[Macrophage]

Tu es mon petit ange, tombé du ciel, rayon
De plénitude heureuse. Ton humeur en chien loup_
Ton mystère est ton charme immense_ ton regard doux
Sont mets exquis. Moi, cannibale amphitryon.

A distance, en toi, je me suis reconnu,
D'impatience, j'attend de te connaître enfin,
Dévorer ton rire, ton sourire et tes chagrins.
Mêlées à l'infini, nos deux âmes à nue.

C'est l'errance du coeur qui nous rapprochera,
(Oublier le passé, ses déceptions funestes)
Balades somptueuses, balnéaires ou agrestes.

Partager tous les deux un morceau du voyage
De la vie. Sans détour s'aimer, notre apanage.
Savourant le divin qui nous embrasera.

[Nathalie]

*écoute avec attention et ravissement le poète, et trouve ses mots bien jolies*

Merci, c'est vraiment bien jolie ; j'aime la poésie quand elle rime, mais ne suis pas douée pour en faire. Ton premier paragraphe est celui que je préfère parce-qu'il a un rythme que lance bien le premier vers, dont le mot ",rayon" appel à aller voir le vers suivant.

[Macrophage]

Je dédie mon poème à Joseph Ratzinger.