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Ah les femmes

Cette partie jeune fille c"tait le ponton qui était sensé relier la grande verrière et qui accueillera l'expo Art. A l'entrée il y aura bien évidemment une statue en Tritium à mon effigie et à l'intérieur (s'il me reste des prims) quelques broutilles de pseudos artistes.

Dernière modification par Tex.H ; 09/04/2016 à 19h26.
suis con j'ai complètement oublié.

En regardant BFM Business un matin j'ai écouté attentivement car dans la famille et dans mes proches il y a des artistes certes amateurs mais qui se débrouillent franchement bien et je leur ai parlé de cette startup où le patron avait été invité ce matin-là pour parler de son entreprise.

Donc voilà le lien tu en fais ce que tu veux :

https://www.artloverplace.com/
C'est très intéressant Grace, je t'ai déjà dis que tu étais un ange? ben si je te l'ai déjà dis seulement tu n'écoutes rien

Bon là je viens de finir de placer l'Arena , ne me demande pas à quoi cela sert mais ça se monte comme une tente de chez decathlon et ça donne une approche sérieuse. Dieu dans son immense mansuétude m'a passé quelques outils et j'ai dressé quelques falaises qui crache de l'eau. J'ai également placé quelques sirènes qui auront pour tâche de me réveiller chaque matin en petite tenue. Mais suite à cela, Dieu et moi même on s'est pris la tête et il m'a confisqué mes jouets. connaissant toute l'art de la manipulation, je pense que d'ici deux ou trois jours je retrouverai mes jouets. Je ne vais pas me formaliser pour cela et de toute manière je suis claqué, juste besoin d'un massage léger.
http://imageshack.com/a/img924/6233/E557Fv.png

Artistes et Auteurs l'aréna est là, on va pouvoir se taper la coup d'Europe des nations cet été dehors.

Ah oui j'allais oublié, je ferai quelques conférences sur la vie, le libre arbitre, le bien et le mal, pourquoi Freud n'arien compris pourquoi ceuxqui cite des auteurs sont des simples d'esprits, le trading selon fibonachi etc. Ce sont des conférences de 7h donc amener vos tartines.

Dernière modification par Tex.H ; 10/04/2016 à 01h22.
Moi un ?
Merci c'est .

sinon y a aussi flickr et picassa pqs pour lexpo d'images sl mais pour des artistes rl.

Viens de me réveiller mais en douceur pour une fois ça donne moins mal à la télé.
Aujourd'hui ce sera lecture en monde virtuel où vous serez tous invités. Nul besoin de vous déplacer, je prends possession de vos esprits

Ce sera un test pour auteurs , une mise en situation.

Edit: conférence reportée pour cause de ... de quoi encore déjà? ah oui j'ai dû garder le pt de ma voisine. désolé Quentin si tu es passé, de toute façon tu t'en fous, ce qui compte pour toi c'est de trouver une sim à 500 balles.

Dernière modification par Tex.H ; 10/04/2016 à 23h23.
Le diner de noel
Tex : Tout le monde est prêt ?

Marianne : Nan ! j’veux pas être assise à côté de l’autre couillon.
Amberline : C’est quoi ce texte ? Du réchauffé comme la dernière fois ! du plagiat ?
Maxwell37_Carter : Il n’y a rien à boire ici ?
Aglaia : Il compose tout de A à Z ? Il y aura des effets spéciaux ?
Atsura : Il va lire son truc sur Kindle ou sur un bête papier ?
Grace : C’est plein de fautes d’orthographe mais vous allez voir c’est très beau, et puis de toute manière je corrigerai après et je vous remettrai à chacun une copie sur imprimante 3D.
Anpton : Si c’est un tutoriel Blender je reste.
Caterina : Moi tant que je ne vois pas sa tronche, je n’applaudis pas.

C’est bien, je vois que tout le monde est ok on peut commencer.


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C’est grâce aux instances de Carla, mère de Marie, que je me suis rendu au repas de Noël. Fête qui ne comporte aucun sens puisqu'il ne s’agit même pas de la naissance du Christ, dont on ignore la date. Le lapin aux pruneaux valait à lui seul le déplacement, si l’on fait bien évidemment abstraction des pruneaux.

