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Alerte sur les déficits
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Loky DeGlaston |
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Citation :
Entendons nous bien, je ne fais pas l'apologie de la décentralisation, je dis une chose très simple : on ne peut pas dire qu'on va embaucher des fonctionnaires territoriaux pour remplacer des fonctionnaire d'Etat dans le cadre de la réforme du gouvernement parce que c'est totalement faux : ils ne font pas le même travail. Je ne dis rien de plus. Ca serait comme dire que l'économie réalisée sur la fonction publique d'Etat sera réinjectée dans l'Hopital publique par exemple, il y a 3 organes de fonctionnaires et leurs comptes sont distincts : fonction publique d'Etat, territoriale et hospitalière, on ne peut pas transférer des fonds de l'une à l'autre ca ne marche pas comme ça. |
20/06/2007, 14h06 |
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Loky DeGlaston |
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#20997
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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20/06/2007, 14h15 |
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#20997 |
Alpha & Oméga
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J'ai cru comprendre que les états unis étaient, toutes proportions gardées, 3 fois plus endettés que la France. A vérifier.
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20/06/2007, 15h00 |
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#20997
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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20/06/2007, 15h20 |
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#20997 |
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Le bon niveau de la dette, c'est celui où le service de la dette (c'est à dire son remboursement et le paiement des intérêts) ne représente pas la majeure partie du budget.
Quant à dire qu'on ne s'endette que pour les dépenses d'investissement, c'est de la pure rhétorique. Le fait est que chaque année, l'Etat dépense 20% de plus qu'il ne gagne, il s'agit bien de dépenses courantes. Pour les mesures d'économies envisagées dans le programme de Sarko, il faut bien dire que l'essentiel c'est le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux. Il faut toutefois savoir que l'économie engendrée par cette mesure n'est visible que sur plusieurs années, et qu'elle est loin de compenser le niveau des dépenses actuelles. [edit] l'an dernier, l'IR comblait tout juste les remboursements liés à la dette et les intérêts. Pas 2/3 donc, mais 100% |
20/06/2007, 15h31 |
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#20997
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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20/06/2007, 15h32 |
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#20997 |
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Citation :
Rien de nouveau sous le soleil. Aucune étude de la relation enseignement-recherche-industrie, aucune étude des rapports GE-apport à la recherche, une légère attention portée sur l'attractivité des métiers de la recherche en France, aucune réflexion sur la place de la recherche dans les entreprises, et, évidemment, une sous-évaluation du coût des réformes proposées (nécessité d'un budget trois fois supérieur à celui proposé selon le SNCS). Et dans cette optique, la recherche française restera dans son modèle actuel, rigidité et copinage, et poussera encore et toujours les aventureux vers l'étranger (et paradoxalement, attirant ceux moins bien lotis, comme les italiens), faute de vrais moyens, de réelles décisions d'orientation, et de réforme interne. |
20/06/2007, 15h48 |
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Que se passerait il si la France ne pouvait plus payer les intérêts des bons qu'elle a émis ?
Se retrouverait on dans la même situation que celle qu'a subi l'Argentine ? |
20/06/2007, 16h58 |
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Citation :
Les gens qui s'y connaissent (même Claude Allègre, s'pour dire) estiment qu'il n'y a pas assez de fonctionnaires utiles en France. Manque d'enseignants, manque (cruel dans certains endroits) d'effectifs dans la police, manque de personnels hospitaliers. Et, par opposition, trop de fonctionnaires dans certains ministères. Trop de commissions qui brassent du vent; trop de haut-fonctionnaires (avec leurs privilèges et train de vie), trop de machins qui ne servent pas à grand chose, mais qui coûtent beaucoup - en tête, le nouveau secrétariat d'Etat chargé de la Coopération et de la Francophonie, ou bien le Sénat, au choix. S'y rajoute des législations (à appliquer, c'est une évidence) à n'en plus finir, demandant parfois un étalement des fonctionnaires façon fin de pot de Nutella. Une nouvelle répartition des fonctionnaires, plutôt que des suppressions définitives, de postes est nécessaire. Non pas que certains postes ne soient pas redondants depuis les vagues de décentralisation (et l'augmentation des fonctionnaires territoriaux) et la non-suppression des postes ainsi libérés de l'administration centrale. Sans parler de l'absentéisme *(et d'une gestion mauvaise entraînant une démotivation) des fonctionnaires territoriaux. La fonction publique est à prendre dans sa bordélique globalité pour envisager de réduire son budget. Non renouvellement de 50% des postes, annoncé et fait comme cela (comprendre, en dépit du bon sens), c'est ouvrir la porte à une fonction publique incapable d'assurer à ses administrés un service cohérent. *Pincettes offertes avec la source. |
20/06/2007, 18h14 |
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