Newsletter Octobre

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Voici un premier jet de la newsletter de Octobre. Une esquisse en attendant d'être relue et publiée...


Je vous rappel l'adresse originale:

Khurites

Enfants de la steppe :

La steppe de Myrland est une aire vaste au cœur du Myrland qui est encadrée par les froides montagnes de Talus au nord et par la jungle tropicale de Mars au sud. Ce sont des terres stériles où il ne pleut presque jamais, elles se caractérisent par un sol très pauvre, rendu aride par les quantité importantes de sels s'y stockant où seule la végétation très résistante peut y survivre. Elles sont majoritairement recouvertes de lagunes salées formées par l’accumulation de l’eau qui ne peut pas s'écouler vers la mer. Traversé le Myrland à pied n’est pas une option viable, c’est un très vaste étendu, les distances y sont énormes et les formes de civilisation y sont rares. Les prédateurs sont en général rapides et adaptés à épuiser leurs proies. On dénote notamment un certain nombre de loup, de carcajous géants, d'oiseaux de terreur et de tigre à dent de sabre, qui sont tous constamment sur à l’affût d’une nouvelle proie. La plupart des animaux de la steppe sont des mammifères des invertébrés et des oiseaux. Les espèces les plus présentes sont les rongeurs, les renards, les cerfs, les chevaux, les bisons et les mammouths. Les animaux qui habitent la superficie des eaux salées sont essentiellement des amphibien comme les grenouilles, les lézards et les salamandres, qui s’alimentent majoritairement grâce à la grande variété d'insectes que l’on trouve aux abords des lacs.

La vie sur la steppe du Myrland affecte également ses enfants humains, les Khurites. Les Khurites sont parmi les meilleurs cavaliers au monde, le rôle du cheval et du mammouth sont très important dans leur culture et société. Les Khurites ne se voient pas comme une seule et unique personne, mais se perçoivent faisant part d’un tout avec leur tribu et leurs ancêtres. C’est pourquoi il y a de grande différence d’une tribu à l’autre. Ils vivent tous sur ou rattachés à la steppe, bien que la steppe n'ai aucune frontières précises.

Khurite :

Les tribus n'ont donné aucun nom à leur terre, seules les plus petites régions et territoires en possèdent un. Les Khurites sont des nomades qui déplacent tous les ans leurs campements vers de nouveaux pâturages, exception faite de Morin Khur, qui est leur seul siège permanent. Les villages se composent de yourtes, qui sont des sortes de tentes plus ou moins transportables. Par l’établissement d’un camp dans un secteur, la tribu s’approprie la zone sur laquelle siège son campement ainsi que le territoire environnant. Il existe un grand nombre de tribus ; le secteur qu’occupent leur campement et le nom qu’elles portent est souvent lié à leur animal fétiche que l’on retrouve également sur leur totem, alors que les régions sont souvent baptisées du nom d'une caractéristique naturelle propre à l’endroit

Les tribus de Khurite ont une longue histoire de guerre civile et de conflits, une nation unie de Khurite n'a jamais existé excepté dans les légendes. Cependant, selon la tradition, une réunion collective parmi les tribus est tenue chaque quatre an. C’est lors de ce rassemblement que le commerce, les cérémonies de mariage, les concours et la fabulation ont lieu. Depuis le Conflux les tribus sont plus unifiées qu'avant, c'est probablement dû à la pression accrue des Orcs dans le nord-est et des tribus reptiles dans les sud. La ville de Morin Khur remplit un rôle politique de plus en plus important dans les négociations entre les tribus Khurite, mais également dans les échanges vers l'empire de Tindremic à l'ouest et à quelques égards le Húergar au nord. Malgré le fait que l'empire soit considéré comme un allié par Morin Khur, quelques rumeurs racontent d’émissaires Tindremic repérés parmi des tribus les plus belliqueuses, ceux-ci les pousseraient à des guerres fratricides. Quelques personnalités dans Morin Khur suspectent que ce soit un stratagème élaboré par les Tindremenes pour éviter que les Khurites gagnent en puissance.

