|
|
11/08/2017, 17h25 |
|
Aller à la page... |
[wiki] Agriculture et alimentation en France et dans le monde
Suivre Répondre |
|
Partager | Rechercher |
|
Citation :
Du concentré. Ouaip. Le génie du branding. |
11/08/2017, 17h44 |
|
|
On est suivi par des nutritionnistes pour la très grande majorité d'entre nous. Du coup, je ne sais pas trop d'où tu sors ta théorie du désespoir nutritionnel des diabétiques
|
12/08/2017, 17h57 |
|
|
Citation :
Mon opinion est bien sûr subjective, parce que ceux qui passent ma porte le font parce que motivé à se démerder autrement donc ceux pour qui tout roule je ne les vois pas. Mais tout de même, C'est plus "intéressant" que la pomme de terre d'un point de vue nutritionnel. Citation :
Citation :
Dernière modification par Ron Janulingus ; 12/08/2017 à 18h48. |
12/08/2017, 18h42 |
|
|
Citation :
T'as de la chance que la sécu t'assure une rente à vie. |
12/08/2017, 18h52 |
|
|
Citation :
La seule chose que tu fais, c'est généraliser l'expérience qu'un type te raconte sur le forum, et t'ériger en sacro-saint expert en nutrition parce que tu fais on ne sait quoi dans ta salle de sport. Kirika te parle d'un spectre large de personnes ayant un diabète de type 2. Typiquement on rencontre de tout: - des gens qui ne vont strictement rien en avoir à foutre de ce que dit le médecin, parce que bon on leur a dit qu'ils sont malades et que ce serait vraiment cool qu'ils y aillent molo sur la bouffe, mais eux vont juste se dire tout haut dans leur tête "ouais ouais, cause toujours mec, je me sens parfaitement bien". - des gens qui ont à peu près compris le problème, mais qui ne vont pas faire d'effort, parce qu'ils n'ont absolument pas la motivation pour les faire - des gens qui vont se mettre une bonne baffe parce que ouais, y'a un problème et il va empirer s'ils ne font rien, donc ils vont changer du jour au lendemain leurs habitudes alimentaires. Y'a de tout, et comme le dit kirika, toi tu ne vois que les motivés, les gens qui en ont quelque chose à foutre de leur santé future, certainement pas les autres, qui ont d'autres problèmes, d'autres choses à penser, et pour qui un diabète de type 2 ben c'est franchement très secondaire, et pourtant ces gens là ils sont nombreux. Alors non les types de ta salle de sport qui te racontent on ne sait quoi, ben c'est pas un échantillon représentatif de la population de diabétiques de type 2 en France. Maintenant je vais te dire ce qu'on apprend aux professionnels de santé quand ils doivent gérer un diabète de type 2: 1. Mesures hygiéno-diététiques : Activité physique régulière + alimentation équilibrée 2. Si ça n'a pas suffit : Metformine 3. Si ça n'a toujours pas suffit : bithérapie : Metformine + Sulfamides/glinides/inhibiteurs des alphaglucosidases/ inhibteurs de la DPP-4 4. Si ça ne suffit toujours pas : Trithérapie 5. Et si vraiment ça ne suffit toujours pas : Insulinothérapie (à adapter au cas par cas selon l'état du patient) Genre tu vois ton humalog, ben il arrive en dernière position, quand vraiment y'a rien d'autre à faire. Et la première mesure, elle ne comporte aucun médicament. Et tu sais pourquoi on ne file pas de l'insuline à quelqu'un directement ? Parce qu'il ne la prendrait tout simplement pas. Un patient qui n'a pas la motivation pour suivre des mesures hygiéno-diététiques, ni aucun des traitements qui suit, il n'irait certainement pas se piquer une ou plusieurs fois par jour. Donc non, les diabétiques ne sont pas lâchés dans la nature avec de l'insuline après leur diagnostique, ils sont suivis. Certains peut être plus efficacement que d'autres, mais c'est clairement pas le sujet. Edit pour Rosenblood : Euh, mais c'est pourtant ce qu'essaye activement d'expliquer Kirika sur ce thread depuis le début hein :/ Dernière modification par Shad' ; 12/08/2017 à 19h49. |
12/08/2017, 19h34 |
|
|
Quant au cas particulier de Ah oui, pour info, le "prédiabète" n'existe pas. C'est un exemple typique de disease mongering, que vous semblez pourtant vouloir combattre... EDIT : et merci Dernière modification par Visionmaster ; 12/08/2017 à 19h54. |
