[Kirin Tor] Journal d'un mercenaire

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23ème jour du 9ème mois de l’an 590…


J’ai mal au crâne, quelque chose de terrible. Rien de comparable avec la gnole de Golosh. Et pourtant, c’est pas rien.
Pourtant, cette fois, il ne s’agit pas d’avoir vraiment abusé de la bouteille. Quand j’ai ouvert les yeux, je me suis retrouvé dans un buisson avec la moitié de mes fringues et mon équipement en moins dans un endroit que je ne connaissais absolument pas.
Comment ? Pourquoi ? J’en savais plus rien.
Heureusement, la dernière date de ce journal de guerre me donne une notion de ce qu’il m’est arrivé. C’est pas joli.
Apparemment on avait un contrat sur un artéfact à ramener du désert.
J’étais à la tête du détachement composé d’Ours, Garrot, Terell, Kard et Jarretnoir.
Rien de plus. Il s’est passé quelque chose sur place c’est un fait, mais je ne me rappel plus quoi.
Quoi que ce soit ça m’effraie, il faut que je retrouve les autres s’ils sont encore en vie ainsi qu’un moyen pour se tirer d’ici.
Quel bordel.
Message roleplay
24ème jour du 9ème mois de l’an 590…


Je suis la crème. Un dur. Un mercenaire de la Fraternité des Ombres. Rien ne doit me faire peur. Rien. Et pourtant…
Le monde dans lequel j’ai débarqué est une véritable utopie, voir une folie pour n’importe quel Albionnais qui se soit battu aussi longtemps que moi contre Midgard et Hibernia.
En me renseignant on m’a indiqué l’emplacement d’un dispensaire dans une capitale du nom de Stormwind. Qui de mieux qu’un toubib ou un mage pour comprendre ce qui m’arrive et peut-être pouvoir y remédier ?
Or voilà, le toubib en question il s’est avéré que c’était une elfe. Un peu plus grande que celles de chez nous, les yeux plus lumineux mais sinon une elfe tout pareil.
J’ai dégainé la vieille lame que j’avais pu dénicher et je me suis préparé à me battre.
Mais elle m’a rassuré sur ses intentions et quand, avec un peu de mal, je lui ai raconté ce qui m’amenait, elle m’a dressé un petit topo.
Apparemment, dans ce monde, humains, elfes, nains et gnomes sont alliés.
Ca m’a longuement paru inconcevable.
Forcément, on se tape dessus depuis je sais pas combien d’années…
Elle m’a promis de m’aider. Je sais pas si je peu lui faire confiance mais j’ai pas trop le choix.
Son nom est Teiana.
Message roleplay
25ème jour du 9ème mois de l’an 590…


Comme on pourrait s’en douter, les dates de ce monde ne correspondent pas avec les nôtres.
C’est trop complexe pour moi alors je conserverai mon système. Et puis je m’en fous, bientôt, je serais tiré d’affaire. J’espère...
Avec de la volonté mes souvenirs me reviennent.
C’est bel et bien à cause de cette saloperie d’artéfact que mes gars et moi on s’est retrouvé dans ce monde.
La doc Teiana m’a fait essayé plusieurs trucs pour tenter de rentrer mais sans succès jusqu’à maintenant.
Elle semble sincèrement ennuyée pour moi mais je reste prudent, c’est peut-être une ruse.
Je vais ce soir essayer de rencontrer un mage et ensuite, selon ce qu’il dira, je retournerai voir Teiana.
Quoi qu’il arrive de toute manière, je ne peux et veux pas partir sans mes hommes. S’ils sont toujours en vie et comme moi coincés ici, je les retrouverais.
Message roleplay
17ème jour du 10ème mois de l’an 590…


Ca fait plusieurs jours que je suis ici à présent et je m’adapte peu à peu à ma nouvelle condition.
Ce journal n’a plus d’intérêt d’être un journal de guerre maintenant, il deviendra donc mon journal personnel et le gardien de mes souvenirs.
Pas vu Teiana depuis l’incident de l’artéfact. Je suppose qu’elle a autre chose à faire que de me chaperonner.
Je suis resté un moment à traîner à Auberdine après que j’aie mis en terre mes compagnons.
Ya pas à dire, certaines elfes sont vraiment…Hum…Digne d’intérêt.
Ouais, à ce niveau là, j’ai pas à me plaindre.

Je me suis bougé jusqu’à la capitale naine, Ironforge je crois. Marre de rester inactif, il me fallait un contrat avant que mes muscles ne deviennent de la tarte aux poires et c’est là que j’ai découvert l’une de leurs inventions.
Ils appellent ça un fusil.
J’ai eu le coup de foudre. Mon arc ayant disparu comme la plus part de mon équipement, j’ai sauté sur l’occasion de m’initier à cette nouvelle arme.
Je suis pas déçu.
Pour le contrat j’ai rien trouvé, mais on m’a dirigé vers une ville, Lakeshire, où j’ai été engagé par l’aubergiste de l’établissement local pour récupérer diverses boissons dont il a besoin.
Rien de bien glorieux mais au moins ça me fera voir du pays, pénard.
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