[EMPIRE : RP] Kessel Run : Les Francs-Tireurs

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Bon, les baltringues .... On se regroupe ! Un seul objectif : faire tinter les crédits ! Pas de loyauté sinon au plus riche, pas de fidélité sinon au pognon. Sabre laser ou blaster, si t'as de la poigne et que t'en veux, sois le bienvenu chez les Francs-Tireurs !



Salut à toi !

La guilde n'existe pour ainsi dire pas encore, il faut la construire. C'est un projet et t'as la chance de pouvoir en être. Si t'es partant, que tu veux mettre ta pierre à l'édifice je ne demande pas mieux : j'ai envie de créer un petit truc collectif, pas de m'exciter tout seul dans mon coin. C'est pas une putain d'opportunité ça ?

Je suis un vieux rôliste, amateur de l'univers et des jeux de Bioware et je crois qu'on peut allier le MMO avec un Rp léger.

Chez les Francs-Tireurs on essaye de faire du roleplay sans se prendre la tête, quand c'est possible et que ça met l'ambiance. L'Empire offre de bonnes situations pour s'amuser en interprétant son personnage, c'est plus immersif comme ça et on peut s'y croire assez facilement. Maintenant n'oublions pas que le jeu ne se prête pas à du blabla sans fin. On joue pour se marrer et avancer, même si on n'est pas là pour faire la course. Si t'es un joueur régulier sans être un acharné, que tu es sur Kessel Run côté Empire, ta place est peut-être parmi nous.

Pour l'instant je vois donc trois règles importantes : jouer un maximum en groupe de guilde, faire du roleplay dès que c'est agréable et fun, avoir un comportement adulte et une maturité bien assurée. Pas la peine de tenter le coup pour les moins de 20 ans, grosso modo.


Les Francs-Tireurs ont un cadre roleplay : nous sommes un groupe composé de tout combattant d'élite de l'Empire qui souhaite se ranger derrière l'étendard de son seul profit personnel. Il n'y a que les crédits et la réputation qui nous motivent. Pas de grandes causes, d'idéaux à la con. On peut sortir de Korriban ou d'ailleurs, l'important c'est de coopérer pour arnaquer la galaxie entière. La guerre qui se profile offre des perspectives de profit hallucinantes pour qui saura piller, trahir et assassiner pour le compte des plus offrants.

Comme tu vas vite t'en rendre compte, je ne suis pas doué pour tout ce qui est forum, site, retouche d'image etc. Là aussi, y a du boulot pour qui en veut. C'est l'idée de toute façon : mélanger les influences des volontaires, apprendre à se connaître.

Rejoins-nous, enfin moi et de futurs autres Francs-Tireurs, sur le forum.



Dernière modification par Skelgar ; 25/12/2011 à 10h24.
Un petit récit d'introduction pour mon personnage et l'occasion de vous annoncer que nous sommes désormais cinq personnes. Nous cherchons toujours des opportunistes sans foi ni loi, avec ou sans sabre laser !

La planète indépendante de Nar Shadaa, cantina du Wookie Pastek.


Le patron et barman de ce débit de boisson est un gros lard aigri par vingt-cinq années passées dans ce quartier mal famé de la capitale. Il a eu une soirée de merde au sens strict du terme : il a commis une erreur de débutant en servant du Jubba épicé à un couple Mon Calamari en quête de sensations. Résultat : diarrhée explosive, chiottes bouchées, clientèle casse-couille, ... L'horreur. Enfin maintenant que l'heure de la fermeture approche, il ne reste plus qu'un client qui semble attendre de la visite, il fixe la porte. Il ne le sait pas encore, mais le pire reste à venir.


Peu avant la fermeture, le contrebandier Lailo Bardy a fixé rendez-vous au Mercenaire qu'il a récemment engagé pour conclure une affaire compliquée.
Bardy est inquiet. Il n'a pas aimé sa première rencontre avec ce gars "à la gâchette facile". Un type étrange, ce Mercenaire. La moitié de sa tronche ressemble à une omelette retournée, son œil manquant remplacé par un module de vue lui donne une allure inhumaine. On a du mal à savoir ce qui peut bien lui passer par la tête et ça c'est pas bon pour les affaires.
Le contrebandier attend accoudé au bar, fixant l'entrée, en sirotant une chope de cette bière locale insipide comme de la pisse de Jedi. Il se résigne et réussit à se rendre assez d'assurance pour afficher la confiance sur son petit visage de fouine.


La porte automatique s'ouvre en sifflant et la haute stature du Mercenaire se dessine dans l'embrasure. Il tire derrière lui une Twilek assez séduisante en bure brune, genre Jedi. La demoiselle est menottée. Bardy esquisse un sourire satisfait, pose sa chope et se lève pour aller à leur rencontre. La porte se referme sur une ruelle sombre, la pluie est battante à l'extérieur.


Le Mercenaire souffle et retire sa capuche, dévoilant le haut d'un buste d'armure lourde et sa face mutilée, sa tête rasée. La twilek à la peau vert clair attend silencieusement, calme comme un grand maître Jedi après son caca du matin.


- Hé, Mart'Ô ! Comment va ?


Mart'Ô, puisque tel était le nom du Mercenaire, éclate d'un rire sec.


- Lailo Bardy, tu es a l'heure, y a du progrès.


- Bha je sais que c'est important pour toi, le temps c'est des crédits, tout ça ...



- Bon on règle ça vite. Tu sais qu'on m'appelle Mart'Ô mais que je bosse pas pour des clous ... Donc voilà la consulaire que tu m'as demandée, ça a pas été du beignet de Roba sucré de la choper et de te la ramener ici vu ses pouvoirs mystiques donc par ici le pognon.



Le contrebandier sort un coffret plat de la doublure de son imperméable en cuir. Il le jette à Mart'Ô qui l'attrape au vol en l'empoche d'un geste assuré. La Twilek reste silencieuse, le regard pétillant.



- Bardy, tu sais que j'honore toujours mes contrats hein ?


Le contrebandier fixe un instant le Mercenaire, sans comprendre.


- Bha ouais, c'est ce que tu viens de faire. Bravo, vieux.

- Nan, nan ... Tu vois ta consulaire, elle m'a engagé aussi. Payé d'avance en plus. Et un contrat est contrat, j'ai ma réputation.

- Tu déconnes, enf... !


D'un geste rapide, en un éclair, Mart'Ô dégaine. Le contrebandier Lailo Bardy chute face contre le sol dégueulasse du Wookie Pastek, un trou béant dans sa poitrine fumante.


Alors que Mart'Ô rengaine son blaster, la Twilek lui fait soudainement face.


- Bien Mercenaire, ton sinistre office est accompli. Libère-moi à présent, qu'on en finisse.

- Tu m'as payé pour abattre un salopard, chérie. C'est fait. Tu peux financer ta libération ?


Dépitée, la Twilek ne trouve rien à répondre.


- T'as plus un rond. Je suis sûr de pouvoir me faire un bon paquet de crédits en demandant une rançon à ton académie d'abrutis en robe de chambre.



Mart'Ô part dans un rire gras, marchant vers la porte, traînant son otage décomposée. Ils disparaissent tous les deux dans la nuit pluvieuse.


Réfugié derrière son bar, le patron attend encore quelques minutes avant de jeter un coup d’œil prudent. Ce soir, après la fermeture, il va devoir se débarrasser d'un cadavre. Soirée de merde ...
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