Cette soirée aurait dû se terminer au coin d’une cheminée, voire sous le gui, mais il n’en sera rien. L’intrus se nommait Pierre et aussi étonnant que cela puisse paraître, je ne lui trouvais aucune qualité. L’imposteur se mit d’entrée à nous raconter sa vie sur l’Ode à la joie.

- Saviez-vous Marie que Beethoven a écrit l’Ode à la joie sur un poème de Goethe ? Bien que Goethe soit poète sans être homme de lettres, son œuvre fut avant tout son existence, né à Francfort, là même où je vis le jour et où…

Il commençait pied au plancher, je ne pouvais pas laisser ce pauvre garçon nous assassiner la soirée sur la simple foi de ses soi-disant connaissances poétiques.

- Comment peut-on écrire un poème dans une langue aussi carrée, tandis que les pommes de terre s'éplucheraient toutes seules d’effroi, lorsque deux allemands passeraient à côté d'un champ en éructant leur langue nationale?

- Tex! me dit Marie, en se raidissant comme si elle venait de connaître le plaisir… L’allemand est l’une des plus grandes langues culturelles de l’occident, ne sois pas si désagréable s’il te plaît.

Je repris alors mon duel avec la pauvre bête, déjà salement amochée et noyée sous les pruneaux infâmes.

- De même, Napoléon accorda une audience à Goethe, tandis qu’en Chine on le peignait sur la porcelaine des théières.

Le lapin touchait à sa fin déjà… Mais je ne pus trouver la force d’attendre ma dernière bouchée pour réinvestir le monologue de l’autre prétentieux.

- C’est palpitant! Honnêtement je trouve ça palpitant.

- Vous ne mangez pas vos pruneaux, monsieur Tex? me dit Carla en souriant presque trop.

- Pas aujourd'hui madame Carla, mais si vous pouviez me les mettre dans un tupperware, je vous en serais reconnaissant.

Les deux autres nous regardèrent en silence. Je parie qu’à ce moment là, ils se sont sentis un peu dépassés. C’est sans doute pour cela que Marie embraya sur une conversation dont elle n’avait pourtant probablement rien à cirer.

- Pierre, si je puis me permettre, Dante reste néanmoins maître et prophète dans l’acte de la création poétique, illuminé par son amour pour Béatrice qui fait que cet amour est son amour, et ne pouvait lui être ôté. Béatrice est divine à ses yeux, elle devient ineffaçable et consolidée par son écriture. Évidemment par faiblesse de la chair il se déprisa d’elle et se donnera à d'autres. Enfin, pris de remords, il créa la Divine Comédie et fit apparaître Béatrice en femme voilée sur un char. Son cœur bat. Il pleure. Béatrice lui dit: “Dante, ne pleure pas”. Elle le nomme Dante, c’était la première fois que fut cité le nom du poète dans toute la tragédie. Dante se réconcilie avec sa belle et tous deux sont fins prêts pour monter aux étoiles... quelle mouvance…

Pierre fit mine d’avoir parfaitement suivi et apprécié le raisonnement. Ah hypocrisie quand tu nous tiens…

- Vous avez tout à fait raison Marie, et vous-même monsieur Tex, y a-t-il un auteur qui vous touche plus particulièrement?
- Au risque de vous déplaire Pierre, aucun auteur n’encense mon esprit et puis là, j’ai la tête aussi légère qu’une enclume. Mais lorsque je mets par exemple à philosopher, je le fais comme ça, sans avoir de maître et sans hésiter à parler de moi. C’est une des meilleures façons de philosopher, disait Léon Chezpatouqui.

A ce moment, Pierre devait commencer à saturer, à sentir que la situation lui échappait, puisqu’il s’attaquait à moi. Et à ma grande surprise, il se mit à changer de sujet, comme on change de roue après une crevaison.

