Histoire d'un templier [Introduction]:

 
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AU TEMPS D'ARTHUR

... Vint la chute de Rome, la disparition du plus vaste des empires, l'avènement d'un age sombre et la fin d'une époque antique. Albion se retrouva seule, certains pensèrent que c'était la fin, alors parut Arthur. Les ténèbres ne vinrent pas, la lumière perdura, le royaume prospéra...


Bien avant la guerre, qui nous oppose à Hibernia et Midgard, le royaume était prospère, le commerce florissant, nos ennemis d'aujourd'hui étaient nos alliés. C'est à cette époque de paix et de plénitude que je suis né. Fils du Templier Henry de Prydwen et de Dame Jessica. J'ai passé mon enfance dans les collines de Camelot, j'étais jeune, insouciant, la vie était si simple.


Mon père était au service d'Arthur et veillait, avec les autres templiers sur la région. Issue de la noblesse de Prydwen, mon père était mon héros. Il me parlait de la guerre que mena Arthur pour accéder au trône, de batailles épique dans les montagnes de Penines, de la légendaire Excalibur et non moins légendaire Merlin, ainsi que des soirées à la cour. Ma mère, quand à elle, était une des nombreuses dame de la cour, maîtresse en étiquette et protocole, elle voyageait souvent, tantôt sur midgard, tantôt sur Hibernia. J'étais aimé, protégé, éduqué, destiné à un brillant avenir.


Mais, en ces temps de paix, prendre les armes ne m'intéressait pas, je préférais courtiser les damoiselles, passé de longue soirée dans les tavernes et bien sur faire des courses équestres dans les plaines de salisbury. Qu'avions à craindre, Excalibur éclairait le royaume, Arthur était un roi bon et généreux, Merlin veillait, les ténèbres ne pouvaient venir.


Puis, un matin, la nouvelle tomba, Arthur avait disparu. Certains prétendirent qu'il était mort, d'autre qu'il avait été capturé. Le royaume pleura son roi, tandis que nos dirigeants se déchirèrent pour la succession.

Un autre matin, vint la terrible nouvelle, Hibernia et Midgard venaient de se déclarer la guerre. L'alliance entre les trois royaume fut rompue, lorsqu"Albion refusa de se rallier à l'un ou à l'autre. Depuis ce temps nous nous battons.


O puissante Lumière pardonnes-nous.
 

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