[BG] L'Ordre de Talakia

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L'Ordre de Talakia
par Pehdolyth


Préface

Bonjour ami lecteur.
Si tu lis ce livre, c'est que tu t'intéresses de près ou de loin à notre idole Talakia, et à l'antique cité ensevelie qu'est Irianah.
Sache que j'ai passé ma vie, ma très longue vie de Sadida à chercher aux quatre coins du monde tout ce que je pouvais trouver sur l'antique Irianah.
Dans ce livre je compte te révéler le résultat de 213 années de recherches, de découvertes et de révélations.

Ma quête de connaissance a débuté il y a de cela fort longtemps aux alentours de l'an 428. J'étais encore un jeune Sadida innocent et tout fraîchement sorti de l'université d'Amakna, la plus réputée de l'époque.
Il se trouva qu'un jour, un de mes professeurs qui m'avait particulièrement apprécié pour ma vivacité d'esprit, me contacta afin de me proposer de l'accompagner dans une expédition financée par l'université. Le but réel de cette expédition, était bien entendu le pillage des trésors laissés par l'antique civilisation de Irianah, mais j'étais bien trop idéaliste à l'époque pour m'en rendre compte.

Nous sommes donc partis en direction du Sud-Est d'Amakna. Ce que nous savions à l'époque d'Irianah était très limité. Son emplacement supposé était à l'extrême sud-est de Sufokia, mais même de cela nous n'étions pas sûr.
Nombre de légendes et de rumeurs circulaient sur la cité ensevelie, relatant l'existence de richesses abondantes. La réalité que nous allions découvrir était tout autre.
Lors d'une plongée, mon ancien professeur -le Professeur d'Umbeuldor- et moi avions découvert l'entrée d'un bâtiment colossal, dont la majeure partie était ensevelie. Nous avons tout de même découvert une petite ouverture dans un mur.
L'intérieur du bâtiment avait été mystérieusement préservé des eaux, et nous avons ainsi pu le visiter sans risquer de manquer d'oxygène. Nous sentions comme une présence mystique sans pour autant pouvoir la saisir, c'était une sensation très étrange.
Le professeur d'Umbeuldor s'arrêta brusquement et poussa un hurlement de joie, et en m'approchant de lui je fus saisi de la même excitation.
Nous venions de pénétrer dans la Bibliothèque ensevelie d'Irianah. Des milliers d'ouvrages nous attendaient là, ne demandant qu'à être lus pour nous apprendre tout ce que nous cherchions.

C'est ce jour là que ma véritable passion pour le peuple de Talakia -j'appris dans un ouvrage que c'était là le nom de la Déesse qui veillait sur le peuple d'Irianah- naquit. Et c'est également ce jour là que les hommes de l'inquisition firent bruler l'ensemble des ces ouvrages hérétiques, à l'exception d'un seul que j'avais eu le temps de mettre à l'abri.

Mais cessons un peu de parler de moi, et intéressons nous plutôt à la vie de la Déesse Talakia. Tout ce qui va suivre, je l'ai rédigé preuves à l'appuie, à l'aide des centaines de documents que j'ai réuni au cours de ces années de recherches.



Chapitre I : Naissance et arrivée dans le Monde des Dix.

La naissance de Talakia est un évènement assez mystérieux. Mon hypothèse la plus plausible, serait qu'elle aurait été créée par le refoulement d'un sentiment amoureux d'un des Dix Dieux du panthéon pour un être démoniaque. Mais d'autres sources prétendent qu'elle aurait eu une existence physique dans un des autres Mondes crées par les Dix...

Quoiqu'il en soit, Talakia n'était à sa naissance qu'un flux énergétique instable, et il lui a fallu des milliers d'années d'errance et de rencontres aléatoires avant d'acquérir suffisamment d'énergie pour acquérir un début de conscience propre.
Autant vous dire qu'à cette époque, nous sommes bien loin de la Déesse irréprochable que nous connaissons, mais tel est le cycle naturel des esprits divins. Les écrits sur cette période de son existence sont très rares -pour ne pas dire inexistants- et assez flous, et bien que j'adorerai vous parler de toutes mes hypothèses plus ou moins fondées, je pense qu'il serait préférable pour vous que je passe à l'essentiel.

