/!\ Je suis dysorthographique :s et se texte est mon premier merci de prendre ses points en considérations, bonne lectures cependant /!\
Seul, Seul devant lui, cet homme au regard implorant. Ce lâche au yeux emplie de larmes. Dans la nuit on entendait a peine ces murmures, ces mots qui m'était si familier, de part mon métier, ces même mots qui par mon métier m'était incompréhensible. Pitié. Mon coup fut net, professionnel, certain diront chirurgical, mais c'est le sadisme qui me fit frappez encore et encore cette carcasses tièdes. Dans la nuit on vit une ombres. Puis plus rien ...
Sur le chemin du retour de nombreuses question me taraudait l'esprit. Après tout pourquoi ? les plus cartésien me répondront pour l'argent. les plus fou auront pour réponses la démences. Que nenni. Ces sentiment n'était pas humain, donnez la mort n'est par définition pas humain, juste animal, bestiales. Mais si j'était une bête, pourquoi mon âmes se tourmentait ainsi? Pourquoi cet hommes à l'intelligence peu communes, a la rapidité unique, au dévellopement sensoriel si grand, était devenu une machine a tuez ? Serait je bêtement tombez dans un pièges, le mot me fit sourrires tant sa connotation était fortes,tendu par plus puissant ? Je suis Zab' et voici mon histoires ...
Mon histoires, ces beaucoup dires, disons plutôt mon anecdotes, car ma vie n'est faites que des simple souvenir, assemblez de manières a être presque cohérent entre eux.
28 javian 630 J'ai 17 ans, les soldats de brakmar mener par mes ainées marche sur amakna, instaurant la terreur, nécessaires, comme disait 'ceux-qui-pensent' Nous sommes la chair a canon, nous sommes la premieres lignes, les prêtres nous maudisses déjà, nous allont rejoindre les démon par cette attaques, et notres sacrifice permmetra de rasé la blanche cité. Sur le papier sa fait presque envie. dans la réalité ces horribles. Seul les plus croyant arrivent a se convaincre. Nous allont mourrir écraser contres les portes de la cité blanche. mais a la surprise géneral, les portes s'entrouvrent. Puis la chaleur, brulant ma peau et mes organes, les cri, les rires des bontais. la marche imposante, la terre qui tremble, le ciel qui tonne de la fureur de rushu. On me racontera plus tard que ces un dragon qui nous aurait tous soufler, ou du moins ces se que disent les légendes. ces depuis se jour que je suis, un sram.
Vous en savez déjà trop, et j'aproche du repére, je vous conterez mes prochain souvenir tantot, du moins si vous le désirez ...
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