de la facilité mène bien souvent à la fainéantise" ^^

Non mais quelle drôle d'idée un texte n'est jamais trop détaillé quoique...
Enfin, personnellement je ne trouve pas ça trop long, loin de là
je ne cherche pas la facilité^^ =) mais travaillant à côté sur la vraie version^^ je peux me permettre d eviter de faire des textes trop longs... ^^" on m a fait remarqué plus d une fois que mon texte faisait peur sur certains forums pour la longueur
Hé oui, moi quand je lis j'aime avoir des détailles sur les actions, les décors, les personnages, ... c'est je pense très important pour ce faire une images précise du déroulement de l'histoire

Sinon (c'est un avis personnel) moi j'aime les dialogues assez long, car ils aident à vous développez une idée fixe du caractère des persos, de plus ça aide à mieux comprendre l'histoire
Ah bon? enfin bon c'est vrai que généralement les gens aiment lire des choses courtes, c'est vrai que quand je reçoit un livre bien épais à lire pour français, je me dit : et ben mince alors, déjà qu'ils sont pourris alors si en plus ils sont long...
Enfin, en même temps je les lis jamais, car j'aime pas les sujets qu'ils traitent, je préfère lire à la place un livre à mon propre compte et puis bon je m'en sort généralement mieux que ceux qui l'on lu à l'interro, je chope un résumé sur le net et s'il y en a pas je demande à un pote de me le résumé et ça suffit pour cartonné
Oula je m'égare moi... enfin bon, juste pour dire que quand ça m'intéresse ça ne me dérange pas que ce soit long
Citation :
Publié par Koren The Dark
Ah bon? enfin bon c'est vrai que généralement les gens aiment lire des choses courtes, c'est vrai que quand je reçoit un livre bien épais à lire pour français, je me dit : et ben mince alors, déjà qu'ils sont pourris alors si en plus ils sont long...
Comment ça ils sont pourris??? bon d'accord la majorité l'est mais Emile Zola!! Hein?? c'est pas de la m**** ses bouquins.

Désolé pour le HS
Voltaire et Beaumarchais j'ai du étudier en histoire. Mais sans déconner il ne me viendrais, désolé, jamais à l'esprit de lire leur bouquin. Déjà que les truc qu'on a du lire cette année en français j'en ai lu aucun je cite : "Un aller simple", "Et si c'était vrai...", "Que cent fleurs s'épanouissent". J'ai emprunté un allé simple, j'ai lu le début ça m'emmerdais ---> au bac ; Et si c'était vrai j'ai commencé, trop chiant ---> au bac et l'autre on a lu le début en classe ça m'emmerdais tellement que j'ai pas pris la peine de le commencé. A si on a du lire aussi une tite histoire à la con, en 45 min finis alors bon... et un essai sur lequel on devait faire un exposé donc j'ai du lire, et on s'étonne pourquoi je trouvent qu'ils sont VRAIMENT pourris ! en tout cas moi ça m'étonne pas


Moi je lis des romans de science-fiction, fantastique et heroic fantasy, le reste aux chiottes



ps: pardonnez mon langage très peu surveiller mais j'ai exprimé le font de ma pensée
Jpense pareil sauf que je brule (ou jette aps aux wc) pas les autres ^^ je les laisse dans un coin, pour ceux qui aiment, histoire de dire que je les ai dans ma chambre, je les regarde tous les jours, pour m habituer à la "bête"... un jour où l'autre je els lirai...
Citation :
Publié par Koren The Dark
...Moi je lis des romans de science-fiction, fantastique et heroic fantasy, le reste aux chiottes...
Et un jour ont muris...

