Je vais justifier mon arpenteur qui s'ait vue attribuer le n°7 (ce qui doit lui permettre d'arriver dans le top 5 grace au missclick des votes destinés à celui de Soroya).
Honnétement, je me suis assez peu foulé pour le créer parce que je trouvais le principe du concours biaisé : on nous demandait de créer un arpenteur nous representant, mais de manière anonyme. J'ai choisi d'hypothéquer mes chances de gagner (enfin, je pensais) en faisant l'arpenteur le plus proche d'un de mes decks, et j'ai choisi le deck que j'ai joué en magic pas online pendant longtemps (bon, là, si on me reconnaissait, il fallait le faire). A ma table, j'étais LE mage vert. Même si mon deck était souvent multicolore, la composante verte était toujours présente. Donc un arpenteur vert. Puis j'ai juste émulé les cartes qui définissait le deck. Le lanowar, qui symbolise le mieux la capacité d'acceleration du vert. Le giant Growth, l'ancestral recall vert. Avec le petit plus original pour un planeswalker d'une capacité instant (sinon il perdait tout intérèt). Et la force de la nature, archétype, de mon point de vue, de la grosse créature verte (même s'il y a peut être eu mieux depuis). L'ordre des capacité m'a semblé évident : le giant growth et la force de la nature ne pouvait pas être en première capacité, ne restait que l'elfe. Donc un chump blockeur producteur de mana en +1. C'est gras. Donc une faible loyauté pour compenser. Là où j'ai sans doute merdé, c'est sur le coup de la dernière capacité : en partant d'aussi bas (1 en loyauté) à 3 ou 4 en loyauté, elle n'aurait pas dépareillé, surtout du fait du drawback. Et on aurait pu imaginer en poser plusieurs.
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