- Vous savez monsieur Tex, je suis un passionné d'art. Freud explique que les oeuvres d'art étaient les satisfactions imaginaires de désirs inconscients. Tout comme les rêves d'ailleurs, avec lesquels elles avaient en commun le caractère d'être un compromis, car elles aussi devaient éviter le conflit à découvert avec les puissances de refoulement… il avait entièrement raison, vous voyez ce que je veux dire?

- Vous savez Pierre, je ne suis pas trop art mais quand une femme me quitte le matin, c'est un peu comme si elle était passée sous un train. Les statues de Nicky de Saint Phalle expriment assez bien dans quel état je les mets.

Il tourna alors un peu de l’œil je crois, sur le coup, à moins que ce ne soit les premiers effets de ce vin qu’il buvait pourtant avec finesse et élégance. Des gouttes de sueur perlaient sur ce front qui se voulait intelligent.

- C’est tout de même incroyable! Que l’on aborde la littérature ou l’art, vous trouvez toujours à redire. Je suis sûr que vous allez trouver à redire sur l’évolution lamarckiste.

J’avais déjà gagné, à le voir s’énerver ainsi. Je pris alors un peu plus mes aises, tout en posant ma serviette sur la table.

- Vous voulez que l’on parle de cette girafe qui a attendu quelques millions d’années pour que son cou s’allonge? Et qui sait, avec quelques efforts de plus pour atteindre les feuilles les plus élevées, et en battant l’air de ses membres antérieurs, aurait pu finir par se transformer en un bien curieux oiseau. Oui moi je veux bien.

S’il y avait eu des mouches, on les aurait entendues voler. Marie elle, semblait plutôt chercher des fourmis, vu qu’elle ne regardait plus que le sol. Elle tenta de se reprendre pourtant, n’ayant sans doute aperçu aucune bestiole par terre.

- Tu es vraiment désagréable Tex, je t’assure, je ne te reconnais pas.

- Oh, mais il y a bien plus désagréable Marie! Penser que l’hérédité des développements acquis d’un animal au cours de sa vie passerait à ses descendants et pourrait ainsi se cumuler dans les générations successives pour transformer peu à peu la lignée est une belle farce. Cela n’entre point dans le patrimoine héréditaire. Et le darwinisme c’est la même chose. Penser que l’évolution s’explique à coups de mutations parmi lesquelles la sélection naturelle n’aurait conservé que les plus favorables est tout aussi absurde. On ne voit jamais de mutations créatrices, on ne voit que l’ébauche d’un organe, on voit seulement de petites variations sur un même thème. Mais je vous l’accorde, à voir la tête de Pierre, le dragon n’est pas bien loin. Non il n’y a pas d’évolution, mais une dévolution.

Le malheureux commença à toussoter. Je venais de poser le pied sur son torse ridicule, il n’allait pas tarder à demander grâce.

- Je devrais peut-être rentrer, nous dit-il.

Marie ne pouvait s’y résoudre; enfin, pas de cette façon là.

- Ne partez pas et veuillez excuser Tex, en ce moment il est assez perturbé, beaucoup de remise en question, un manque d’affection aussi je suppose et beaucoup de fatigue mais…

Avec une grâce que je ne me connaissais pas, je me suis alors levé, triomphal, et commençai à investir physiquement la tablée, comme pour mieux marquer ce nouveau territoire chèrement acquis. Les poings fermes et posés au milieu des verres, j’en remis une couche, de la pure ganache.

- Oui, veuillez m’excuser Pierre, je suppose que les bulles de champagne fatiguent mes muqueuses, tandis que le CO2 me monte à la tête et dans quelques minutes je vais vous jouer la scène du facteur sonne toujours deux fois, vous savez, là même où il la prend sur la table en pin des landes.

- Honte! Tu me fais honte! Marie pleurait presque.

Une parole d’une belle rajuste bien des choses…

Les branches auxquelles je m’accrochai étant devenues aussi rares que la modestie dans le crâne de l’autre imbécile. Je vis arriver Carla et sa bûche de Noël comme la providence.

- L’allemand est parti?

- Je ne sais pas madame Carla, il a eu un malaise, il doit dégueuler sur le parking vos pruneaux, à mon avis il s’est forcé pour donner bon genre…

- Tex! Si vous êtes un gentleman allez présenter vos excuses, cet homme attend de vous un peu de condescendance, faites-le pour moi, ne me faites pas penser que je puisse être déçue par vous.

