Suite
En ayant le manuscrit en main, Guaboo savait que d'autres hommes l'avait lu, peut être étai-ce pour cela que le manuscrit était posé sur le sol, jonchant d'autres livres plus ou moins respectables. Avait-il été laissé à l'abondon, Guaboo se posait la question, mais cela n'était pas la chose importante, le fait est que le manuscrit était là, certaines pages étaient en très mauvaises états, l'histoire s'arrêtait sans que l'on puisse lire aucune suite lisible puis elle revenait ça et là. Guaboo jugeait cette oeuvre, il comprit toute l'importance qu'amener ces lectures. Ils se rappelait que son vieux père Rousseau lui racontait des histoires chevaleresque, des mythes ou des légendes, ce manuscrit était là pour prouver que bel et bien ces combats avaient eu lieu...
Des questions venaient à ce poser en lui, Si des hommes vont au combat avec la force et leur confiance en eux, ce sont des hommes dotés d'une force sans égal ? Guaboo avait du mal à le croire mais si cela était dit, c'est que justement cela devait se produire. N'ayant jamais été au combat, le jeune guaboo ne pouvait en savoir plus. Justement Il savait que l'entraînement était chose aisée, que celui-ci permettait de connaître mieux l'art du combat.
Ils comprit davantage que le combat n'était pas la chose la plus importante, Un code de l'honneur avait été mis en place pour dicter la conduite des chevaliers de L'humanisme.
Il entreprit d'en savoir un peu plus sur ce code de l'honneur mais il ne trouva point de manuscrit sur le sujet, peut être était-il dans ce livre, parmi les nombreuses pages effacées.
Sa réflexion se fît plus grande encore lorsqu'il vint à se remémmorer le fait du conseil des Humanistes. Pourquoi donc n'y-a-t'il pas de conseil à l'heure actuelle? se cachait-il? Ou bien le mouvement humaniste avait été oublié ? tant de question donné un curieux mal de tête au jeune Guaboo...
Guaboo vint à l'idée que seul le Chambellan pourrait être avoir les réponses auxquelles il n'avait pas trouvé de réponses.
Il est conté dans le manuscrit que les hommes vinrent au combat, certains perdirent leur foi en eux et firent appel à des divinités.
Guaboo, se remémorait se passage au combien important, Ces chevaliers avaient-ils donc perdus tout espoir ? Ils comprit avec ce passage que l'homme était un être faible mais capable de raisonnement. Les chevaliers ayant douté d'eux, avaient l'esprit dans le doute, ils ne croyaient plus en leurs capacités, L'homme dans un moment de faiblesse se met à prier son salut, pourquoi une telle chose? Guaboo avait une trop faible expérience pour en connaître ces doutes. Mais il comprit assez vite que lorsqu'un combat arrivera, il devait surtout ne pas douter de lui...
L'homme qui se met à croire en une divinité est donc une personne qui à un moment donné a voulu chercher protection, mais il oublie que l'homme est capable de se protéger lui même.
Ils revint ainsi au Quatre grandes régles :
Règle première :Un humaniste respectera toujours les valeurs du culte, à savoir la noblesse, la fierté, le courage, la loyauté, la bravoure et l’honneur.
cette Règle semblait à ces yeux la plus importante, elle montrait un peu le code d'honneur d'un humaniste, Honneur, noblesse, ces mots résonnaient en lui comme une cloche en pleine ville, Il savaient quelle Loyauté la Règle parlait, celle envers le Roy, ces mots résumaient à eux seules les attentes d'un humaniste quant à sa position face à une personne. Honneur et respect, voilà les mots d'Ordre pour agir et parler en société.
Règle seconde :Un humaniste est un chevalier et il devra toujours respecter les règles de la chevalerie.
Un humaniste doit avoir une conduite chevaleresque, il n'est point un chevalier dansle sens où le peuple l'entend, c'est un cehvalier d'honneur, non pas d'arme... cette réflexion venait en lui comme annociateur d'un futur ou les humanistes serait de toutes armes et magies. Le Respect des régles de chevalerie semblaient mettre une redondance frappante, il fallait que les humanistes appliquent cette philosophie de manière stricte.
Règle troisième : Jamais un humaniste ne devra prier une quelconque entité et encore moins renaître, il devra rester humain.
Cette réflexion paraissaît être plus que normale, mais Guaboo n'oubliait pas que certain moment de doute pouvait faire enfreindre cette Règle. Peut être était-elle la plus difficile à respecter tellement les tentations pouvaient être grande dans ce monde. Mais il avait foi en lui et en ces capacités, Rien alors ne pouvait lui faire changer son avis. Il espérait secretement qu'aucun humaniste ne tombe dans le doute. Il avait rencontré d'autres humanistes qui semblaient eux aussi animés de cette foi en eux. Il prenait conscience que cette philosphie avait fait de nous des êtres différents, en partie par nos valeurs et notre code de l'honneur.
Règle quatrième :Un humaniste devra se montrer loyal et fidèle envers le conseil des Six.
cette Règle semblait, elle aussi, tellement simple, que Guaboo se mit à réfléchir le reste de la nuit pour émettre une opinion sur le sujet. Oui elle semblait aller de soi, un humaniste devait être à l'écoute du conseil pour pouvoir agir comme un chevalier. Mais là venait la perversité de l'esprit troubler ses réflexions, un conseil des Humanistes qu'attend-ils de nous? il savait qu'en étant humaniste, il avait choisi la sollitude, qu'adviendra t-il des Chevaliers égarés?, ils se mit tout de suite en confiance tellement il avait pris conscience que cette Règle était le soutien du Chevalier, le soutien de notre philosophie.
Ainsi après avoir passé une nuitée dans la bibliothèque, le jeune Guaboo Posa le manuscrit dépoussiéré sur une étage qui le mettait à la vue de tout le monde, il fallait que chaque personne dotée d'un savoir puisse se receuillir sur ce manuscrit, même si cette personne était un croyant, peut être allait-il reprendre confiance en lui ! Seul les élus et les personnes ayant renais n'étaient plus capable de reprendre confiance en eux. Le matin venait avec la douceur de la rosée, annonçant une belle journée, d'autant plus belle que Guaboo savait maintenant ce qu'il adviendra de lui....
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