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Sans doute en raison du climat actuel, ce n'est pas sur le site officiel européen que la suite de l'histoire a été publiée, mais sur le site tiers GamerZone. Découvrez ainsi dès maintenant le chapitre 7 du point de vu Elyos comme Asmodien.
Note : Traduction non littérale .
ASMODIENS

One day a curious thing happened. The shards of the great tower that had plunged into our soft land started emanating light again, and then pulled themselves from the ground and into the air around us. Asphel ordered the Archons, the strongest of our Daevas, and the unit of which I was now a part, to investigate.
We left straight away, and found a portal of some description which took us to a world, somewhere between Asmodae and the lower half of Atreia, where pillars of rock floated in the air. This was a world where the Aether that I relied on for my powers was present in abundance, and I felt a sense of enormous relief upon finding my abilities still intact. I returned to Pandaemonium and told our Shedim Lords what we had seen. Asphel immediately ordered other Archons to guard this portal, and when I asked why, he did not answer, but instead simply gazed up at the sky, towards the lower half of Atreia.
Two days later, while we were planning a second expedition through the portal, we noticed our guards stationed in Morheim had not reported in to us. Zikel, one of the Shedim Lords and our god of destruction, took the remaining Archons, including myself, to investigate.
We hadn't traveled long when we found a group of men, claiming to be from the lower half of Atreia, standing in their stead, their weapons drawn. These beings looked like angels, and though they said little, they cast judgment on us instantly. Imagine - being judged for a crime that they, not we, had committed! It was not us who had been soft-hearted cretins, welcoming the Dragon Lords into our tower during full-scale war - it was them!
Zikel's rage was more than evident, and he threw these "Elyos" to the ground, demanding they curse Nezakan, one of the Empyrean Lords who was weak enough to call for peace with the Balaur. Time, Zikel spat, had proven which side was at fault. Would these Elyos acknowledge their Lords' mistake, and condemn them for their foolishness?
Their leader, a man named Deltras, refused. With the pride that we now know is the taint of all the Elyos, he piously refused to blame his own Lords, cursing Zikel instead. Swords were drawn, and we charged, cutting them down like the cowards that they were. Still, some of their numbers escaped; most fled towards our home city where in their anger they butchered our women and children before we finished them. Two fled back to their homeland, bloodied but not vanquished. Not yet.
Un jour, une chose curieuse arriva. Les fragments de la grande tour qui étaient retombés sur notre paisible terre commencèrent à s'illuminer, se levant dans les airs tout autour de nous. Asphel ordonna aux Archons, les plus puissants de nos Daevas, et à l'unité dont je faisais maintenant parti, de mener l'enquête sur ces étranges phénomènes.
Nous partîmes aussitôt, trouvant un portail qui nous mena vers un monde quelque part entre Asmodae et la moitié basse d'Atreia, où des colonnes de roches flottaient dans les airs. C'était un monde ou l'Aether dont je tirai mes pouvoirs était en abondance, et je senti un immense soulagement me parcourir en retrouvant ainsi mes capacités intact.
Je revins immédiatement au Pandaemonium annoncer la nouvelle aux seigneurs Shedim. Asphel ordonna alors aux autres Archons d'assurer immédiatement la garde du portail, et bien que je lui en demandai la raison, il ne donna aucune réponse, levant simplement les yeux vers le ciel, droit vers la moitié basse d'Atreia.
Deux jours plus tard, alors que nous préparions une seconde expédition à travers le portail, nous nous aperçumes que nos gardes en Morheim tardaient à nous faire leur rapport. Zikel, l'un des seigneurs Shedim et dieu de la destruction, constitua alors une force avec les Archons restant, moi compris, et se rendit immédiatement sur place pour évaluer la situation.
Nous n'étions pas en route depuis longtemps quand nous rencontrâmes un groupe de personnes se prétendant de la moitié basse d'Atreia, se tenant à la place de nos hommes, les armes à la main. Pareils à des anges mais ne disant mot, leur jugement retomba sur nous presque instantannément. Imaginez - être jugé pour un crime qu'ils avaient, et non nous, commis ! Ce n'était pas nous, les crétins d'idéalistes qui avions accueilli les Seigneurs Dragons au sein même de notre tour au beau milieu d'une guerre totale - c'était eux !
La rage de Zikel était plus qu'évidente, et il envoya avec force ces "Elyos" à terre, leur criant de maudire plutôt Nezakan pour sa bêtise, l'un des Seigneur Empyréen dont la faiblesse l'avait conduit à vouloir la paix avec les Balaurs. Le temps, cracha Zikel, avait prouvé quel camp était dans l'erreur. Mais ces "Elyos" pouvait ils seulement accepter l'erreur de leurs seigneurs et les condamner pour leur aveuglement stupide ?
Leur chef, un homme du nom de Deltras, refusa. Avec la toute la fierté que nous connaissons maintenant aux Elyos, il s'obstina à refuser de blâmer ses chefs, accusant Zikel à leurs places. Des épées furent tirées, et nous chargeâmes aussitôt, les découpant comme les laches qu'ils étaient. Malgré cela, certains s'échappèrent; la plupart fuyèrent vers la ville, tuant sauvagement nos femmes et nos enfants jusqu'à ce qu'il nous soit enfin donné la possibilité de les achever. Deux parvinrent à s'enfuir vers leur monde, ensanglanté mais non vaincu. Pas encore du moins.