La vie dans une tribu Khurite :

Chaque tribu est dirigée par un Mogul, ça ne peut être qu’un homme, et le titre est héréditaire, à condition que le fils puisse prouver son adresse à la chasse ainsi que lors d’une bataille. Un Mogul a souvent plusieurs épouses mais sa première épouse, Hatun, ou reine est celle qui est le plus respectée par la tribu. Elle tient également le rôle d’intendante, capable de mener la tribu jusqu'à ce qu'un nouveau Mogul soit nommé, si celui-ci venait à disparaître avant de se choisir un nouvel héritier. Les leaders spirituels ou les shamans des Khurites s'appellent les Angaqs et possèdent une influence importante sur la tribu et sur le Mogul lui-même. Ils exercent leur art au travers de prévisions, de sortilèges et de musique. L'Angaq est responsable dans une tribu de la communication avec l'animal du totem, Miigi, ce grâce à un chant religieux. On dit que le Miigi s'incarne parfois dans le totem ou qu’il vive dans la steppe. Tous les animaux à l’effigie sur les totems sont considérés comme sacrés par les tribus.

La configuration architecturale des villages Khurites s’appel Khuren, qui signifie cercle, se référant à la forme constituée par les yourtes placées en cercle dans le village. Au centre de ce cercle se situe la yourte du Mogul. Le Khuren est souvent construit près d’une formation de falaise, des palissades en pierre et os sont ajoutés comme défense autour du camp. Le bois est un produit rare pour la majorité des Khurites, la pierre est donc employée comme matériaux de construction pour les bas murs des yourtes, elles sont ensuite construites avec des os de grands animaux en guise de soutien et couvertes de grandes peaux. La terre sur laquelle le camp est établi au moment est soigneusement choisie par le Mogul de la tribu et plus tard bénie par l'Angaq. Celui-ci se positionne près d’un point d’eau et non loin de pâturage pour les moutons et les chèvres. Lorsque la terre ne sera plus assez riche le village sera à nouveau déplacé. Les tribus construisent souvent des tours de guet, des avant-postes et des monuments sur les plus hautes collines des environs du village. Ces derniers servent de balises de signal pour les villageois et parfois même de refuge et de point de ravitaillement pour la nourriture et l’eau, même pour les voyageurs.

Le quotidien dans un Khuren est assez paisible. La vie des Kushans est caractérisée par des expéditions constantes aux périphéries du territoire pour y traquer des ennemis ou le surveiller, permettant ainsi l’anéantissement de tout ce qui menacerait la tribu. En plus des chevaux de la steppe, des oiseaux et des loups sont attrapés et apprivoisés pour plus tard surveiller et chasser. Les animaux sont capturés jeunes et sauvage, car par rapport aux animaux élevés en captivité ils sont plus forts et robustes et sont finement rattachés à Akana, la Terre-Mère. Bien que les jeunes chevaux de la steppe soient plus petits que bon nombre de leurs congénères adultes ils possèdent une grande vigueur. Ces animaux robustes constituent l'épine dorsale des tribus Khurite, un dire populaire veut qu'un Khurite devrait apprend à monter à cheval avant d'apprendre à marcher. On apprend aux hommes comme aux femmes à combattre, que ce soit en selle ou à pied. Un choix d’armes est fait au vue des occasions. Les Khurites emploient généralement des cimeterres et des armes d’hast pour le combat rapproché tandis qu’un arc asymétrique est employé à cheval pour le tir.

Les crimes sont très rares dans un Khuren puisque la majorité des tribus Khurite sont relativement petite et leur survie dépend pour beaucoup de leur capacité à coopérer. Par leurs règles traditionnelles de conduite et de bienséance les Khurites résolvent la majeure partie des querelles qui peuvent surgir dans la communauté, les Khurites possèdent un sens social marqué d’un honneur profond et sincère. Le vol est peu commun et la jalousie est inexistante. On s'attend à ce qu'un mari ou un conjoint Khurite partage son lit avec qui que ce soit dans la tribu. Il en va de même pour les visiteurs puisque les activités sexuelles sont considérées comme une partie normale des échanges commerciaux et sociaux, et comme un Khurite dirait : « Cela évite une dégénérescence du sang de la tribu». Lors des rares cas de conflit, le Mogul peut décider d'expulser un individu ou une famille de sa tribu, bien que ce soit considéré comme le plus mauvais scénario possible. Les tribus acceptent très rarement de garder un pêcheur et un individu ou une famille font souvent face à une mort prématurée s’ils sont abandonnés à eux même au sein des steppes.