L'arrivé sur le monde des Dix se fit plusieurs siècles avant notre ère, et Talakia n'était alors qu'une âme errante, une âme divine certes, mais non moins perdue dans l'immensité physique du monde des Dix. Il se déroula alors quelque chose d'étrange. Le contact avec la race humaine opéra en elle une sorte de révolte. Elle les côtoyait au quotidien, observait leur vie, leur mort, leur souffrances. Étant par définition faite d'énergie pure et ayant acquis au fil de son existence une grande sagacité, elle fut révoltée par la façon dont les Dix régnaient en despotes sur le Monde, tyrannisant leurs disciples pour leur seule gloire, créant des guerres gigantesques dans l'unique but : les tirer de leur ennuie éternel.

C'est ainsi qu'elle décida d'agir. Mais comment se demanda-t-elle ? Comment elle, pur esprit pouvait-elle se faire entendre des humains pour leur ouvrir les yeux ?
Il lui fallut attendre quelques siècles avant d'en connaître le moyen. C'était un beau jour de Maisial, alors que Rosal à la belle chevelure immaculée faisait dresser les pistils de ses protégés vers un soleil de plus en plus chaud, Talakia fit une rencontre, où plutôt La rencontre qui allait graver à jamais les tablettes de l'histoire.



Chapitre 2 : La rencontre.

En ce début de Maisial, Lako était soucieux. Les beaux jours arrivaient, et l'hiver avait été très rude. Les prières et sacrifices aux Dieux du panthéon n'avaient eu pour seul effet que la perte du meilleur bouftou de son troupeau, et il ne savait pas comment il pourrait subvenir aux besoins de sa famille et pire, de sa tribu.
Il décida d'aller se promener sur la plage. Le mouvement lent des vagues qui viennent mourir sur la côte avait toujours eu un effet relaxant sur lui.
Comme à l'accoutumé, il s'assit et se laissa bercer par l'inexorable va-et-vient de la mer d'Asse.

Nous sommes en l'an de grâce 625 avant notre ère, et Talakia profitait de la force que lui procurait les rayons du soleil en pénétrant son esprit. Elle avait acquis beaucoup de puissance depuis qu'elle était sur ce monde, et elle était désormais capable de prendre une apparence physique durant quelques minutes.

C'est alors qu'elle aperçut Lako. Il était allongé et semblait dormir. Mais ce n'était pas ce qui avait attiré l'attention de notre jeune Déesse. En s'approchant de l'homme assoupi, elle aperçut quelque chose d'inédit : un filin doré et scintillant semblait s'échapper de son nombril partait dans le ciel et était relié à un autre homme qui flottait dans l'air quelques mètres au dessus du corps inanimé, et en tout point semblable au premier, si ce n'est qu'il semblait plus éthéré. Intriguée et sachant qu'elle ne pourrait être repérée des humains sous son aspect énergétique, Talakia s'approcha et se figea lorsque l'homme lévitant se tourna brusquement vers elle.
Cela ne lui était jamais arrivé, jamais auparavant un être doté de chair ne s'était désincorporé, et encore moins n'avait détecté sa présence. Des esprits sortant de leur enveloppe charnelle, elle en avait vu des millions, mais ceux-ci n'étaient plus reliés à leur corps et ils s'évaporaient en un éclair.
Cet homme était bien vivant, et pourtant il avait réussi à atteindre l'antichambre du monde spirituel.

Il se dirigea vers elle, et se retrouva nez-à-nez avec la Déesse en une fraction de seconde.


