J'ai un peu le souci aussi d'avoir mes amis qui sont partis à droite à gauche, avec la fin des études.
Ces gens que je voyais plusieurs fois par semaine sont partis à l'étranger ou en province, ou parfois banlieue, ça peut suffire ! Qu'il s'agisse des amis d'enfance ou des amis d'école. Je parle là d'une bonne douzaine de personnes qui m'ont fait un tour de disparition de masse. En terme de probabilité, je capte toujours pas.
Ceux qui sont restés en région Parisienne, on est pas forcément aussi proches. Soit parce qu'on était plus liés par la cohésion du groupe qu'entre nous, soit parce que les emplois du temps collent pas trop, soit parce qu'on s'est engueulés, etc...
Ca a été assez violent il y a 2 ans, j'ai bien déprimé, je me suis fait un peu peur, mais c'est globalement passé là !
J'ai renoué le contact avec des amis un peu perdus de vue, dont un ami de vacances d'enfance. Là je suis censé préparer mon sac parce qu'on part en vacances là où on s'est connus gamins, on sera entre 20 et 30
J'ai rencontré des gens au sport (escalade, je le vois totalement comme un loisir et pas une galère de salle de sports) mais on se voit pas franchement en dehors donc je pense pas que ça compte.
Je sors un peu avec mes collègues et anciens-collègues, c'est un peu ambiance afterwork. Ca reste des moments très sympas (avec une ancienne collègue on a déjà fait un escape game et un pique nique, c'est cool !)
Du coup, je m'occupe, y'a pas photo. Je joue moins aux jeux vidéos pour la bonne raison que je n'ai pas le temps et j'aime bien quand une fois toutes les deux semaines (hors dimanches) je me pose tranquillou chez moi à rien foutre.
Si le but c'est de s'occuper, voilà, ça a été de bonnes pistes pour moi.
Par contre, mes potes proches avec qui c'est fusionnel, ben ça a pas changé, c'est ceux qui sont partis :/. Je trippe vachement plus quand ils passent à Paris ou que je vais les voir qu'avec les autres gens.