Le physique et l’aspect des Khurites :

Les caractéristiques les plus apparentes chez les Khurites sont leurs yeux en amande et leur teint, qui s'étend d'un brun-foncé à un rougeâtre. La croissance de la barbe est seulement visible chez les vieux Khurites, et même à un âge avancé beaucoup restent imberbes. Le Khurites indigène ont un bon physique, grâce des muscles équilibrés et robustes accoutumés à la vie de steppe, où les changements de température peuvent être dramatiques et l'eau potable peut se faire rare. Pour faire face aux changements climatiques ils emploient différentes pâtes de graisse animale mélangées à des herbes. C’est de cela qu’ils tirent leur réputation «de puant et de malpropre ». La croyance populaire veut que les Khurites soient sales. Pourtant, les membres de la tribu nagent souvent dans les lacs et les jets salés près de leur Khuren ou s’immergent, en hiver, dans des bains de vapeur sous leur yourte. Dès un très jeune âge, les Khurites sont instruit à la natation, indépendamment du sexe. Des concours de sueur sous yourtes sont une manière commune d'arranger des différences.

La plupart des Khurites ont des tatouages sacrés, Tamko. Ceux-ci sont plutôt une scarification, car découpés dans la peau plutôt que perforés à l’aide d’une aiguille, laissant des cannelures et des bosselures. Le premier Tamko marque la transition importante entre l'enfance et l'âge adulte, ainsi que le statut, le rang et les accomplissements dans la tribu. Les hommes et les femmes ont différentes parties de leur corps tatoués, le plus souvent : le visage, les fesses et les bras pour les hommes - les lèvres, le menton et l’estomac pour les femmes, mais ceci varie de tribu à tribu.

Technologies et culture des Khurites :

Les Khurites vivent une vie de nomade, il peut être difficile de voir leurs progrès technologiques et organisation intergroupe pour les non-initiés, qui observeraient seulement leurs ressources et leurs outils primitifs. Le Khurites n'emploient pas ou ne forgent que peu de métaux mais maîtrisent l’art de la métallurgie à la perfection pour ceux utilisés. L'arc de cheval Khurite, L’Ikil, peut sembler étrange et imparfait à première vue, mais la fabrication d'un tel arc peut prendre jusqu’à une année. Elle comporte des procédés de fabrication des plus complexes, des techniques d’imbibassions et de séchage de plusieurs couches sont nécessaires. La composition matérielle de l’arc a pris plusieurs siècles pour se développer. Le plus grands des arcs, Les MOR-Ikil, est employés pour la chasse des mammouths et est entourés par un certain nombre de traditions et de rituels. Il est exceptionnellement grand, souvent surpassant la taille de l'archer, et la force nécessaire pour son utilisation est comparable à soulever entièrement un adulte avec deux doigts. Les vêtements Khurites ne semble également pas avoir été conçus avec dextérité et mesure. Pourtant, l'armure en cuir typique des Khurites est extrêmement flexible. Elle est fraîche sous la chaleur d’un soleil imposant et chaude dans le froid humide de l’hiver, elle possède des plaques en métal pour en améliorer la résistance aux flèches. La vie sur la steppe exige habituellement l'art pratique et des outils fiables, et dès que vous apercevez des robes de rituelles ou des instruments musicaux Khurites vous apprécierez vraiment l'art de leur fabrication.

La musique est une partie essentielle de la culture Khurite avec la valeur chamanistique et sociale l’entourant. Parmi les mélopées les plus connues on dénote l'Urtunye, chansons éternelles, où l’on appuie sur chaque syllabe et le chant spirituel de gorge, connu sous le nom d'Oomii, où les plus grands interprètes peuvent produire jusqu'à trois sons distinctement audibles. Les instruments s'étendent des tambours et des tambourines au Mornur, un klaxon gigantesque, défense censé avoir des puissances magiques supérieures. Aux occasions importantes la tribu se recueille dans des rituels de danse, appelé Yange, par lequel ils entrent en transe avec l'aide de la musique et du Yage, un extrait d'herbe qui accorde le contact avec le royaume des esprits.
J'avais vu mais je voulais crée un nouveau Thread pour attirer d'avantage l'attention... MOuhaaaa

Promis la prochaine fois je poste mes traductions à la suite de tes commentaires^^
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