  • - Où est votre corps ? Pourquoi n'avez-vous aucun lien qui vous relie à votre corps ? demanda le jeune homme à moitié rassuré.
    - Je... Je ne suis pas vivante, je suis ... un esprit. Mais vous ? Comment faites-vous cela ? Et pourquoi n'ai-je jamais vu pareil phénomène ?
    - Je suis un chaman. J'ai été entrainé par mon père lui même entrainé par son père et cela depuis la nuit des temps, à quitter mon enveloppe charnelle pour parler avec des esprits tels que vous, ou encore à voyager loin pour trouver des terres fertiles. Mais jamais dans ma mémoire je n'avais vu un esprit aussi lumineux que le votre...
    - Je suis d'origine divine, lui avoua Talakia.
    - Enfin ! Enfin je rencontre l'un de ces Dieux auxquels nous adressons nos prières depuis toujours, et qui pour seule réponse nous envoient des épidémies, des sécheresses et autres malheurs ! Je vous maudis vous et vos semblables !
    - Un instant... Il est vrai que les Dieux vous font souffrir, qu'ils sont injustes et ne pensent qu'à se divertir, mais vous vous méprenez en m'accusant de leurs exactions. Je n'ai même pas assez d'énergie pour m'incarner plus de quelques minutes dans ce monde, je ne suis qu'une âme divine et perdue dans un monde de souffrance, obligée à souffrir de vos maux sans pour autant être capable de faire cesser cela.

Le dialogue entre esprits avait cela de bien qu'il dépassait les simples mots. Il était impossible de mentir, ni même d'être ambigu. Les âmes communiquaient entre elles de manière absolue.
Ainsi Lako apprit que cette jeune Déesse avait toujours voulu aider les hommes, bien qu'elle en soit incapable. Et maintenant qu'elle pouvait dialoguer avec un représentant de la race humaine, un grand chaman qui plus est, elle voulait saisir l'occasion de les aider à fonder un monde meilleur.

Ce jour là, les dieux perdirent une cinquantaine de disciples, mais ils étaient bien trop occupés à se quereller pour s'en apercevoir.



Chapitre 3 : L'âge d'or.

La construction d'Irianah même ne commença qu’un siècle après la rencontre de Lako et de Talakia. Il aura fallut tout ce temps pour convaincre un nombre suffisant d’individu afin que la puissance de Talakia –directement liée au nombre et à la ferveur de ses fidèles- augmente de manière à lui permettre de s’incarner définitivement.
Le fait que la Déesse soit présente aux cotés de ses disciples avait achevé de convaincre les plus septiques sur l’authenticité de son engagement et de son message. Elle ne les avait pas simplement guidés, elle leur avait enseigné des sciences nouvelles, des savoirs inédits. Et toutes ces connaissances, elle les leur avait données au compte-goutte. Elle s’était à chaque fois assurée qu’ils en étaient digne mais surtout qu’ils étaient prêt à les recevoir.
Il fallut tout de même prêt de cinq cent ans avant qu'Irianah ne soit totalement construite, cinq siècles durant lesquels les conditions de vie des irianéhens ne cessaient de s’améliorer.

Je vous propose de nous rendre en l’an 153 avant notre ère, époque à laquelle Irianah était à son apogée.
La citée avait été construite sur la mer, ce qui permettait de rejeter facilement et à moindre coût les eaux usées et autres déchets organiques. Dans un premier temps, les maisons avaient été bâties sur pilotis, mais le bois s’usait rapidement et pour prévenir tout risque de pénurie, les irianéhens eurent alors l’idée de construire d’immenses blocs de pierres creux qui flotteraient sur l’eau.
Cette prouesse était bien-entendu l’œuvre de la Déesse, mais celle-ci préférait que ses disciples ne le sachent pas. Elle prétendait les inspirer et leur montrer la voie.

L’air marin était sain et revigorant et les médecins irianéhens étaient les plus compétents du continent. Là où d’autres préconisaient encore la saignée et les laxatifs, les médecins formés par Talakia s’attaquaient à l’origine psychique de la maladie tout en associant le soin du corps. Ainsi il n’était plus rare de voir des anciens vivres plus longtemps que quiconque ne pouvait l’imaginer, si bien que nombre d’entre eux décidaient de mourir d’eux même, lorsqu’ils savaient que la vie ne leur apporterait plus rien.

