« On ne parle pas de l’influence positive des jeux vidéos »

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Rendons à César toussa. Merssea Rue89.

Durant la Gamers Assembly, Vanessa Lalo est intervenue et est allée à contre-courant des études (et actualités) voulant associer la violence à l'abus des jeux vidéos. Petits règlements de compte contre certains de ces détracteurs, mais avant tout une descente en flamme de l'étude de Craig Anderson réalisée en 2010 (résumé en FR) au programme d'une intervention arguant qu'Angry Birds peut être vu comme étant aussi violent que Call of Duty (Orly? </troll>).
Dans tous les cas une intervention intéressante, qui rappelle parfois d'autres études ou même décisions de justice protégeant -dans une certaine mesure- les jeux vidéos de ses principaux détracteurs.


Mais la question reste quand même entière et le débat -si on peut oser utiliser de ce qualificatif- sera pour de longues années encore vif. Quand on insiste sur le fait que des études "prouvant le lien violence-jeux vidéos" sont truquées (ou du moins mal réalisées et/ou biaisées à leur lancement), les arguments peuvent être inversés et les chercheurs défendant les jeux vidéos sont accusés d'être payés par le "lobby" du jeu vidéo -et Vanessa Lalo serait en fait payée par les publishers, bouh !!!.
Comment arriver à obtenir une étude qui satisfera les deux camps, mais qui restera avant toute chose la plus objective possible ? Ou tout simplement quand est-ce que les gens nous foutront la paix si on veut avoir un hobby différent du leur, comme si on allait les faire chier sur leur terrain de golf le samedi matin ...



<regrette presque Mireille Dumas et sa croisade anti-jeux de rôle en '95>

<se sent putain de vieux>
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