ELYOS

All that remained of our great tower following the Epic Cataclysm were two stumped remains, one on our world, the other still visible on Atreia's upper half. The majority of the tower had been destroyed, its remains left scattered over the two halves of our world.
One day, however, the earth around these shattered remains began to shift, and slowly the fragments levitated themselves into the air. We sent our bravest guardians to investigate the phenomenon, and they discovered portals leading to huge floating chunks of the Aion tower, in a bizarre realm where Aether flowed like water.
We labeled this world the Abyss, and slowly our Daevas ventured forth, exploring this new and volatile environment. They found a world rich in the Aether that Aion had granted to the Empyrean Lords, and which the Daevas had managed to manipulate when we were at war with the Balaur. Many Daevas were lost, though; these portals were unstable, and once closed seemed to stay shut, exiling anyone who had gone through.
One day another portal opened, larger and more stable than the others. A Guardian by the name of Deltras passed through it, and on the other side, he found something astounding. His legion were standing on the upper half of Atreia, and when they looked across the sky, they didn't see the shaded remains of the Aion tower, and the upper half of Atreia, but instead saw their own world of Elysea, bathed in warm sunlight.
Slowly, nervously, they moved on, carefully exploring this strange land which once was part of their home. It was now a dark and foreboding place, full of whispers and fleeting shadows. There they discovered the Asmodians, men and women who were once our brothers, but now had been warped into twisted and foul creatures. Even worse, these nightmares were led by one of the murderous Empyrean Lords, a cruel being named Zikel.
It was dark; our Daevas could not see well, and were soon captured by Zikel and his monsters. This being, who we had once revered alongside the mighty Ariel, threw Deltras to the ground, demanding he curse the Seraphim Lords for their "weakness". Deltras, brave and noble as he always was, kept the pride of the Elyos. He refused to curse the Seraphim Lords, and instead cursed arrogant Zikel to his face.
The Asmodians attacked, and those of us who were waiting on the other side of the portal saw only two of our number return, bloodied and injured.
Tout ce qui restait de notre glorieuse tour à la suite du cataclysme n'était que deux ruines, une sur notre terre, l'autre encore visible sur la moitié haute d'Atreia. La majorité de la tour avait été détruite, ses débris dispercés sur les deux moitiés de notre monde.
Un jour cependant, la terre autour des ruines se mit bouger et lentement les fragments se levèrent dans les airs. Nous envoyâmes alors nos gardiens les plus braves pour faire la lumière sur ces phénomènes, et ils trouvèrent des portails menant vers de gigantesque morceaux de la tour d'Aion flottant dans les airs, dans un univers étrange où l'Aether coulait comme de l'eau.
Nous nommâmes ce monde "les Abysses", et lentement nos Daevas s'aventurèrent plus loin, explorant cet environnement nouveau et volatile. Ils trouvèrent un monde riche en ce même Aether qui avait été offert par Aion aux seigneurs Empyréen, et que les Daevas avaient apprit à manipuler durant la guerre contre les Balaurs. Cependant beaucoup des notres furent perdu; ces portails étaient instable, et une fois fermés ceux-ci ne semblaient pas vouloir se réouvrir, exilant toute personne qui les avait traversé.
Un jour, un autre portail s'ouvra, plus large et plus stabe que les autres. Un Gardien du nom de Deltras s'aventura alors en son sein, et de l'autre coté, il trouva quelque chose d'incroyable. Sa légion se tenait sur la moitié haute d'Atreia, et en regardant le ciel, il virent que celui-ci n'était plus le même. A la place, ils pouvaient voir leur propre monde, Elysea, baignant dans la douce lumière d'une soleil ardant.
Lentement, nerveusement, ils progresserent en ce monde, explorant avec précaution ce territoire qui était autrefois le leur. C'était maintenant un endroit sombre et oppressant, plein de murmures et d'ombres fuyantes. Là bas, il y découvrirent les Asmodiens, hommes et femmes qui avaient été autrefois nos frères mais qui n'était plus aujourd'hui que des créatures difformes et dégoutantes. Pire, ces créatures de cauchemards était dirigés par nul autre que l'un des seigneurs Empyréen meurtrier, un être cruel du nom de Zikel.
Il faisait noir; nos Daevas ne pouvant voir clairement, ils furent bien vite capturé par Zikel et ses sbires. Cet être, que nous révèrions autrefois aux cotés du grand Ariel, projetta Deltras au sol, lui intimant l'ordre de maudire les Seraphim pour leur "faiblesse". Mais Deltras, aussi brave et noble qu'il avait toujours été, fit honneur à la fierté des Elyos. Il refusa de maudire les seigneurs Seraphim, et à la place, maudit l'arrogant Zikel droit face à lui.
Les Asmodiens attaquèrent, et ceux d'entre nous qui attendait de l'autre coté ne virent que deux des notres revenir, ensanglanté et blessé.
Source :
http://www.aionsource.com/forum/news...sted-here.html
http://www.gamezone.com/news/02_12_09_09_31AM.htm
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