Les irianéhens maitrisaient la navigation et firent de leur ville le plus grand port de commerce du continent. L’argent ne manquait pas, et la cité prospérait. Elle ne connaissait pas les famines, ni la crise ni même la guerre. C’était un véritable paradis d’abondance et ouvert à tous où chaque jour, des dizaines et des dizaines de nouveaux habitants venaient s’installer.

Le culte de Talakia était également à son paroxysme, ses adorateurs lui avaient construit un temple somptueux, au centre duquel trônait fièrement une statue de la Déesse, réalisée par le plus grand sculpteur de l’époque.
La cité était gouvernée par le conseil des Sages, un septum virât représentant toutes les classes de la population.



Chapitre 4 : La cité marine détruite par les eaux.

Irianah prenait une importance croissante au sein du monde des Dix, et elle ne passait plus inaperçue au sein du Panthéon. Les Dix commençaient à jalouser ouvertement Talakia, qui non content de délivrer des connaissances défendues aux mortels, passait son temps à leur voler des fidèles.

Il faudra attendre cependant l’an 134 avant notre ère, pour que les Dieux se décident à agir. Voici une reproduction du dialogue qui s'est tenu à l'époque. (Source: inconnue).


  • - Cela ne peut plus continuer ! Commença Osamodas.
    - Elle se prend pour une déesse, mais elle n’en a que le nom. Râlait Feca.
    - Il faut s’unir pour nous débarrasser d’elle ! dit enfin Iop, qui devait avoir de tel éclair de génie à peu prêt tous les milliards d’années.
    - Elle est une menace, il faut intervenir. Conclut Enutrof, le dragon de flamme et d’or.
    - Mais comment agir sans susciter l’indignation parmi nos fidèles ? Questionna le dieu Sram, soucieux d’agir en toute discrétion.
    - Faisons croire à un accident ! répondit simplement Ecaflip.
    - Mais un accident n’anéantit pas un peuple ! rétorqua Sadida.
    - Certes un accident ne causera pas suffisamment de dommage, un cataclysme fera l’affaire ! Acheva Xelor en s’agitant sous ses bandelettes.


C’est ainsi qu’il fut décider à l’unanimité -et c’était chose rare que les Dix tombent d’accord- qu'Irianah serait rasée par les eaux. Osamodas qui s’en chargea, délégant la tâche ingrate à un démon mineur. Il demanda à Aquamentis de créer un raz-de-marée gigantesque, suffisamment puissante pour détruire toute la cité.
Ce dernier s’exécuta, et créa une vague gigantesque, des écrits racontent même qu’elle masqua le soleil de toute la région d’Amakna, et que du fin fond des plaines de Cania, on pouvait l’apercevoir.

Ainsi s’achève le récit de Pehdolyth, disciple de Sadida après une longue vie dédié à tout ce et ceux qu’il aimait. Il a décider de partir vivre en ermite dans les hautes montagnes de la Morh'Kitu.
Je suis Pwaline.
Pehdolyth m’a élevée lorsque mes parents sont morts, il a été comme un père pour moi et c’est lui qui m’a appris à aimer la vie et tout ce que la nature nous offre. C’est également lui qui m’a initiée aux coutumes de Talakia, et je ne pourrais jamais assez l’en remercier.
Le seul moyen que j’ai trouvé, était de reprendre son flambeau, de poursuivre son projet qu’était l’Ordre de Talakia. Je vais donc poursuivre son œuvre, en essayant de rester la plus fidèle possible à toutes les notes que j’ai pu trouver en rangeant ses affaires.



Chapitre 5 : La renaissance de l’Ordre oublié.

Un jour, Pehdolyth est venu frapper à ma porte.
Il me parla pendant des heures d'Irianah et des récentes découvertes qu’il venait de faire. Apparemment, la Déesse Talakia avait bel et bien existé, et mieux encore, son âme serait enfermée dans la grande statue du Temple.
A l’époque, j’étais encore jeune et lorsqu’il me demanda de le suivre dans une expédition à Sufokia, ma première réaction a été d’éclater de rire. Puis en voyant qu’il ne bronchait pas et qu’il était sérieux, j’ai commencé à inventer de fausses excuses. Mais Pehdo, ou Pépé comme on l’appelle souvent, me connaissait bien, et il sut éveiller ma curiosité.