Je te rassure la littérature classique ou même moderne autre que les trucs pour ados est d'un potentiel de plaisir que tu ne peux même pas soupconné , on fais tous une réaction allergique au moment ou on se s'en obligé d'en lire pour "l'école" mais ensuite on change

On ne peux pas toute sa vie se cantonné a la SF , le fantastique et l'heroic fantasy , même si ces styles sont fournis et parfois bons (Asimov , Dantec , Tolkien , Moorcock , Bordage et autres génies de ces styles) la "grande" littérature reste ailleurs

Je trouve ca trés puéril d'osé dire : a part ma lecture post-ado moi je met le reste au chiotte , j'espére pour toi que tu va avoir un "avenir" littéraire et découvrir les grands auteurs qui ont écris des livres qui traversent les siécles

Les grands auteurs classiques qui ont fais la littérature a travers les siécles avec des chefs d'oeuvre universels ne sont pas juste l'apanage de quelques intellectuels qui veulent se la raconté ou de profs de francais relous , tous ses livres sont d'un talent et d'une profondeur sans égal face aux livres que tu as l'occasion de lire

Aprés désolé si au Bac on te fais lire des livres que je qualifirais de "roman de gare" comme "Et si c'était vrai" , Du M.Levy au Bac c'est une honte... pourquoi pas du Barbara Carland...

Enfin bref , je met ca sur le refus classique que l'on fais a un age parce que justement cette littérature est assimilé a l'enseignement ou au monde des "adultes" , c'est naturel et presque sain , mais je te souhaite sincérement un jour de re-découvrir Beaumarchais et Voltaire , et tant d'autres qui ouvre la porte par leurs talents a des sensations de lecture que tu ne retrouvera jamais dans les livres que tu lis maintenant , certes surement bons par ailleurs , mais loin du génie

Tu peux de plus passé d'un style a l'autre tout en douceur , tu glisse vers les grands auteurs en passant par ceux qui ont écris de grands livres des genres que tu affectionne , lis Farenheit 451 de R.Bradury , 1984 de G.Orwell , Les derniers hommes de P.Bordage , Babylon Babies de M.G Dantec , Ubik de P.K.Dick ou même Dracula de B.Stoker puis hop t'enchaine sur W.Shakespeare car finalement la plupart de ses oeuvres font attrait a la SF

Je suis passionné de littérature et je trouverais ca dommage , toi qui semble aimé lire (et aussi écrire) que tu passe toute ta vie a coté d'un véritable trésor , crois moi , certains livres dont le simple nom t'évoque tes toilettes pourrait etre un déclic pour toi et l'ouverture a un monde de plaisir littéraire immense

Dans tout les cas , imagine toi que si les classiques le sont devenu au travers des ages , et traversent parfois des millénaires , mêmes si tu ne les affectionnent pas , ils ne méritent pas tes toilettes...

Car entre tes écris et ceux d'un Platon ou d'un Balzac , c'est a coup sur les tiens qui finirons en chasse d'eau
Tout d'abord, je tiens à dire au cas ou vous m'auriez trop pris au sérieux, je les jette pas dans les toilettes, non non non. Après, je vais encore devoir les débouché... non, comme l'a dit Kira je les stock sans les lires et ce que je disais aux chiottes justement, c'est en parlant de ces romans de gares comme tu l'as citer Pantocrator que je parle de cette façon, car moi-même je n'ai pas de leur livre à Voltaire ou Beaumarchais, et oui à l'école je lis que des romans cucul, si je puis dire du genre "Et si c'était vrai..." enfin quand je dis lire, j'exagère vu que je ne fais que les feuilleter. Les autres romans, dont j'ai dis que je ne lirai, sûrement jamais, je lis très lentement malheureusement et pas assez souvent pour autant sur une vie et bien c'est tout simplement, car c'est livre relève d'un grand intellect et que je ne suis pas un intellectuel, je ne suis certes pas abrutis, mais ce niveau me dépasse, en histoire j'ai bien dut du lire pas mal de morceaux de récits du genre, mais même si j'arrive souvent à les comprendre, je ne pourrais tenir longtemps à tenter de comprendre tout en lisant. Car j'ai un niveau littéraire assez bas, en effet du faite que je lis lentement et que j'ai de nombreuses autres activités, je n'ai pas un débit de lecture très grand. Le mieux que je fais c'est un livre de 300pages en une semaine, dire que c'est pathétique... enfin bon de ce fait je ne me dit pas bon lecteur, de plus je considère la lecture plutôt comme un hobby, un loisir, qu'une passion, cependant cela ne change rien au fait que j'aime lire.
Ah pour clore, je suis belge, donc pas de bac pour moi. (et oui)
Je rappel que quand je disais aux chiottes, je parlais de mes autres bouquin qui ne m'intéresse pas n'ayant pas de livres d'antan, quoique ma mère à tellement de livre qu'elle doit en avoir. J'aime aussi les récits de guerres que je trouve très intéressant, d'ailleurs ceux de Jules César sont si je ne m'abuse le livre qui a été le deuxième le plus vendu dans le monde après la Bible, ah et j'aime aussi les policiers ^^ Je répètes encore je ne parlais pas de toilettes pour ces oeuvres de grands auteur. Je ne compare pas mes écrits aux leurs, loin de la j'avais écrit il y a 2 ans de cela avec un pote un récit plutôt pas mal, n'ayant pas été édité, alors bon pour autant de truc écris je me dis maintenant quand j'écris c'est juste pour moi-même ou des potes à l'occasion sans plus donc bien sûr que ça ne sera jamais connus. Et bon eux on ne peut pas justifié mes choix littéraires que par mon jeune âge (17ans très prochainement), car quand je vois mon père qui a 45ans qui n'a jamais vraiment lu de ça vie, ah si Bob Morane ^^ ben je me dit que bon lui il est encore plus mauvais que moi, ma soeur lis un peu plus que moi, mais bon tout des romans plutôt à l'eau de rose ou histoires pour adolescentes, seul ma mère qui a une jolie bibliothèque à beaucoup lu mais à de moins en moins le temps s'occuper de ma soeur et moi ça en demande un sacré boulot
Enfin, bon voilà je dirais : c'est tout pour ma défense.
Je pense sincérement qu'avec le gout pour la lecture (et aussi l'écriture) tu as le principal , le reste viendra tout seul

