A la fin du grand Festival de Britain, les représentants des cités du Royaume se réunirent dans un château de Britain et, au terme d'une âpre négociation, parvinrent à se mettre sur un traité de paix, appelé les Accords de Minoc.
Par leur signature, les représentants des cités du Royaume s'engagèrent à ce que ceux-ci soient respectés dans leur cité respective.
La Gazette vous offre ici une version traduite de ces accords, rédigés initialement en Britannien :
Qu'il soit connu qu'en le mois de septembre de cette année, ces différents accords furent signés par les cités de Sosaria.
1. Toutes les forces armées seront retirées de Minoc.
2. Une Milice indépendante sera levée, mais uniquement par le peuple de Minoc pour défendre Minoc.
3. Cette Milice sera entraînées par les Forces Loyalistes mais pas plus de 5 entraîneurs pourront être sur place en arme au même moment.
4. Minoc est libre de commercer avec toute les cité selon la volonté de son peuple.
5. Les Yewiens auront le droit de bâtir leur propre route vers Minoc, en passant par le Nord des montagnes de Covetous.
6. Les routes pour Minoc sont déclarées territoires neutres. Cependant, les terres en dehors des routes restent aux mains de leurs propriétaires respectifs.
7. Les voyageurs en route pour Minoc pourront porter les armes pour leur sécurité. Cependant, aucune force armée ne pourra circuler sur ces routes.
8. Pour moins de complications territoriales, la partie côtière du Vespenland est cédée à Minoc.
9. Les coupables du massacre des moulins de Yew, Kiran et Padan Fain, seront livrés aux Yewiens.
10. Les Coviens impliqués dans ce massacre comparaîtront devant une cour inter cité où chaque cité sera représentée.
11. Le Capitaine Escaflowne sera interrogé en présence d'un défenseur Vespérien, par la Milice de Yew.
Ont signé ces accords :
- Seigneur Elliot Heath, Baron de Vesper
- Capitaine Bladius Dart, Milice de Yew
- Louis Torchesac, Maire de Skara Brae
- Capitaine Grenadier Raiden, Baronnie de Cove
- Seigneur Irvyn Middlethorn, Duc de Trinsic.
Cependant, des faits montrent que ces accords, déjà bien fragiles, risquent fort de voler en éclat. Vous en apprendrez plus dans les autres articles de la Gazette.
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