J’ai épousé la solitude il y a bien longtemps,
Elle ne m’a jamais été très fidèle pourtant
Mais comment quitter la seule personne
Qui toujours m’accueil en son sein, me pardonne
Qui supporte mon cœur bien souvent trop sombre !
Mes sarcasmes, mes moqueries parfois nombres
Je ne l’ai jamais aimé pourtant, mais elle je le crains
Toujours quand je m’échappe un peu, elle me retient
J’ai cru la semer dans des bras doux et réconfortant
Et bien souvent j’ai été amoureux, de ces anges aimant
Mais la solitude est patiente, a raison d’ailleurs
Car toujours mes histoires se terminent en pleur
Je suis impulsif, trop jaloux c’est très vrai
L’amour se nourrit de la liberté je le sais
Et trop souvent, mon cœur criant de ne pas le faire
Mon amour devient une prison au barreau de fer
Des personnes douces, tendre et compatissante
On essayer tant bien que mal de changer mon cœur
Elles n’y ont pas réussit pour mon plus grand malheur
La solitude s’en réjouit, elle redevient mon amante
Je ne cherche pas votre pitié, ni même votre amitié
Je suis un firbolg au cœur qui se meurt de trop d’émois
Celui ci ne parvient pas malgré moi a devenir froid
La solitude m’aime trop pour laissé la mort ouvrager
Mais vous avez malgré vous en lisant ces lignes
Fait reculé un peu l’étreinte de ma maîtresse maligne
De cela je vous remercie…
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