On change ses lectures dans une vie en fonction de ses expériences , de son vécu , tout cela évolue dans le temps

Par contre pour continué avec toi ce que tu appelle toi même "ta défense" je ne pense pas que cela soit un défaut d'intellect , la littérature n'est pas une chose élitiste , etre "touché" par un livre (même un classique) ne dépend pas de son Q.I. , et tu n'as pas du tout l'air d'etre un débile , c'est pas une question de capacité je pense , mais de temps , de courage et d'envie , et tout ca peu changé , et changera surement

Beaucoup pense a tort que livres=intello , c'est faux , bien sur Nietzsche ou Deleuze s'appréhende avec une certaine culture des sujets abordés , mais la plupart des livres sont assez universels et facile d'accés

je suis désolé d'avoir pris ta phrase de "toilettes" a premier degré sans avoir compris que cela signifié plutot les rangés dans les toilettes, ce qui est trés différent

Parfois je suis un peu radical quand il s'agit de faire partagé mes passions...désolé

PS: justement dans un soucis de lecture et donc d'écriture , tu devrais surement "aéré" un peu plus tes méssages , avec de la ponctuation , des alinéas et des retour a ligne entre les idées car c'est un peu pénible a lire comme ca
Hé bien je dois dire que je ne sais même pas si j'aurais le courage de lire mes messages, à voir à quels points ils sont compacts et qu'il est dure de distinguer les différentes parties.

Enfin, il faut savoir que je cause très souvent au second degrés et qu'il vaut mieux ne pas toujours prendre au sérieux ce que je dis, en tout cas pas au premier degrés ^^

Personnelement, il est vrai que nombreux évolue dans les choix littéraires, mais je connais le père d'un ancienne amie de ma soeur qui n'a quasiment jamais lu que des livres de sciences fiction et pourtant lis beaucoup. Moi je sais dire quels sont mes choix actuels, mais je ne serais jamais dire ceux de demain.

Et il est vrai que je ne pourrais lire des livres traitant de sujets plutôt complexe, sans m'ennuyer du fait qu'une bonne partie sera incomprise. Pourtant il est vrai que tel ou tel livre sert de faire valoir à un intellectuel, voulant se rendre intéressant n'ayant pourtant pas spécialement apprécier le livre ou même lu. Mais bon même si lire n'est pas un truc d'intello, on peut dire que certains bouquin relève quand même d'un certain niveau d'intellect.
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