Hélas, je n’avais rien entendu.

- Par vous? Alors que nous c’est tu … Marie ce type est un con, il vous la joue affligé afin que vous l’embrassiez.

- Je remets la bûche au frigo, nous dit Carla légèrement ennuyée.

- Tu deviens vulgaire et insultant Tex!

- Je peux y mettre une cédille afin d’adoucir le son si tu préfères.

- Il serait plus judicieux que tu paraisses pour un homme de bien en lieu et place de cette réputation d’homme d’esprit, surtout ce soir.

Une brèche infime, dans laquelle Carla tenta pourtant de s’infiltrer. Les gestes étaient sympathiques, mais inutiles.

- En Angleterre, pour exprimer qu’un homme a beaucoup d’esprit, on dit qu’il a de grandes parties, de quoi ils parlent je ne le sais mais ça se dit “great parts”.

C’est le moment que je choisis pour revêtir ce costume de médiateur qui ne m’allait pas du tout, mais que personne n’était plus capable d’enfiler…

- Fine, je soupçonne que vous avez raison madame Carla et si on la mangeait cette bûche… je veux dire dès que Pierre aura fini de bouder. Nous sommes tous pétris de faiblesses et d’erreurs, pardonnons-nous réciproquement nos sottises, car après tout la tolérance se trouve être la première loi de la nature. Embrassons-nous Marie.

- Vois comme mes yeux étincellent, comme la pensée de t’embrasser et de goûter à cette volupté, que rien ne lasse, frétille mon envie, mais pourrais-tu me dire pourquoi mes narines s’enflent par la même occasion?! Pourquoi mes ongles prennent-ils des proportions insoupçonnées?!

- Hm… n’est-ce pas une chose plaisante que nos yeux nous trompent toujours; rien n’est comme il vous parait, ni à la place où vous croyez qu’il soit… qu’est ce que je raconte moi?! Bon je vais chercher notre ami, mettez la bûche au feu, la messe en route et j’arrive, leur lançai-je alors en m’éclipsant, persuadé d’être un faux-cul de première. Une forme de talent sans aucun doute.

C’est dans un état d’hypothermie idéal pour subir une opération à cœur ouvert que je rejoignis notre ami. Mieux lui aurait-il valu qu’il s’enfonçât des clous dans les fesses, tels les énergumènes de l'antiquité pour espérer éblouir la belle.

Dans son claquement de dents j’ai bien compris qu’il m’adressait quelques insultes mais qu'il ne les maîtrisait pas consciemment; je n’ai pas réagi ou alors un léger sourire. La soirée pouvait continuer là où l’autre pingouin l’avait laissée. Je ne fis plus aucune remarque. Marie devait être fière de moi car quelques sourires me furent adressés, je me sentis soumis, j’étais presque bien.

En bon chrétien, après avoir un peu repris des forces, Pierre tendit l’autre joue.


- Quant aux lois d’antan, il n'y avait point d'autre manière de saluer les dames, c'était le droit des cardinaux de baiser les reines sur la bouche, les lois étaient ainsi faites et elles se devaient de prêter leurs lèvres à quiconque…

- Ceci est n’importe quoi! Voyez-le s'emporter sur les moindres sujets, laissez donc les lois à Montesquieu et le goût à Voltaire mon vieux!

Et dans un rire venu d’ailleurs, Pierre ne me rata pas.

- Et le sophisme à Tex! Là je vous ai bien eu hein!

- M’enfin Pierre! Calmez vous, Tex ne vous a rien fait, dit Marie, conquise.

- Ben oui je n’ai rien fait, vous l’avez vu Marie!

- Je suis désolé Marie… je ne sais ce qui m’a pris, veuillez m’excuser Tex.

A cet instant précis, j’aurais pu tenter de relever Pierre, dont le nez baignait à présent dans la fange. Mais non. Allez comprendre pourquoi, ça ne m’est pas venu à l’esprit.

