Au départ, je ne m'attendais à pas grand chose d'Umbar-Môkh. Un Nième labyrinthe, dédale de couloir, comme on a pu déjà voir aux galgals, dans la Moria et à Gundabad.
Et pourtant, pourtant... il est sacrément bien réalisé. Alors certes, on a toujours des brigands, toujours des araignées, toujours des chauve-souris, toujours des morts-vivants mais, il y a aussi des crocodiles cette fois-ci.
Le système de portes entremêlées, parfois bien cachées, ajoute à faire perdre le fil de ce que l'on fait. Ajoutez à cela qu'il y a plusieurs niveaux et vous avez le cocktail pour passer beaucoup de temps à chercher son chemin.
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