12/08/2017, 19h42 |
|
|
Citation :
Peu en Europe encore moins en France ou en Suisse ou on est très rivé sur les type principaux sans prendre un compte la phase qui intervient avant le Type 2, et ou la prévention est, il faut le dire , particulièrement lacunaire. Il y a un reportage assez intéressant, issu de Diabète Quebec, qui est pas mal à zyeuter. Tiens, si ça en intéresse : https://www.youtube.com/watch?v=lYoMEeschCk https://www.youtube.com/watch?v=LAe2bWkq2zM Comme je l'ai dis à Ron, je suis pas inf dans le domaine de l'endocrinologie, donc mes connaissance sont lacunaires en la matière. En revanche je sais quand on me dis de la M, ou quand on fait des généralité foireuse. Et cela dis, ce que dis Ron, n'est pas faux non plus, même si c'est pas aligné avec un cas prédiabétique, je pense qu'il a quand même quelques solides connaissance en diététique. En revanche c'est sûr que c'est pas forcément transposable en tout point. Donc le tacler de manière condescendante est pas justifié. Dernière modification par Rosenblood ; 12/08/2017 à 20h01. |
12/08/2017, 19h55 |
|
|
Citation :
Ouais, en fait non, je ne parle pas de théorie, je parle de "relations humaines", de ce qui fait qu'on ne peut pas soigner un patient comme un soigne avec un bouquin. Dans le cursus inf on explique: - que tous les patients sont différents - que tous les patients même avec les pathologies les plus lourdes ne sont pas observants (caner du poumon qui fume, diabétique qui fait n'importe quoi) - que tous les patients ne sont pas des bouts de bois et qui ce qui s'applique à l'un ne s'applique pas à l'autre - qu'une prise en charge ça n'est pas que théorique mais aussi pratique Et plein d'autres tirets qui font que tous les patients pour lesquels on découvre un diabète de type II ne finiront pas tous avec des anti diabétiques oraux, que certains deviendront insulino réquerénts, que certains perdront un orteil, un pied, une rétine, ou deviendront insuffisants rénaux avec pourtant, la "même" pathologie à la base. Contrairement à toi, je ne sors pas mes cours parce que ici ça n'est pas le sujet, et dont vous parlez ne me sers à rien dans ma pratique quotidienne. Si demain je parle aux gens de "programme" comme celui dont vous discutez avec RonJ mais on va me rire au nez: patients et collègues. Le grand père qui bit son litre de pinard/ jour, qui mange n'importe quoi depuis des années, qui faire cuire son steak de 100g dans 150 grammes de beurre, il en a rien à carrer de mes histoires. Je suis pas médecin mais je saisis, depuis des années, une partie de leur problématique quotidienne avec mes collègue interne de med G: c'est parfois une victoire énorme "contre" certains patients de les voir changer d'un tout petit iota les habitudes merdiques qu'ils ont depuis des années. Un petit article de toujours le même blog pour expliquer. PS: J'ai eu des cours sur le diabète gestationnel et même un cours de "soins infirmiers sur le diagnostic de diabète pré gestationnel avec 3 prises de sang à une heure d'intervalle et ingestion de 75g de glucose", et le pré-diabète n'existe pas. |
12/08/2017, 20h01 |
|
#543148
Invité
|
Message supprimé par son auteur.
|
12/08/2017, 20h12 |
|
#543148 |
|
Citation :
Et si le prédiabète existe. Faut juste se sortir la tête de matraquage bien formaté du CM. Comme je disais, il n'est pas considéré en tant que telle en Europe ( hormis les pays nordiques, toujours largement en avance sur nous ) , mais il est néanmoins une pathologie clinique reconnue en tant que tel depuis 30 ans. Il n'est pas considéré par une partie corps parce qu'il est asymptomatique et compliqué à gérer. La je reviens sur la réponse la réponse de vision : Citation :
|
12/08/2017, 20h16 |
|
|
Citation :
Par exemple : MANUFACTURING DIABETES (désolé, c'est en anglais, mais c'est Canadien justement...) Dernière modification par Visionmaster ; 12/08/2017 à 20h25. |
12/08/2017, 20h17 |
|
Suivre Répondre |
Connectés sur ce fil1 connecté (0 membre et 1 invité)
Afficher la liste détaillée des connectés
|