Nous sommes donc partis tous les deux en direction d'Irianah. Il nous fallut bien une longue semaine avant de retrouver le temple perdu de Talakia, et autant pour y pénétrer.
Nous ne nous attendions pas à ce que nous allions vivre, mais je sais que je ne regretterai jamais d’avoir suivi ce bon vieux Sadida, qui m’a permit d’assister à un tel spectacle.
Lorsque nous sommes entrés dans l’immense pièce qui autrefois devait servir de salle commune, nous avons été ébahis par la grandeur qu’inspirait l’architecture de cette salle. Je ne saurais vous le décrire, il faut l’avoir vu. Nous sommes restés silencieux plusieurs minutes, à contempler ce merveilleux spectacle. Au centre de la pièce trônait fièrement -mais sans prétention- la statue de Talakia.

C’est un tout autre spectacle bien plus surprenant encore qui nous sortit de notre torpeur : La statue faite dans une pierre de couleur bleu-vert s’illumina. Elle semblait s’être animée, et en effet, son regard plongea en nous. Il nous sonda jusqu’au plus profond de notre âme, et du nous juger suffisamment digne de recevoir l’enseignement de la Déesse.
La Statue prit la parole, et sa voix puissante tonnait dans toute la pièce.

« Bienvenue voyageur, bienvenue dans mon temple. Je suis la Déesse Talakia. J’ai vu qui vous étiez, qui vous êtes et que vous serez, et je vous juge digne de recevoir La Vérité. »

La suite vous la connaissez si vous avez lu attentivement les chapitres précédents. La Déesse nous raconta les péripéties de son peuple jusqu’à leur fin tragique. Son récit terminé, elle s’adressa directement à Pehdolyth.

« Toi qui a consacré ta vie à étudier celle de mes défunts amis, j’ai une mission à te confier. Je voudrais que tu portes mes valeurs hors de ce temple, que tous ces hommes qui étaient bons ne soient pas mort en vains. Je voudrais me venger de ces Dieux qui ne pensent qu’à leur gloire. Leur montrer que quoiqu’ils fassent, l’honneur, la justice et la sagesse triompheront toujours. »

Pehdolyth, en grand gentleman posa un genou au sol et acquiesça de la tête. Mais la statue-déesse n’en avait pas terminé, et ce fut à moi qu’elle s’adressa ensuite.

« Quant à toi Pwaline, tu es sans le savoir une descendante direct des irianéhens d’antan. Car oui, il y a eut des survivants, qui ont été obligé d’abandonner mes préceptes pour pouvoir survivre dans ce monde cruel. Vois-tu ce petit coffret ? Il contient un talisman. Prend le et porte le toujours sur toi, cela nous permettra de rester en contact toutes les deux. Il faudra que tu aides Pehdolyth dans sa tache, car il est vieux et fatigué, et un jour, ce sera à toi de le remplacer. Peut être qu’un jour vous parviendrez à convertir suffisamment d’homme et de femme pour que je puisse quitter ma prison de pierre… Allez mes amis, je vous protégerai. »

Ainsi naquît l’Ordre de Talakia, fondé en l’honneur d’une Déesse déchue, qui ne souhaite que de voir le monde dans une paix éternelle.
La cité ensevelie étant inaccessible, nous décidâmes de nous établir au plus prêt, dans la province de Sufokia.



Rédaction : Pehdolyth, Pwaline
Correction : Tamilya
L'œuvre dans son contexte : L'Ordre de Talakia

Un grand merci à Tamilya, et à [Mad-Jax] pour ses conseils.


[Des modifications importantes ont été faite pour des raisons de compatibilité avec le BG de Dofus, l'histoire reste cependant très similaire, seul Sufokia et Aguabrial ont été détaché du BG]
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