- Ben oui mon vieux mais je suis atrocement vexé! Marie, vois comme il a distillé son dangereux poison.

C’était sans doute une erreur, Marie me le signifia très vite.

- N’en rajoute pas Tex, Pierre s’en est excusé.

- Je vous trouve bien bonne Marie…

- Bien bonne?!

- Oh! Voyez comme il déguise ce sens-là!

- Voulez-vous que mon esprit soit à la règle du vôtre?

Sur ce coup-ci, Pierre venait de me mettre une belle balle en pleine lucarne et j’avais un peu l’impression que mes jambes étaient devenues trop courtes pour aller la chercher. Heureusement que Marie siffla la fin de la partie.

- Suffit! J’en ai assez de vos disputes! hurla Marie. Une jolie veine se dessinait sur sa tempe droite.

- Là, elle te sauve d’une trempe Pierre; je vous ai donné mon sentiment Marie, je vous laisse les vôtres.
- Tex, s’il vous plaît restez, j’ai envie de pleurer, rien ne va ce soir et je m’étais fait une joie de tout ceci et…

- Ben oui je sais Marie mais moi aussi j’ai envie de pleurer. Tout ceci aurait dû se passer au son des crépitements de feu de bois, voire au ronronnement discret des radiateurs, on se serait serré un peu plus la main, lancé quelques réflexions profondes sur la mort, puis d’une main au cul on aurait rigolé un bon coup et couru jusqu’au lit et si nous n’aurions pas eu la patience de l'atteindre, on se serait jeté sur le tapis du salon… mais bon, la succession des événements n‘est qu’un amas de vessies remplies de vent.
[QUOTE=Tex.H;29137774]Tex : Tout le monde est prêt ?

Marianne : Nan ! j’veux pas être assise à côté de l’autre couillon.
Amberline : C’est quoi ce texte ? Du réchauffé comme la dernière fois ! du plagiat ?
Maxwell37_Carter : Il n’y a rien à boire ici ?
Aglaia : Il compose tout de A à Z ? Il y aura des effets spéciaux ?
Atsura : Il va lire son truc sur Kindle ou sur un bête papier ?
Grace : C’est plein de fautes d’orthographe mais vous allez voir c’est très beau, et puis de toute manière je corrigerai après et je vous remettrai à chacun une copie sur imprimante 3D.
Anpton : Si c’est un tutoriel Blender je reste.
Caterina : Moi tant que je ne vois pas sa tronche, je n’applaudis pas.

C’est bien, je vois que tout le monde est ok on peut commencer.

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=> Magicat sort de ce corps (ou pas) .

Bon promis si je ne dors pas pendant la pause déjeuner j'essayerai de lire la suite

Mais piouf dès le lundi t'es dur (euhh pas de jeu de mots hein )
Entre Tex et Grace, ça sent l'histoire d'amour.

Je peux vous faire une peau de bête en prims, sur laquelle vous pourrez discuter des nuits entières, nus, devant un feu de bois, tout en dégustant des gaufres et des marrons grillés,
pff c'est pas marrant tu mets trop de temps

Tu vois Loee, c'est ça que je t'expliquais et qui aurait été amusant et innovant.

Dernière modification par Tex.H ; 12/04/2016 à 01h23.
Citation :
Publié par Loee
Je ne répondrai que si tout le monde me promet d'être habillé et dans son canapé

suis toujours habillée moi c'est Tex qui
Non non ça n'avance pas du tout. Par contre je me demandais un truc et si on faisait des représentations érotico littéraire sur fond vert? Nous sommes des acteurs après tout. Toujours dans le but de redonner goût à la lecture bien sûr.
mouè j'aurai plutôt visé le romantisme littéraire ça se perd tellement de nos jours s'en suit de la politesse les bons gestes en société ect l'entre aide ...

bon me rentre et vive les cartons
Je me suis dis pourquoi pas, autant apprendre et je pensais commencer comme cela.

Bonsoir jeune fille, un petit dîner sur la promenade des anglais

En option j'ai eu les lunettes qui clignotes des pts flashys sur les côtés... je pense que ça va vite te prendre la tête ce gadget

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