Dans les profondeurs
Au fonds, tous sont les mêmes
Puisqu'à jamais vous resterez ici bas,
A voir veaux et vaches à ras du plancher bas.
Ouais, vous humerez, les fumiers des derniers jours,
De campagne et de moulin, quand la boulangère
Vous demandera de quel pain vous avez mangé,
Et de quel main vous le prendrez, là-bas, au fonds,
Puisqu'on est tous les mêmes, des diverses origines,
Nous venons mais revenons, platement et horizontalement.
Alors là-bas, au fonds, avant d'y aller, mieux vaudrait manger
Et profiter, de jouissances de là-bas, au fonds, par pure gourmandise.
Et par pitié, arrêtez de larmoyer et manger
Donc ce pain qui là-bas, au fonds, de la main nous est tendu
Puisqu'au fonds, là-bas, on finit tous un jour donné
Par payer, rembourser, l'artiste qui là-bas, au fonds, ne fait que quémander
Son pain, pleurer sa misère, mirer et les toiles et la plèbe
Qui là-bas, au fonds, soupirent toujours et encore là-bas, au fonds,
Vous y aurez chaud alors allez-y, là-bas, au fonds,
Des choses, vous y apprendrez et perpé-tuerez un temps
oui là-bas, au fonds, ne veut rien dire, jamais avons nous su
Où commençait le fonds, là-bas, au fonds,
A moins qu'il ne commence ici,
Et maintenant.
Petite brève histoire de me détendre les neurones ... Et puis clin d'oeil discret au mélancolisme ambiant .. A moins que ce ne soit la Saint des Valentins qui me fait commettre de telles horreurs .. Allez, arf, régalez-vous, celui là est un spécial BaR de jOl.
p s : relecture oui j'écris n'importe quoi